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1) Une femme entre dans une pharmacie et demande de l'arsenic...
* Que comptez vous en faire? lui demande le pharmacien
* C'est pour tuer mon mari...
* Quoi? Vous plaisantez! Je ne peux pas vous vendre de quoi commettre un meurtre!
La femme ouvre alors son sac à main, et en sort une photo de son mari en train de coucher avec la femme du pharmacien...
Ah, évidement, lui dit ce dernier, si vous avez une ordonnance, c'est différent
2) Les blondes ? Pas si con que ça, jugez en plutôt
Une blonde entre dans une banque et demande un prêt. Elle explique qu 'elle se rend au USA deux semaines pour affaires et a besoin d'emprunter 5.000 euros. L' agent dit que la banque aurait besoin d'une garantie pour ce prêt. La blonde tend alors les clefs de sa Rolls Royce neuve...
La voiture est garée devant la banque, la blonde a les papiers et tout est en règle. La banque accepte de prendre la voiture en gage pour le prêt. Dès qu'elle est sortie de l'agence, le directeur et ses agents éclatent de rire: "C'est bien une blonde, pour laisser une Rolls de 250.000 euros en gage d' un emprunt de 5.000 euros..."
Un employé se charge ensuite de garer la voiture dans le garage souterrain de la banque.
Deux semaines plus tard, la blonde revient : elle rend les 5.000 euros et les intérêts, qui se montent exactement à 15 euros et 41 cents. Le banquier dit alors: "Mademoiselle, nous sommes très heureux d'avoir fait affaire avec vous et cette transaction s'est fort bien passée, mais nous sommes un peu perplexes. Pendant votre absence, nous avons procédé à des vérifications à votre sujet et nous avons découvert que vous étiez multimillionnaire! Pourquoi cet emprunt de 5.000 euros?
La blonde répond: "A quel autre endroit de Paris puis-je garer ma voiture deux semaines pour 15 euros et 41 cents et m'attendre à la retrouver à mon retour?"
J'avais précisé mes amies(s) que je partais demain jeudi. Donc, je vous mets encore quelques blagues. BISES A TOUS !
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1) Darwin Awards
Michael Anderson Godwin était condamné à la chaise électrique mais fut gracié. Au mois de mars 1989, il réparait sa télévision en prison, assis sur la cuve métallique des toilettes.
En dénudant un fil avec les dents, il s'électrocuta.
2) C'est le conducteur d'une voiture qui ne sait pas qu'il vient d'être flashé par un radar alors qu'il dépasse la vitesse maxi autorisée.
Un mois plus tard, il reçoit un courrier de la police avec une photo de sa voiture, la vitesse de celle-ci lors du flash, et une amende de 500 frs à payer.
Alors le gars ne se démonte pas, et il renvoie au commissariat la photo d'un billet de 500 frs.
Une semaine plus tard, la réponse du commissariat lui arrive sous la forme d'un courrier, contenant une photo de ... menottes.
3) Le gars se présente à la caisse de la banque, à Rome, en Italie. Il présente à la caissière une petite feuille de papier où c'est écrit: Donnez-moi l'argent. C'est un hold-up.
La fille s'exécute, sans broncher.
Le gars quitte la banque et s'enfuit.
Quelques minutes plus tard, quand il arrive à la maison. La police l'attend. Il avait écrit son mot sur une enveloppe qui lui avait été adressée.
4) Michigan
Un homme portant un bas sur la tête tente de voler la caisse d'un supermarché. Quand la police arrive, il attrape rapidement un panier et fait semblant de faire ses courses ... oubliant le bas qu'il portait...
5)Un homme entre dans un magasin, pose un billet de $20 sur le comptoir et demande de la monnaie. Quand l'employé ouvre la caisse, l'homme brandit un revolver et demande à l'employé de lui donner tout le cash, ce qu'il fait. Le voleur prend l'argent et s'enfuit rapidement, laissant le billet de $20 sur le comptoir. La somme dérobée était de... $15. Question : si quelqu'un vous menace avec une arme et vous donne de l'argent, y a-t-il crime ?
Nota Bene :
Du jeudi au lundi 5 Novembre, nous partons chez les beaux -parents en Bourgogne. Bonne fin de semaine à tous !
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On raconte que dans la Perse ancienne vivait un roi nommé Zémir. Couronné très jeune, il se mit en devoir de s’instruire : il rassembla autour de lui de nombreux érudits provenant de tous les pays et leur demanda d’éditer pour lui l’histoire de l’humanité. Tous ces érudits se concentrèrent donc profondément sur cette étude.
Vingt années passèrent à la préparation de l’édition. Enfin, ils se rendirent au palais, chargés de cinq cents volumes à dos de douze chameaux.
Le roi Zémir avait alors dépassé la quarantaine.
« Je suis déjà vieux, dit-il, je n’aurai pas le temps de tout lire avant ma mort, alors, s’il vous plaît, faites –en une édition abrégée »
Durant une vingtaine d’années les érudits travaillèrent sur ces livres et revinrent au palais avec trois chameaux seulement.
Mais le roi était devenu très vieux. Il avait prés de soixante ans et était affaibli :
« Il ne m’est pas possible de lire tous ces livres. S’il vous plaît, faites en une version plus courte ».
Ils travaillèrent encore dix ans, puis revinrent avec un éléphant chargé de leurs ouvrages. Mais le roi avait maintenant plus de soixante-dix ans ; à demi aveugle, il ne pouvait plus vraiment lire. Zémir demanda alors une édition encore plus abrégée. Les érudits eux aussi avaient vieilli. Ils se concentrèrent encore cinq ans et juste avant la mort du roi, ils revinrent avec un seul volume.
« Je dois donc mourir sans aucune connaissance au sujet de l’histoire de l’homme », dit-il.
A son chevet, le plus âgé des érudits répondit :
« Je vais vous expliquer en trois mots l’histoire de l’homme : l’homme naît, souffre et finalement meurt »
A cet instant, le roi expira.
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1) Toto est assis au premier rang.
L'instituteur demande aux élèves de lui citer des exemples d'excitants.
- Le café répond Natacha
- Très bien lui dit l'instituteur
- L'alcool répond Pacha
- Très bien lui dit l'instituteur
- Une femme à poil répond Toto.
L'instituteur, d'une voix sévère, "Toto tu diras à ton père de passer me voir demain, j'ai deux mots à lui dire."
Le lendemain l'instituteur remarque que Toto est assis au DERNIER RANG.
Il l'interpelle :
- Toto as-tu fait la commission à ton père ?
- Oui Monsieur l'instituteur.
- Qu'est-ce qu'il t'a dit ?
- Il m'a dit : "si ton instituteur n'est pas excité par une femme à poil, c'est que c'est un pédé et tiens-toi loin de lui" !
2) Ceux qui n'ont pas d'enfant auront du mal à percevoir le réalisme de la situation. Les autres comprendront !
C'est l'histoire d'une instit en dernière année de maternelle. Un des gamins lui demande de l'aider à mettre ses bottes, et, en effet elles sont vraiment dures à enfiler. Après avoir poussé, tiré, poussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont chaussées et le gamin lui dit :
- Elles sont à l'envers Maîtresse !
La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet,les bottes sont à l'envers ... Bref, nouvelle galère pour les enlever ....
Et elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées aux bons pieds. Et le gamin lui dit :
- C'est pas mes bottes !
A ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe, elle se calme et demande pourquoi il ne l'a pas dit plus tôt.
- Bon, allez, on les enlève, dit-elle, et elle se remet au boulot.
Le gamin poursuit :
- Ce n'est pas mes bottes, c'est celles de mon frère, mais ma maman elle a dit que je dois les mettre.
Là, elle a envie de pleurer et entreprend, une fois encore, de lui remettre ses bottes. Pour finir, elle le met debout, lui enfile son manteau, son cache-nez et demande
- Où sont tes gants ?
Et le gamin de répondre :
- Dans mes bottes !
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1) David Goldblum discute avec son fils :
- Mon fils, je veux que tu épouses une fille que j'ai choisie pour toi !
- Comment ?! Mais enfin, je veux pouvoir choisir ma femme moi-même !!!
Le père dit alors :
- Mais cette fille est la fille de Bill Gates.
Le fils : "Ahhh, dans ce cas..."
Le lendemain, le père va voir Bill Gates:
- Bonjour, j'ai un mari pour votre fille.
- Comment ?! Mais enfin, ma fille est trop jeune pour se marier !!!
L'homme d'affaires répond alors :
- Mais ce jeune homme est vice-président de la Banque Mondiale...
Bill Gates: "Ahhh, dans ce cas..."
Le surlendemain, le père va voir le président de la Banque Mondiale.
- Bonjour, j'ai quelqu'un à vous recommander comme vice-président de la banque.
- Comment ?! Mais enfin, j'ai déjà plus de vice-présidents qu'il ne m'en faut !!!
Le père : - Mais ce jeune homme est le gendre de Bill Gates.
Le président : "Ahhh, dans ce cas...."
2)Un vieux monsieur et sa femme se baladent en voiture, lorsqu'un motard de la police double leur voiture et leur fait signe de se ranger sur le bas-côté :
Le vieux monsieur dit :
"Que se passe-t-il jeune homme?"
Le motard répond :
"Par le plus grand des hasards, n'auriez-vous pas remarqué que votre femme était tombée de la voiture lorsque vous avez redémarré de la station de service?"
Et le vieux monsieur répond :
"Non, je n'ai pas remarqué fils. En fait j'avais juste pensé que je devenais sourd. "
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A Cracovie ! Oui, comme tu l’entends. Figure – toi que depuis des semaines et des semaines, il y a cette voix, la nuit, qui me dit : « un trésor t’attend chez un juif de Cracovie nommé Eizik fils Yékel ! Oui sous le four ! » Or, la moitié des Juifs là-bas s’appellent Eizik et l’autre moitié Yékel ! Et tous ont des fours ! Tu me vois, moi, allant de maison en maison, démolissant tous les fours, à la recherche d’un trésor inexistant ? »
Bien –sûr, Eizik ne fut pas puni. Bien sûr, il se hâta de rentrer chez lui, il déplaça le four et trouva, bien sûr, le trésor promis ; il paya ses dettes, maria ses filles et en guise de reconnaissance, il fit construire une synagogue qui porte son nom : Eizik fils de Yékel, un Juif pauvre et pieux qui demeura pieux même quand il ne fut plus pauvre.
Et vous, avez-vous eu des rêves prémonitoires qui se sont réalisés ?
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Bien entendu, le récit ne s’arrête pas là. Le soir suivant, pour la troisième fois, Eizik entendit la voix : « Alors ? Tu n’es pas encore parti ? » irrité plus qu’intrigué- et pour en finir avec ces bêtises- il décida d’obéir, ou de faire semblant. Il se mit en route, à pied. Il arriva à Prague au bout de quelques semaines, transi de fatigue, de faim et d’insomnie. Il reconnut le fleuve, le pont, le palais ; il poussa un petit cri : « Je rêve, ça recommence ! » Non, il ne rêvait pas. Curieux tout de même, se dit-il. Un certain endroit, sous le pont, lui était particulièrement familier. Si j’essayais ? Qu’ai – je à perdre ? Il faudrait creuser, voir. Mais attention, pas si vite. Le pont était gardé, il ne fallait pas éveiller le soupçon des soldats.
Indécis, Eizik rôda autour de l’endroit, et finit par se faire remarquer et arrêter. Amené devant le capitaine des gardes et accusé d’espionnage, il ne trouva rien de mieux pour se défendre que de tout avouer. Les rêves, les soucis, la longue marche depuis Cracovie, la mémoire et la voix de cette mémoire. Il était sûr, Eizik, que l’officier, incrédule, le traiterait de menteur et le ferait fusiller. Quelle ne fut pas sa surprise de voir le méchant capitaine s’esclaffer en riant aux larmes : « Non, c’est pour ça que tu es venu de si loin ? Mais, vous les Juifs, vous êtes plus stupides que je ne pensais ! Tiens, moi tel que tu me vois, si j’étais aussi bête que toi, si moi aussi j’écoutais les voix, sais-tu où je serais en ce moment même ?
A Cracovie ! Oui, comme tu l’entends.
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Quelque part à Cracovie, alors qu’il y avait encore des Juifs à Cracovie, et que ces Juifs n’avaient pas peur de rêver la nuit, il était une fois un homme nommé Eizik fils de Yékel.
Pieux et pauvre, et naïf de surcroît, désarmé devant la vie, il n’arrêtait pas de s’inquiéter : il y avait le loyer à payer, et le boucher, et le précepteur, et il y avait les filles à vêtir, à marier, et le temps pressait, pressait.
Eizik, pauvre Eizik, que pouvait-il faire ? Que pouvait –il faire d’autre que s’inquiéter ? Il priait. Jour après jour, à chaque office, et même entre les offices, à la Synagogue et dans la rue et chez lui, il implorait l’Eternel de se souvenir de son serviteur endetté et tourmenté qui n’en pouvait plus. En vain. Dieu semblait ne pas écouter. N’empêche que notre Eizik continuait de Lui adresser ses requêtes. Il n’en était pas moins pieux, ni moins pauvre.
Puis, une nuit, il eut un rêve bizarre, il se voyait transporté dans un royaume lointain, dans la capitale, sous un pont, à l’ombre d’un immense palais, et une voix lui dit : « Voilà Prague, voilà la Vltava, voilà le palais des rois ; regarde bien, regarde sous le pont, à l’endroit où tes pieds sont posés, il y a un trésor, il t’attend, il est à toi : tes problèmes sont résolus. »
Au matin, Eizik se moqua de lui-même : les rêves, c’est bien beau, ça ne coûte rien ; mais ça ne sert à rien non plus. Il n’y pensa plus. Mais le soir, à peine eut-il fermé les yeux que la même vision s’emparait de so esprit : la capitale, le palais, le pont. Et la même voix qui demandait : « Tu veux être riche, ou préfères-tu l’inquiétude ? « Quelle histoire, pensa Eizik, quelle idée d’aller à Prague ! Il n’avait nulle envie d’y aller ; il ne connaissait personne. Et puis, c’est loin, et cher. Et il n’avait pas d’argent ; s’il en avait, il saurait quoi en faire. Le loyer, le boucher, le précepteur. Bah, entre les rêves et les prières, Eizik choisira les prières ; il y en a même une pour conjurer les rêves.
Bien entendu
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1) C’est 2 marseillais qui boivent un coup au bistrot du coin et il y a en un qui dit à l’autre :
- Oh, peuchère, il m’est arrivé un de ces trucs, hier j’ai rencontré une gonzesse et elle m’a emmené chez elle.
- Ah ouais, qu’est –ce qui s’est passé ?
- -Attends ! on va chez elle. En entrant dans le salon, elle se déshabille et me fait : « tu veux que je te fasse la tempête ? « Alors, moi tu m’connais, j’y dis : « Ben ouais, vas – y ! » Oh putaing ! elle branche l’aspirateur, elle me le passe dans les cheveux et tout …après elle me déshabille et puis elle me dit : « tu veux que je te fasse la pluie ? » Bonne mère, moi tu m’connais, j’y dis vas-y. Alors elle ouvre le robinet et commence à en foutre partout ! Et après, elle me fait : ‘tu veux que je te fasse la tornade ? » Moi, tu me connais, je ne suis pas contrariant : elle me monte dessus avec le sèche – cheveux, elle me le passe partout et elle me fait la tornade… »
- Bon, bref, et après : tu l’as baisée ?
- -Tu es fada ? avec un temps pareil ?
2) C’est un mec qui va bouffer dans un mauvais restaurant.
Il a commandé une poularde de Bresse, et non seulement elle est dure mais la sauce est absolument dégueulasse. Alors il appelle le serveur et lui fait :
-Sa poularde de Bresse, au chef, vous pouvez lui dire qu’il peut se la mettre là où je pense !
-Impossible, Monsieur, il a déjà une salade, une côtelette et deux terrines.
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1) Deux amis, Maurice et David, ne se sont pas vus depuis de nombreuses années.
Un jour, ils se rencontrent au détour d'une rue du Sentier :
- Maurice, mon ami, c'est bien toi ?
- David, ça fait si longtemps ! Comment ça va ? Les affaires ça marche ?
- Oui, très bien. Et pour toi ?
- Le magasin marche bien. Je suis toujours dans la confection et on attend un petit dernier, et toi ?
- Ca va aussi. Je rentre d'Israël, avec ma femme Rachel. Les enfants vont bien aussi. Ils parlent pendant quelques minutes, puis David invite son vieil ami à dîner un soir. David explique :
- Pour venir à la maison, c'est très facile. Je suis au 17 rue Talman. A la porte, avec ton coude tu tapes B2174, puis tu donnes un petit coup de pied dans la porte et tu entres. Tu appelles l'ascenseur en appuyant sur le bouton ! avec ton coude, puis tu entres en tirant vers toi la porte avec ton pied. Enfin tu appuies sur le 5 avec ton coude.
- OK !
- Ma porte est juste en face de l'ascenseur. Tu n'auras qu'à appuyer sur la sonnette avec ton coude, et on viendra t'ouvrir.
- Mais... Je ne comprends pas très bien. Pourquoi je dois donner des coups de pied dans les portes et appuyer avec mon coude ?
- Maurice, tu ne vas pas arriver les mains vides quand même ?
2) Monsieur le commissaire, annonce un mari éperdu, je viens vous déclarer la disparition de ma femme. Elle était sortie pour promener le chien et voilà une semaine qu'elle n'est pas rentrée à la maison. - Pouvez-vous me donner son signalement ?
- Euh.. Elle est rousse. Non, blonde.. Pas très grande... Pas vraiment petite, non plus.. Et elle a les yeux verts. Non, bleus.. Non, verts, verts... Enfin je crois.
- Bien, dit le commissaire en soupirant. Et le chien, il état de quelle race ?
- Briard. Soixante-cinq centimètres au garrot, poil fauve clair, truffe noire, yeux marrons foncés, légère cicatrice sous le menton, numéro de tatouage VRZ 985 ...