Voilà cinq ans que le frelon asiatique a investi la Bretagne. Les nids de l’envahisseur peuvent atteindre un diamètre de 60 cm. Il faut faire appel à une société spécialisée pour les retirer si d’aventure vous en trouvez un dans votre jardin, tout comme notre amie Malone en région parisienne. Augustine a aussi des frelons dans sa Charente. Et vous ?Cette espèce étant particulièrement nuisible il nous faut contenir ce phénomène le plus possible. Le venin peut être mortel si la personne piquée est allergique.

          Pour les apiculteurs qui voudraient eux-mêmes confectionner des pièges contre les frelons asiatiques : prudence. Des insectes non nuisibles pourraient être tués du même coup. La FDGON propose gratuitement des pièges spécialement adaptés à la capture des frelons asiatiques

                Arrivé en 2004 en provenance d'Asie, le frelon asiatique est devenu un fléau pour les apiculteurs. On le trouve aujourd'hui dans soixante départements français, mais aussi en Espagne, en Italie et en Belgique. Chaque année, cet envahisseur avance d'une centaine de kilomètres environ. Le nombre d'individus augmente vite, donc leur espace vital aussi."

                Voilà cinq ans que le frelon asiatique a investi la Bretagne. Son nid peut atteindre un diamètre de 60 cm. Il faut faire appel à une société spécialisée pour les retirer si d’aventure vous en trouvez un dans votre jardin, tout comme notre amie Malone en région parisienne. Le venin peut être mortel si la personne piquée est allergique.

               De couleur sombre avec un large anneau orangé à l’extrémité de l’abdomen, des pattes jaunes et une taille inférieure au frelon classique : le frelon asiatique est facilement reconnaissable.

         Pour les apiculteurs qui voudraient eux-mêmes confectionner des pièges contre les frelons asiatiques : prudence. Des insectes non nuisibles pourraient être tués du même coup. La FDGON propose gratuitement des pièges spécialement adaptés à la capture des frelons asiatiqu

                Le dioxyde de soufre est aujourd'hui considéré comme le produit le plus efficace pour combattre l'insecte. « C'est la seule façon d'atteindre des nids en hauteur, parfois à plus de 20 mètres du sol, sans porter atteinte à l'environnement ». Bien que la toxicité du SO² soit reconnue, son impact sur l'homme et l'environnement est minime. "Il faut prendre quelques précautions évidentes" précise l'apiculteur, "mais si c'est fait à l'extérieur et à distance, il n'y a pas de danger", le dioxyde de soufre n'étant libéré dans les nids qu'en doses infimes. "C'est le produit le moins dangereux de tous". Les bombes insecticides que l'on trouve dans le commerce sont autrement plus toxiques."

                Le dioxyde de souffre est d'ailleurs traditionnellement utilisé en apiculture pour nettoyer les ruches malades, permettant de tuer les abeilles contaminées. Il agit comme un désinfectant et permet de réutiliser la ruche. Dans le cas des frelons, le SO² envoyé dans le nid congèle les insectes grâce au froid produit par le gaz sous pression soudain relâché. Asphyxiés, ceux-ci meurent en moins d'une minute. "Cette méthode a permis la destruction de quatre mille à cinq mille nids l'année dernière, rien qu'en Aquitaine

                D'autres méthodes existent toutefois, comme le piégeage de printemps des fécondatrices et des ouvrières. Pour le spécialiste du frelon, il faudrait que "l'Etat lève l'interdiction sur l'utilisation du SO² pendant au moins un ou deux ans, le temps de trouver d'autres méthodes alternatives"

                Les frelons par groupe de quinze individus, stationnent devant la colonie, attaquant les abeilles qui sortent ou qui y rentrent mettant en péril la colonie.

                "Le frelon asiatique ne représente pas seulement un danger pour les apiculteurs, il porte atteinte à la biodiversité dans son ensemble." Le frelon est en effet grand consommateur d'abeilles, mais aussi d'autres insectes pollinisateurs. Si leur nombre baisse, cela peut constituer un risque pour les fleurs entomophiles, dont la pollinisation est réalisée grâce aux insectes. De mêmes pour les oiseaux migrateurs ou sédentaires qui se nourrissent principalement d'insectes pour faire leurs réserves pour l'hiver.

                Le frelon asiatique a été classé "dans la liste des dangers sanitaires de deuxième catégorie". Concrètement, cela veut dire qu'il n'y a "aucune obligation de le détruire, mais que c'est fortement recommandé.

                 Le problème est que cela se fait aux frais des particuliers, qui doivent avoir recours à des prestataires privés, les pompiers ayant perdu cette compétence. L'opération peut coûter entre 200 et 1 300 euros". Notre amie Malone pour avoir fait enlever le nid par la société ASD protect a payé 220 euros.

                S'ils espèrent que l'utilisation du dioxyde de soufre sera autorisée par l'Etat, scientifiques comme apiculteurs s'accordent sur le fait que le gouvernement doit définir un plan de lutte à l'échelle nationale contre le frelon asiatique, dont le nombre de nids serait estimé à une centaine de milliers.

                Le frelon est dangereux pour la biodiversité et pour l'homme.

               Si vous pensez avoir dans votre entourage un "Frelon Asiatique", n'hésitez pas à joindre la FEVILDEC au N° de Téléphone 02.23.48.26.23.

Pour la région parisienne-Loire-Sarthe : SOS élimination frelons et guêpes : ASD Protect : 09.50.67.12.19

Informations et photo trouvées sur le net !

Au jardin ces hortensias bleus qui font ma fierté

Pour Malone, Sciatique, Romarin, Enila  et bien sûr à toutes mes amies qui aiment les fleurs ...

        Hier j'ai exprimé mon désir de voir la  pluie tomber sur les plantes que j’avais transplantées.

         Oui j’ai osé !                                             

         Il a plu pendant la  nuit si cela pouvait en être ainsi le rêve du jardinier serait exaucé ! Après toutes ces heures bienvenues de soleil la terre s'est dessèchée et il faut arroser. Comme j’ai planté aux 4 coins du jardin l’arrosage est devenu une punition.

         L’eau potable est de plus en plus onéreuse et il serait temps que je pense à utiliser l’eau de pluie qui nous tombe gratuitement du ciel en installant un récupérateur d’eau car les seaux que j'ai disposés dans un coin ne se remplissent guère.

            En attendant que le soleil revienne ce petit poème. Catherine Laborde et Evelyne Delhiat l'ont dit  : c’est pour bientôt :

Le jardin mouillé

La croisée est ouverte ; il pleut

Comme minutieusement,
À petit bruit et peu à peu,
Sur le jardin frais et dormant.
Feuille à feuille, la pluie éveille
L'arbre poudreux qu'elle verdit ;
Au mur, on dirait que la treille
S'étire d'un geste engourdi.
L'herbe frémit, le gravier tiède
Crépite et l'on croirait là-bas
Entendre sur le sable et l'herbe
Comme d'imperceptibles pas.
Le jardin chuchote et tressaille,
Furtif et confidentiel ;
L'averse semble maille à maille
Tisser la terre avec le ciel.
Il pleut, et, les yeux clos, j'écoute,
De toute sa pluie à la fois,
Le jardin mouillé qui s'égoutte
Dans l'ombre que j'ai faite en moi

Henri de Régnier

          Je tiens à partager avec vous cet article lu sur Internet. Ce qui m’a le plus sidérée c’est les langoustines d’Ecosse qui sont envoyées en Thaïlande pour être préparées, puis renvoyées en Europe ! Non mais, c’est quoi dans nos assiettes ?

Par Charles Haquet et Géraldine Meignan, avec Yassine Khiri et Harold Thibault (à Shanghai),

           Moins de vingt ans, la mondialisation a aussi bouleversé ce que nous mangeons : les pizzas et les plats surgelés ont rejoint les portables et les écrans plats dans la liste des produits low cost importés, souvent made in China. Une tendance méconnue, tant les géants de l'agroalimentaire entretiennent l'opacité. Et inquiétante, car la traçabilité est un leurre, comme le prouve l'enquête de L'Express. Révélations.

          Ce 24 juillet est une journée comme les autres aux portes de l'Europe. Les douanes françaises interceptent une cargaison d'aubergines de République dominicaine, avec des doses très élevées d'un insecticide toxique, le méthomyl. Aux Pays-Bas, les autorités sanitaires découvrent que des carcasses de bovins roumains n'ont pas été soumises aux tests obligatoires de dépistage de l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), la maladie de la vache folle. En Italie, des lots d'ustensiles de cuisine toxiques made in China sont saisis juste avant leur mise sur le marché, tandis qu'en France une alerte est lancée sur des filets d'espadon gavés de mercure en provenance d'Equateur...

          Longtemps, nous avons été heureux sans le savoir. La volaille s'élevait à Bresse, les pommes normandes avaient du goût et le poisson se ramassait dans les filets bretons. Aujourd'hui, des conteneurs de nourriture affluent du monde entier, pour le meilleur - toujours plus de variété, en toute saison -, mais aussi pour le pire. Pressés par la concurrence, par leurs actionnaires et par une grande distribution sans pitié, les groupes agroalimentaires vont chercher toujours plus loin, et toujours moins cher, des produits qu'ils trouvaient autrefois à leur porte. Engagés dans une course au profit, les industriels du secteur draguent les tradeurs et les cadors du marketing. Au nom de la productivité, ils délocalisent à l'autre bout du monde, au risque de surveiller davantage leur assiette fiscale que celle du consommateur. Dans l'alimentation comme dans tant d'autres secteurs, la planète est devenue une gigantesque usine. Les langoustines pêchées en mer d'Ecosse coûtent trop cher à produire sur place? On les envoie en Thaïlande pour les faire décortiquer par des "petites mains", avant de les renvoyer en Europe pour les cuire. Soit un joli voyage de 27 000 kilomètres.

          En étirant ainsi les chaînes de production, les industriels multiplient les risques d'en perdre le contrôle. On l'a vu au début d'août, avec l'alerte au botulisme lancée sur des produits laitiers en Asie. Les lots contaminés provenaient d'une multinationale néo-zélandaise qui inonde la planète de ses laits en poudre. Garantir la qualité des produits importés devient une vraie gageure. La chaîne française de supermarchés qui achète sa pizza industrielle est-elle capable de certifier à ses clients la traçabilité de la soixantaine d'ingrédients, dont un grand nombre vient de Chine, qui la composent ? Peut-elle assurer qu'il n'y a pas de pesticides dans l'origan et que le jambon n'est pas gavé d'antibiotiques?

          Seuls 2 à 3% des conteneurs entrant en Europe sont contrôlés

          C'est d'autant moins probable que la Chine est encore loin du compte en matière de sécurité sanitaire, comme le révèle notre enquête. En 2012, ce pays concentrait, à lui seul, 16 % des produits saisis aux frontières européennes. Mais combien d'autres passent entre les mailles du filet? Ne nous y trompons pas. Les opérations fortement médiatisées, comme celle du 8 août dernier, menées par les autorités dans leur lutte contre les fraudes alimentaires, ne sont destinées qu'à rassurer les Français. Elles ne sont qu'un leurre: seuls 2 à 3% des conteneurs entrant en Europe sont contrôlés!

          Consciente du problème, l'UE prépare une réforme qui vise à sécuriser davantage la filière agroalimentaire. Mais certains, comme Michèle Rivasi, députée verte européenne, estiment déjà que ce "paquet législatif", annoncé pour 2016, n'ira pas assez loin. "Il semble que personne ne veuille demander aux industriels de fournir l'origine des ingrédients qu'ils mettent dans leurs plats cuisinés, explique-t-elle. Les consommateurs devraient boycotter les produits quand ils ignorent ce qu'ils ont dans leur assiette..." Encore faut-il apprendre à "manger responsable". Afin que la bonne chère reste sans danger. Et la cuisine, une source de plaisir!
En savoplus sur : http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/sante/alerte-dans-nos-assiettes_1273163.html#YCLRr8zkPhE1cSJ5.99

            Tout le monde aime la coccinelle appelée aussi bête à Bon Dieu, c’est qu’elle est très jolie avec sa robe rouge à pois noirs.

            Quel enfant n’a pas compté ses points pour connaître son âge : un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept ! Sept ? Alors on disait 7 ans. 5 ? On disait 5 ans ! Vous vous rappelez ? Comme une coccinelle ne vit que de deux ans à trois ans, les points ne peuvent donc pas indiquer l’âge mais son appartenance. Par exemple la coccinelle a 7 points est commune.

            Sous son aspect mignon à croquer se cache une meurtrière : elle peut dévorer jusqu’à 150 pucerons par jour voilà pourquoi on l’appelle « ogre à pucerons » !

            Ses ennemis tels l’oiseau, la mante religieuse et la fourmi  raffolent eux aussi des pucerons alors c’est la guerre.  Pour se défendre la coccinelle pas bête produit un liquide amer pour les repousser. Comme notre petite bête à Bon dieu a plus d’un tour dans son sac si ça ne marche pas elle fait la morte ! Son autre ennemi ? N O U S  avec nos pesticides.

            Mais pourquoi l’appelle t’on : « Bête à Bon Dieu » ? Je l’ai lu dans Internet :

     " Jugé coupable d'un crime qu'il n'avait pas commis, un homme s'apprête à être décapité. Alors qu'il pose sa tête sur le billot, il aperçoit une coccinelle et l'éloigne pour ne pas l'écraser.

     Etonnés de tant de bonté et de sensibilité, les juges le gracient. L'insecte sauveur est baptisé "bête à Bon Dieu" par les spectateurs, persuadés que sa présence n'est pas le fait du hasard."

PS/ Attention : Les coccinelles asiatiques, mises sur le marché en 1980,  sont nuisibles à nos petites coccinelles, les authoctones. Elles mettent en danger l’équilibre du jardin par leur voracité et leur prolifération qui sont trop rapides.

 

(Photo Internet)

        Je n’ai jamais vu de hérisson dans mon jardin, mais je suis sûre qu’il y en a car j’ai laissé deux ou trois tas de bois avec des branchages et il y a toujours des feuilles qui tombent et puis ils ont de quoi se nourrir car les insectes ne manquent pas …

            Le hérisson est un précieux allié au jardin car il est consommateur de limaces et d’escargots, hannetons, araignées et de tous les insectes qui s’attaquent à nos cultures. A l’occasion il s’attaque aux serpents, rongeurs et malheureusement aux petits oiseaux qui nichent à terre.

            J’aime beaucoup ce petit animal sauvage avec sa petite tête pointue qui se termine par un mignon petit museau tout noir et rond, et ses yeux ronds comme des billes. Il est mignon tout plein, mais il est aussi plein de puces !

            Il est semi noctambule c’est pourquoi il est rare de le voir, d’autant plus qu’à une période de l’année il hiberne de l’automne jusqu’au printemps.

            Une nuit ma fille fut réveillée par du bruit, elle sortit dans son jardin et fut toute étonnée de voir un hérisson qui mangeait les croquettes du chat ! Ce petit animal est fort bruyant quand il mange comme un vorace.

            Sa vie est dangereuse car il est la cible du blaireau, du renard, du chien, sanglier, grand duc. Avec le trafic routier beaucoup se font écraser, ou se noient dans les piscines.

            Et puis encore et toujours les mêmes causes lui sont fatales : pesticides, disparition des bocages et petits bois, les produits anti-limaces …

            Un soir, après avoir dîné mon mari et moi chez ma fille aînée à Perros-Guirec, nous avons vu traversant la route une petite famille hérisson, juste en face de la gendarmerie. Me croirez-vous si je vous dis qu’ils traversaient dans le passage clouté ? Est-ce qu’ils suivaient les lignes blanches ?

            Véridique comme aurait dit mon père ...

            J’ai pesté car naturellement  pas d’appareil photo pour saisir cette situation unique !

            Et vous mes amies avez-vous des hérissons, ou en avez-vous vus 

            Ma grande soeur m'envoie cet article que je partage avec vous, ça peut servir !

            Tous ceux qui travaillent dans leurs parterres de fleurs, tondent et arrosent la pelouse ou sortent la poubelle et cuisinent à l'extérieur ou tout autre chose en plein air, ont besoin de savoir cela : gardez une pièce de 5 ou 2 centimes dans votre poche.
 Il y a quelques semaines, j'ai été piqué par une abeille lorsque je travaillais dans le jardin. Mon bras a enflé, je suis allé chez le médecin. La clinique m'a donné de la crème et un antihistaminique. Le lendemain, le gonflement de mon bras augmentait progressivement, alors je suis allé chez mon médecin habituel. Le bras a été infecté et avait besoin d'un antibiotique.

            Le médecin m'a dit : - "La prochaine fois que vous vous ferez piquer, mettez une pièce de 5 ou 2 centimes sur la piqûre pendant 15 minutes".
             Plus tard, ma nièce a été piqué par deux abeilles. J'ai regardé la morsure et elle avait déjà commencé à enfler.
             Alors, j'ai mis une pièce sur son bras pendant 15 minutes. Le lendemain matin, il n'y avait aucun signe de piqûre. Nous avons décidé qu'elle n'était tout simplement pas allergique à la piqûre.
            Je me suis fait piquer à nouveau en faisant du jardinage, à deux reprises par un frelon sur ma main gauche. J'ai pensé, me voilà à nouveau chez le médecin pour une autre consultation. J'ai mis immédiatement une pièce sur mes piqûres, puis attendu pendant 15 minutes. Le lendemain matin, je ne pouvais plus voir l'endroit où le frelon m'avait piqué. Aucune rougeur, pas de gonflement.
            Si vous voulez partager cette information pour le cas où vous rencontrerez le même problème. Vous aurez besoin de garder en stock des pièces de monnaie à portée de la main.
            Le médecin a dit que le cuivre dans les pièces neutralise les méfaits de la piqûre. Ça fonctionne vraiment

            Pour encore une semaine je suis la Nounou de Kurun, (on prononce Kurune en breton, et cela signifie Tonnerre) ce qui est un euphémisme car tout en imposant il n’aboie pratiquement pas.

            C’est un bouvier croisé avec je ne sais plus quoi, mais peu nous importe car il est  adorable. Il a grandi avec mes deux petits enfants Gweltaz et Neven, mes deux champions, partageant leurs jeux.

            Avec moi il sait se faire mendiant quand je suis à table, assis sur son arrière train il me tend la patte et me regarde de ses beaux yeux qu’il sait rendre tristes, le coquin. Mais ça, il ne le fait qu’avec moi. Chez ses maîtres il ne le fait pas en toutou bien élevé. Ici pas de croquettes ! Pourvu que mes enfants ne m’en veuillent pas … Bon c’est les vacances, il reprendra vite ses habitudes après, c'est un chien intelligent et très obéissant.

            Il est toujours derrière moi ce n’est pas pour rien que ces chiens sont appelés « pot de colle ». S’il a envie de se promener il vient mettre sa tête sous mon bras qu’il écarte d'un coup de museau. Mais ça beaucoup de chiens le font.

            Alors que Gweltaz qui est l’aîné n’avait pas un an nous étions allées avec ma fille Armelle au marché de Trégastel du lundi matin. C’est incontournable, ce jour-là une petite fille donnait ses petits chiens. Nous avons craqué pour une adorable petite boule de poils, il y a de cela une bonne douzaine d’années. C’était encore les anciens francs et je n’avais plus, en fin de marché, qu’un billet de 50 Fr … La petite fille m’a remerciée d’un grand sourire et nous avons mis Kurun dans le porte-bagage de la poussette. Nous ne savions pas encore tout le bonheur qu’allait nous donner ce chien affectueux et fidèle.

            A l’origine dans le canton de Berne en Suisse le bouvier était utilisé comme chien de garde, de trait et de conduite des troupeaux. Sa robe est noire, blanche et marron, ses doux yeux tellement expressifs sont en amande, et sa truffe est bien noire, il ne lui manque plus que la parole bien qu'il se fasse bien comprendre.

            Nous faisons de longues promenades dans la campagne environnante car Kurun aime l’herbe fraîche où il adore se rouler. Devant un intrus il sait se faire dissuasif mais toujours sans agressivité.

            Vraiment dans notre famille tout le monde l’adore et il nous le rend bien.

            Nous avons perdu Sultane, un berger allemand fille et j’ai tellement eu de chagrin que je ne voulais plus avoir de chien, mais là quand je vais devoir « rendre » Kurun à sa famille je sais que je vais éprouver un grand vide.

            Comme j’aime beaucoup les bergers allemands que je  trouve très intelligents je vais commencer à me mettre en quête pour en trouver un. J'espère craquer vite !

Lu sur Wikipédia :      

Abeilles et bourdon

Ce sont des insectes sociaux. La reine au printemps une cavité naturelle ou un terrier de petit rongeur pour y bâtir un nid à l'aide de mousse, de poils, de feuilles, d'herbe et y pond ses premiers œufs dans des cellules de cire. Là, les larves se transforment en nymphes puis en ouvrières stériles qui continueront le développement de la colonie en butinant pour la nourrir de nectar et de pollen. À la fin de l'été une couvée donnera naissance à de nouvelles reines qui devront passer l'hiver et recommencer le cycle.

(schéma d'une fleur par Initiatives nature)

De quelle façon nos ailés se procurent le nectar

qui fera le bon miel ?

            Nos ailés introduisent leur trompe à l’intérieur du pistil de la fleur pour en aspirer le nectar qui sera stocké  dans son jabot, petite poche qui se trouve dans son estomac.

            Elle choisira des plantes mellifères qui sécrètent le nectar qui donnera par la suite le miel. Les  fleurs produisent du pollen mais ce que j'ignorai c'est que la rose et le géranium ne produisent pas de nectar.

            Dans l’article de  "initiatives nature"  j’apprends que les abeilles suivant leur région ne butinent pas les mêmes fleurs qu’elles soient provençales, picardes, bretonne ou parisienne !

           En montagne elles seront intéressées par les fleurs de châtaignier ou de bruyère. Dans le sud elles préfèreront  les fleurs d’abricotier, d’amandier, et des lavandes. En Brie c’est le tournesol et le colza , dans les grandes villes les fleurs de marronniers ou de paulownia.

           Mais ce qu’elles aiment le plus c’est les mauvaises herbes ! Et je pense à notre amie Titi Sardine qui s’escrime à arracher les pissenlits de sa pelouse. Titi sais-tu que tu enlèves ainsi le pain de la bouche à nos insectes volants ? Peut-être verras-tu d'un oeil nouveau les pissenlits en lisant cet article ?

          Les plantes  à laisser pousser dans les jardins : le trèfle, serpolet, pissenlit, ortie  et lamier.

                (Un bourdon butinant un cosmos

dans ma mini prairie)

                Tout comme les oiseaux et papillons, les abeilles et les bourdons sont aussi en voie de disparition. C’est inquiétant car  si ces insectes pollinisateurs sont bénéfiques et essentiels  à l’environnement, ils le sont aussi pour  nous-mêmes.

                On reconnait un bourdon d’une abeille à sa taille. Le bourdon est plus gros, plus rond. Il est sociable et n’attaque que s’il est en danger ou pour défendre son nid. Il ne pique ni ne mord comme pourrait le faire un scarabée. Tout comme l’abeille il récolte dans la nature nectar et pollen pour assurer la reproduction des plantes.

                Quand nous avons retourné la terre pour semer la mini-prairie nous nous sommes bien gardés d’approcher du nid qui avait été fait à même la terre. Il ne faut pas déranger les butineurs surtout en fin de journée quand ils rentrent. Le bruit du moteur de la machine-outil les rend nerveux car il émet des ondes qui perturbent la communication de ces insectes, car tout comme nous ils sont bavards et ont beaucoup de choses à se raconter. Il faut savoir que ces insectes n’attaquent pas sans raison. Moralité pour le bien être de chacun il vaut mieux travailler pendant la journée quand nos ailés sont de sortie.

                Si par malheur vous avez été attaqués, il faut arrêter le moteur de la machine et consulter un médecin qui préconisera un traitement à bas de cortisone.

                Mon amie Malone a un essaim d’abeilles dans son jardin et voudrait s’en débarrasser, ce qui est légitime.

            Si le réflexe serait d’appeler les pompiers, inutile ! Depuis un moment ils ne s’occupent plus de ça aussi ils conseilleront d’appeler une société spécialisée, qui facturera sa prestation.

            Le moyen le plus simple  est de contacter un apiculteur, c’est gratuit et permettra de sauver les abeilles tout en faisant une bonne action envers la nature ...