Promis, ce soir je  répondrai individuellement à chaque message qui m'a été adressé.

Nous sommes rentrés hier soir de la Bourgogne. Le temps était froid et sec(sauf les 2 derniers jours) Nous avions de -1° à -10 ° !!! Mais, le soleil était présent et ce fut très agréable.

Le réveillon s'est bien passé, mes beaux parents avaient fait en entrée des oeufs mimosa, ensuite, nous avons eu droit à des paupiettes de veau et de porc puis une dinde aux marrons, de la salade, du fromage et l'éternelle bûche + un autre gâteau car c'était l'anniversaire du neveu de mon mari. Sympa non ? et pour la St -Sylvestre, belle maman avait fait un gigot d'agneau en plat de résistance, en entrée du foie gras et du saumon fumé, ensuite salade, fromage et glace (une plombière ? ) vous connaissez ?

J'ai eu plein de cadeaux du Père Noël des beaux parents et de mon homme : un collier (bijou fantaisie mais très joli), un plat à dessert joli, un parfum" Ivoire de Balmain" j'aime beaucoup, du chocolat et des biscuits et enfin, une plante (dont je ne sais plus le nom). Sympa non ?

Enfin, nous sommes allés danser le 31 déc. et sommes rentrés à 4h30.

Le lendemain, mon homme, courageux a fait 450 km ! Enfin, suis bien rentrée et très satisfaite de mon séjour malgré le froid. Je vous avoue que j'ai conservé le même poids parce que je n'ai gouté à aucun gâteau ni sucrerie quelqu'elle soit. Résolue la môme me direz -vous. Yes !

Bisous à tous et à ce soir.

Visionner cette vidéo, il y a un faux strip -tease.

Demain, je vous mettrai un conte. Promis.

Nous partons aujourd'hui vers la Bourgogne où il fait -8°. Mais, comme nous allons en famille, nous n'aurions sûrement pas froid. Les beaux parents sont ravis de nous revoir et nous donc !
La nature est belle quand elle est recouverte de son blanc manteau. Je vais essayer de ne pas trop craquer. Nous serons de retour le 1er jour de l'annnée prochaine.

Meilleurs Voeux à chacune d'entre vous.

Gros bisous  à vous tous

Un petit garçon demande à sa mère :

« Pourquoi pleures-tu ? »

« Parce que je suis une femme » lui répond – elle.

« Je ne comprends pas  ” dit-il.

Sa mère l’étreint et lui dit : « Et jamais tu ne réussiras ”.

Plus tard le petit garçon demande à son père :

« Pourquoi maman pleure –t elle ? »

« Toutes les femmes pleurent sans raison », fut tout ce que son père put lui dire.

Devenu adulte, il demanda à Dieu : « Seigneur, pourquoi les femmes pleurent –elles aussi facilement ? »Suite dans commentaire.

II y avait une fois un chat et un perroquet. Ils étaient convenus de s’inviter mutuellement à dîner ; chacun à son tour. Le chat devait commencer. Or il était très avare. Il ne mit sur la table qu’un litre de lait, un petit morceau de poisson et un biscuit. Le perroquet était trop poli pour se plaindre, mais il n’était pas très content. Quand ce fut son tour d’inviter le chat, il prépara un très bon dîner. Il fit rôtir une longe de veau, cueillit une corbeille de fruits, remplit une théière de thé, et mieux encore, fit cuire toute une quantité de gâteaux, de jolis petits gâteaux ronds, bruns et croquants. Il y en avait 500 ! plein une corbeille à lessive.
Et il mit 498 gâteaux devant le chat en n’en gardant que deux pour lui –même.
Bien. Le chat mangea le rôti et but le thé. Il suça les fruits, puis il attaqua la pile de gâteaux. Il les mangea tous, tous les 498 ! Puis, il se tourna vers le perroquet et dit :
-J’ai faim. N’avez-vous rien d’autre à manger ?
-J’ai 2 gâteaux, dit le perroquet, qui avait été si étonné de le voir faire qu’il n’avait pas songé à les goûter. Si vous les voulez ? Le chat les mangea, puis, se léchant les babines, dit :
-Je commence à me sentir en appétit. N’avez-vous rien d’autre à manger ?
-Vraiment ! dit le perroquet, qui commençait à se fâcher, je ne vois rien de plus, à moins que vous ne me mangiez moi –même !
Le chat parut réfléchir pour enfin ajouter : « je suis bien tenté mais si je vous mange, vous qui êtes si petit, j’aurais encore faim et je perdrai un ami généreux. En fait, je voulais vous tester et voir si vous étiez un véritable ami . A partir d’aujourd’hui, je vous protégerai et nous irons ensemble chercher à manger et nous partagerons. J’ai honte de vous avoir mal reçu . Me pardonnez vous ? »
Le perroquet poussa un long soupir de soulagement en entendant ces belles paroles et dit « Celui qui pardonne est généreux mais celui qui regrette et a des remords l’est encore plus ! la suite ds comentaire

Solution :
Posant l’oreille sur le ventre du cheval, le notable y perçut des bruits aquatiques. Comme tous les bronzes de taille importante, cette statue est creuse. De l’eau de pluie étant entrée par des fissures, une grenouille avait eu l’idée insolite de s’y installer... Certains jours de printemps, elle chantait, et son chant, déformé par les méandres de cette caverne de bronze, n’était plus reconnaissable.
Par respect pour la mémoire de Marc Aurèle, le notable fit percer le ventre du cheval. L’eau s’écoula, la grenouille mourut et la légende s’éteignit.

BLAGUES pour vous :
1) En 2002, dans le monde entier, on a gaspillé 5 fois plus d'argent pour des implants mammaires et le Viagra que pour la recherche contre la maladie d'Alzheimer.
On peut donc conclure que dans 30 ans, il y aura un très grand nombre de personnes avec de gros nichons et de superbes érections, mais incapables de se rappeler à quoi ça sert !
2) Des étudiants en médecine reçoivent leur premier cours d anatomie avec un vrai corps humain.
Ils sont tous réunis autour d une table d'opération avec le corps recouvert d un drap blanc.
Le professeur leur dit : En médecine, il faut avoir 2 qualités importantes.La première, il ne faut pas être dégoûté. Là-dessus, le prof retire le drap, enfonce un doigt dans l'anus du mortet, quand il l'a retiré, il suce son doigt.Allez, faites la même chose que moi !
Les étudiants, après quelques minutes d'hésitation, passent chacun leur tour. Ils enfoncent leur doigt dans l'anus du mort et sucent leur doigt après
l'avoir retiré.Quand tout le monde a fini,le prof les regarde et leur dit :La deuxième qualité,
c est l 'observation. J'ai enfoncé mon majeur et j'ai sucé mon index.

1) Enigme : La statue équestre en bronze de l’empereur Marc Aurèle, qui date du 2ème siècle, est exposée sur un socle de pierre au milieu d’une place romaine. Cette imposante et belle sculpture est entourée de plusieurs légendes concernant la fin de Rome, et par voie de conséquences la fin du monde. L’une de ses légendes repose cependant sur une réalité.
Un jour, bien des siècles après la mort de Marc Aurèle, se répandit dans la Ville Éternelle la nouvelle que son cheval de métal s’était mis à chanter.
Comme on parlait de plus en plus de ce prodige, un notable intrigué vint enquêter sur place. Il dut se rendre à l’évidence : le cheval de bronze était certaines nuits la source d’une bizarre mélopée.
Après une minutieuse observation il découvrit le secret de l’énigme.
(La statue de Marc Aurèle se trouve sur la place du Campidoglio, mais c’est en réalité une copie en matériaux modernes que les visiteurs admirent maintenant, la statue originale étant conservée à l’abri de la pollution. C’est bien sûr de cette dernière dont il est question dans cette énigme).

2) Jeu de mots :Comment appelle-t-on un nain qui est le gourou d'une secte ?
Un sous-doué ... car c'est un nain culte.
* Comment appelle-t-on un nain qui déteste la monde entier ?
Un anxieux ... car c'est un nain qui hait
* Comment appelle-t-on un nain qui se fait passer pour un autre ?
Un préposé des postes ... car c'est un nain posteur
* Comment appelle-t-on un nain qui sait se débrouiller en toute occasion ?
Un chef ... car c'est un nain compétant.
* Comment appelle-t-on un nain qui sait faire beaucoup de choses?
Une lumière ... car c'est un nain capable.
* Comment appelle-t-on un nain qui a des actions à la Générale des Eaux ?
Un Képi car c'est un petit qu'a l'eau !
* Comment appelle-t-on un nain qui a labouré son champ ?
Un WC car c'est le petit qu'a biné.
* Comment appelle-t-on un nain qui transpire beaucoup ?
Un gnouf car c'est le petit qu'à chaud
Bonne journée !

1) toujours avoir l’air absorbé et légérement soucieux
Seuls les imbéciles, les subalternes et les Américains ont l’air détendu pendant leurs heures de travail.
2) toujours avoir l’air pressé
Courir dans les couloirs, même si vous allez vous promener. Vous serez classé parmi les gens dynamiques, ce qui constitue un grand label. Réapprendre au plus vite tout ce que votre mère vous a défendu pendant votre enfance (claquer les portes, raccrocher violemment le téléphone, jurer le plus possible quand il est nécessaire de paraître en colère...).
3) ne jamais se déplacer sans un porte-documents bien rempli
Au besoin, bourrez-le avec de vieux journaux. D’ailleurs, pour le standing, “Le Monde” est recommandé. Rien ne vous empêche de dévorer “France Soir” ou “L’Équipe”, pourvu que ce soit à huis clos et sans témoin
4) avoir des idées originales
Mais attention, que ces idées soient bien les mêmes que celles de vos supérieurs Sans quoi vous passeriez pour un dangereux idéaliste
Suite dans commentaire et BON WEEK END A TOUS !

Le gars s’est approché peu à peu du château. Il est allé y vendre des pommes, quand le vieux n’était pas là.
-Le marchand de pommes vient souvent : dit le tailleur à la fille du roi !
Elle l’avait bien reconnu, c’était son mari ! mais elle ne l’a pas dit au vieux. De plus en plus, elle repoussait le vieux tailleur.
-Où est –il, le marchand de pommes ? demande le vieux.
-C’est un jeune homme qui passe par là, dit-elle.
A la fin, le gars a réussi à partir avec sa femme. Le vieux avait dit à la fille du roi :
-Aujourd’hui, je vais te donner ma lampe (il la gardait toujours dans son gilet).
Elle lui a donné à boire du « vin dormant » ; il en a bu un coup, et il est tombé endormi.
Le jeune homme a sauté sur la lampe : au bout d’un an, il devait avoir ramené le château où il était avant. Qu’est – ce qu’il fait ? Quand il a pu avoir la lampe, il a dit :
-Je veux que le château soit transporté là-bas, où il était.
Quand le vieux s’est réveillé, il n’avait plus de lampe.
-J’ai perdu ma lampe ! ça ne fait rien : je vais la rattraper.
Le château était de nouveau en France, juste à l’endroit où il était avant ; il n’y avait pas moyen de le mettre plus juste.
-Maintenant, ma lampe ne partira plus de là ! dit le jeune homme et il la gardait toujours avec lui. Le vieux est revenu au château pour essayer encore d’échanger des lampes neuves contre une vieille. Mais le jeune homme était là, et il n’y avait rien à faire.
Alors le tailleur a essayé d’avoir avec lui des génies capables d’écraser les génies de la lampe ; mais il n’a pas pu. Ceux de la lampe étaient les plus forts. Après ça, il a réussi à envoyer chez le gars l’Eau qui danse.
-Tu vois l’Eau qui danse, là, dans la cour ?
-Oui.
-Si tu avait là aussi l’Oiseau qui parle, et puis son génie, et l’œuf qu’il a pondu, tu n’aurais plus rien à désirer.
-Enfin ! on va voir ça.
Le jeune homme a demandé à sa lampe de lui apporter l’Oiseau qui parle.Suite dans commentaire

Il s’est mis à acheter des lampes neuves, pour essayer de les échanger contre la lampe merveilleuse. Le jeune homme était devenu riche. Il a voulu se marier avec la fille du roi. La mère a été au château pour demander la fille en mariage pour son gars.
On verra, dit le roi.
Le jeune homme a continué de frotter la lampe merveilleuse : il avait toutes les richesses qu’il voulait. Il a encore essayé d’avoir la fille du roi. Sa vieille mère allait au château tous les jours, mais lui jamais.
Le roi dit :
-Comment faites-vous pour être si riches ?
-Ma foi ! dit-elle, je peux vous dire comment il fait : il a la lampe merveilleuse.
-Oh ! dit le roi, eh bien ! vous n’aurez pas ma fille.
Voilà la fille du roi près de se marier avec un autre. Le gars a réussi à empêcher ça ; puis après il a voulu que la fille du roi l’épouse, et il y a réussi. Ils ont fait bâtir un château à côté de celui du roi de France.
Les voilà partis chasser en Bretagne, le roi et son gendre. Quand ils sont revenus, le château avait disparu.Le vieux tailleur avait su que son neveu n’était pas là. Il était passé là, en disant : Qui veut une lampe neuve, contre une vieille lampe ?
Les gens du château ont donné la lampe merveilleuse, qui était vieille, pour avoir une lampe neuve. Le vieux a emmené le château avec la fille du roi de France, et il est reparti en Indochine.
Quand les autres sont rentrés de Bretagne, le roi a dit à son gendre : - Il faut que dans un an ma fille soit là, sinon, je te retrouverai n’importe où tu seras, et gare à toi, alors ! le jeune homme part chercher sa femme.
Il était arrivé dans le fond de l’Indochine. Il allait se noyer, quand il a touché un caillou avec l’anneau de sa main : -Qu’est-ce qu’il te faut ?
Me sortir de d’ici, et me dire où est mon château.
-Je te dirai où il est, mais je ne te le donnerai pas.
Il est en Indochine. Mais, le génie de la lampe est plus fort que notre génie ! Le gars s’est approché peu à peu du château.

1) Solution: Cet objet n’est autre que la main d’un marin mort dans un naufrage. Elle tient un petit bateau inachevé destiné à son fils.Véridique et existe toujours.

2) Solution :La bonne question est : Quel chemin me conseillerait ton frère si je lui demandais de m’indiquer le bon ? On prendra alors systématiquement le chemin contraire à celui qui sera mentionné dans leur réponse.

3) Solution : L’éponge. Lorsqu’on la découpe en morceaux et que l’on dépose ces morceaux dans leur milieu habituel, chacun d’entre eux donne une nouvel individu. Ceci est vrai d’ailleurs pour d’autres animaux primitifs. Avec l’éponge on peut cependant pousser plus loin encore ce genre d’expérience : réduite en bouillie et plongée dans un récipient contenant de l’eau de mer, elle se reconstitue en quelques heures en un seul individu.

Conte :La lampe merveilleuse
Un tailleur d’habits, après avoir été longtemps en Indochine est revenu en France. Il était un peu sorcier. Quand il est rentré dans son pays, il a trouvé son neveu qui était pauvre et vivait avec sa mère. Le vieux lui a dit :
-Si tu veux, viens avec moi. Je vais te faire descendre dans un trou, pas loin d’ici ; en bas, tu vas me chercher une lampe.
Le vieux se disait :
-Peut-être restera –t-il au fond ! Il ne saura pas le secret pour en sortir.Le jeune homme avait à son doigt l’anneau qu’il fallait pour aller dans le trou. Quand il est arrivé à la lampe, son oncle lui a fermé l’entrée du trou. Il s’est cru près de mourir, là ; mais sa main a touché un caillou, et un géant est venu.
-Qu’est-ce qu’il te faut ?
- Me mettre dehors, si vous pouvez.
Dans ce trou-là, il y avait des pierreries de toutes sortes : il les a prises avec lui ; et puis il est parti alors à la maison. Mais son oncle était reparti en Indochine.
Arrivé là-bas, le vieux a su que son neveu n’était pas mort. Alors, il revient dans son pays pour essayer de rattraper la lampe merveilleuse que le gars avait trouvé dans le trou. Suite demain