La firme coréenne serait en train de travailler sur le renouvellement de sa gamme Galaxy A. L'existence du Galaxy A9, ainsi que celle des successeurs des Galaxy A3, A5 et A7 auraient en effet été confirmée par des sources internes.

Le Samsung Galaxy A9 a été aperçu un peu plus tôt ce mois-ci sur GeekBench. Il est apparu sur l'outil de benchmark avec un processeur Snapdragon 620, 3 Go de RAM et fonctionnant sous Android 5.1.1 Lollipop. Il constituerait donc un successeur logique au Galaxy A8, sorti en août dernier avec un SoC Snapdragon 615, combiné à 2 Go de RAM.

D'après SamMobile, le Galaxy A9 serait d'ailleurs bien dans les plans de Samsung. En effet, des sources internes auraient confirmé au site d'information l'arrivée future du smartphone sur le marché. Toutefois, le Galaxy A8 étant assez récent, nous devrions encore attendre quelques mois avant que le Galaxy A9 ne soit officialisé.

SamMobile indique par ailleurs que les Galaxy A3, Galaxy A5 et Galaxy A7 devraient également avoir des successeurs dans les mois à venir. De nouveaux modèles ont été aperçus sur la toile la semaine dernière avec les références SM-A310F, SM-A510F et SM-A710F en Russie et les SM-A5100 et SM-A7100 en Chine. Des références très proches de celles du trio original : SM-A300F, SM-A500F, et SM-A700F.

Les trois smartphones seraient accompagnés d'une liste d'accessoires constituée d'un film de protection officiel et d'étuis Flip Wallet, Clear Cover et S View Cover. Les Samsung Galaxy A3 et A5 ayant été officialisés en décembre 2014 (suivis du Galaxy A7), il serait même assez logique que la firme coréenne dévoile une nouvelle génération de Galaxy A en fin d'année.

Espérons que ces nouveaux smartphones reçoivent un aussi bon accueil que leurs prédécesseurs. Quoiqu'il en soit, comptez sur nous pour vous tenir informés des informations relatives à ces futurs Galaxy A dès que nous en saurons plus à leur sujet.

Trois mois après son officialisation, le nouveau flagship de Meizu vient de faire son arrivée sur le marché français. Doté d'une fiche technique très solide, il est commercialisé à moins de 400 euros, et constitue désormais l'un des meilleurs rapports qualité/prix du moment.

Après avoir été officialisé en juin dernier en Chine, le Meizu MX5 fait enfin son arrivée sur le marché français. Avec deux bonnes semaines de retard vis-à-vis du planning initial. La cinquième génération de flagship Meizu vient en effet d'être référencée sur la boutique en ligne française de la marque. Deux variantes y sont listées : l'une avec 16 Go de mémoire interne, l'autre avec 32 Go. Chacune de ces variantes est d'ailleurs dupliquée en deux coloris : gris et argent/blanc.

Le prix des quatre modèles est d'ailleurs le même : 399 euros, puisque les MX5 32 Go bénéficient d'une réduction de 50 euros sur leur prix initial de 449 euros. La limite de cette promotion n'a pour l'instant pas été indiquée.

Notez au passage que vous devrez ajouter à cela 6 euros de frais de port si vous choisissez l'envoi par So Colissimo, et 8,40 euros si vous optez pour Chronopost.

Le Meizu MX5 est un vrai smartphone haut de gamme. Il affiche en effet un écran de 5,5 pouces doté d'une définition Full HD (1920 x 1080 pixels). Pas de Quad HD donc. En revanche, il est bien doté d'un lecteur d'empreinte avec mTouch 2.0, une technologie plus rapide et moins encombrante que celle embarquée sur le MX4 Pro.

À l'intérieur, la rapidité est également à l'honneur puisqu'il est animé par un chipset Helio X10 Turbo, composé de huit coeurs Cortex-A53 cadencés à 2,2 GHz. À ses côtés figurent un GPU PowerVR G6200 et 3 Go de RAM. L'espace de stockage dépendra du modèle choisi : entre 16 Go, 32 Go et 64 Go. Une batterie de 3150 mAh est aussi de la partie, accompagnée du protocole mCharge qui peut recharger jusqu'à 25 % en 10 minutes et 60 % en 40 minutes.

Le Meizu MX5 est également à l'aise en photo, puisqu'il embarque un capteur Sony IMX220 20,7 mégapixels doté d'une optique à six éléments, aidé par un autofocus laser et par un double flash LED. Notez aussi qu'une webcam de 5 mégapixels est intégrée à l'avant du téléphone.

Le tout repose sous FlymeOS 4.5, basé sur Android Lollipop, et reste confiné dans un châssis unibody en métal de 149,9 x 74,7 x 7,6 mm pour 149 grammes.

Si vous souhaitez vous le procurer, il ne vous reste donc plus qu'à vous rendre sur la boutique en ligne de Meizu.

Le successeur du Honor 4X vient d'être référencé par l'organisme de certification chinois TENAA. Disposant d'un design ressemblant beaucoup à ceux des flagships de la marque et d'une coque métallique unibody, il pourrait bénéficier malgré tout d'un tarif très abordable.

Huawei avait officialisé en octobre dernier le Honor 4X, donnant alors naissance à un nouveau membre de son portefeuille de smartphones milieu de gamme. L'appareil, que nous avons pu tester, est doté d'un écran de 5,5 pouces HD (1280 x 720 pixels) et d'un processeur Snapdragon 410, pour constituer au final un « smartphone abordable bien construit avec une proposition technologique équilibrée » selon nos propos de l'époque.

Bonne nouvelle pour ceux qui ont apprécié ce mobile : il semblerait que son successeur soit dans les tuyaux, puisqu'un Honor 5X vient de faire son apparition chez TENAA, l'organisme de certification chinois. Ce smartphone serait d'ailleurs doté d'un positionnement un peu plus élevé que celui de son prédécesseur si l'on en croit le visuel ci-dessous. Sa coque métallique unibody contraste en effet avec celle en polycarbonate du Honor 4X. Le Honor 5X bénéficie d'ailleurs d'un design ressemblant beaucoup à ceux des flagships de la marque, à savoir les Honor 7 et Huawei P8.

TENAA ne nous donne aucune information quant à ses spécifications, mais comme nous le rapporte le site GizChina, les rumeurs évoquent un tarif très abordable situé autour des 1000 yuans, soit environ 140 euros.

Bien que nous n'ayons pas encore pris connaissance des éléments de sa fiche technique, les bruits circulant sur la Toile évoquent un écran de 5,5 pouces Full HD (1920 x 1080 pixels). Sous cette dalle, certains évoquent la présence d'un Snapdragon 615, d'autres celle d'un MediaTek MT6753. Aux côtés de ce processeur sont attendus 2 Go de RAM et 16 Go de mémoire interne. Côté photo, le Honor 5X pourrait embarquer un capteur 13 mégapixels au dos, ainsi qu'une webcam de 5 mégapixels à l'avant. Ajoutez à cela une coque en métal, comme nous le disions plus tôt, ainsi qu'un lecteur d'empreinte, visible sur l'un des clichés.

L'apparition d'un smartphone sur TENAA s'accompagne généralement d'une officialisation dans les semaines suivantes. Comptez donc sur nous pour vous tenir au courant dès que cet Honor 5X fera de nouveau l'actualité.

Fidèle au calendrier dévoilé au printemps dernier, Microsoft livrera la première version bêta de Cortana sur iOS avant la fin de l'année. Par l'intermédiaire d'un billet publié sur son portail, le géant a en effet annoncé que, "dans l'esprit du programme Windows Insider, [il] était à la recherche d'un nombre limité de personnes dans le cadre de l'essai d'une version précoce de l'application". Le but de la manœuvre, naturellement, est de "s'assurer que [Cortana] est un excellent assistant personnel sur iOS également". Mais pour ce faire, la firme n'a pas besoin d'un test à l'échelle mondiale. C'est pourquoi ce premier essai ne se déroulera que sur les sols américain et chinois. Microsoft invite les candidats à répondre à un sondage pour se manifester.

Bien évidemment, comme pour la version Android de l'application, toutes les fonctions de Cortana sur Windows 10 ne seront pas présentes sur iOS. Il sera impossible, par exemple, de héler l'assistant à la manière d'un "OK, Google" sur Android. La firme assure néanmoins "s'être concentrée pour faire de Cortana sur iOS un parfait compagnon de votre expérience Windows". Mais elle n'oublie pas de rappeler que "l'intégration profonde de Cortana au sein de Windows signifie que c'est là où elle peut réellement briller".

Clarion continue d'innover sur ses stations multimédias double DIN. La dernière en date, la NX405E, fait la part belle à l'affichage multicolore, mais n'oublie pas pour autant la navigation en mode 3D ni la possibilité de téléphoner en mains libres.

L'équipementier japonais Clarion a récemment dévoilé la NX405E (749 €), une station multimédia double DIN dotée d'un écran tactile WVGA de 6 pouces pour une définition de 800 x 480 pixels. L'originalité de ce bloc multimédia tient à la présentation de son interface à l'écran. Toutes les fonctions apparaissent sous forme de grandes icônes portant des coloris différents, le tout rangé en épi. Pour les fondus de tuning, Clarion propose pas moins de 728 coloris pour le rétroéclairage de son NX.

Avec son large écran, la NX405E est idéale pour la navigation. Cela tombe bien, car le Clarion embarque la solution de navigation iGo NextGen qui permet de découvrir les routes de 47 pays avec un affichage en 3D. Comme il est de rigueur sur tous les produits de navigation, cette carte 3D à 360 degrés affiche les bâtiments, les monuments et les terrains d'une ville. N'oublions pas l'information trafic en temps réel (TMC). Les accros du mobile ne sont pas oubliés avec un module Bluetooth signé Parrot qui permet de passer et de recevoir des appels en mains libres.

Côté multimédia, que du traditionnel avec lecture des différents formats de fichiers existants tels que le MP3, MP4, WMA… qu'ils soient stockés sur CD, DVD (R/RW) ou clé USB. À propos de port USB, la NX405E en offre deux situés à l'arrière de la station multimédia. On trouve également une prise HDMI permettant de visionner les photos et films de votre smartphone. Enfin, l'iPod comme l'iPhone sont supportés.
 
En revanche, il est dommage de ne pas trouver les systèmes CarPlay (Apple), Android Auto et Mirror Link.

Les adeptes de camping-car trouveront quant à eux leur bonheur avec une version dédiée, la NX405EC (949 €) qui prend en compte les dimensions de l'engin afin de proposer les meilleurs itinéraires ainsi que les aires de services.

Samsung et les montres connectées, c'est déjà une histoire comptant plus de 5 produits en à peine 2 ans. Après avoir abreuvé le monde de références, la marque Coréenne a levé le pied cette année pour finalement débarquer avec une tocante faisant suite à sa plus Star Trek de montre, la Gear S et son écran Amoled courbe à connexion 3G. Cette fois-ci, pas de look futuriste et de multi-équipement, retour à un modèle connecté plus basique, mais aussi plus proche d'une montre traditionnelle.

Dans le boîtier, on trouve une puce mobile maison double-cœur sur une architecture ARM Cortex A7, baptisée Exynos 3250 et cadencée à 1 GHz, une mémoire vive de 512 Mo, une capacité de stockage de 4 Go, un micro, du Wi-Fi et du Bluetooth 4.1. Soit un équipement technique plutôt commun aux montres connectées issues de l'univers Android Wear. Pour recouvrir le tout et afficher heure, notifications et applications, la Gear S2 se pare d'un écran tactile Super Amoled de 1,2 pouce (3 cm) doté d'une définition de 360 x 360 px. Autour de l'écran-cadran, une bague circulaire et mobile prend place, pour la navigation au sein de l'OS et du contenu. Le dos du boîtier accueille un cardiofréquencemètre par lecture optique. Un podomètre, un accéléromètre et enfin un gyroscope complètent la liste des capteurs d'activité embarqués.

La montre nécessite la connexion d'un smartphone Android, quelle que soit la marque, à partir du moment où ce dernier possède au minimum une mémoire vive de 1,5 Go et l'OS Android 4.4 KitKat ou ultérieur.

La montre connectée Samsung Gear S2 Classic est commercialisée au tarif indicatif de 379 €. Sa jumelle en version Sport a pour seules différences le design, forcément plus sportif, et la présence d'un bracelet en silicone à accroche propriétaire.

Visuellement, le travail réalisé par Samsung sur le modèle Classic est remarquable. Entre sa forme ronde, la bague rotative autour de l'écran, le format contenu sans être trop petit ou trop imposant, le boîtier et les finitions sérieuses, la Gear S2 singe très bien une montre traditionnelle. La bague se manipule aisément de la main opposée et se révèle un excellent gouvernail pour naviguer au sein de l'OS, plus pertinent que la couronne digitale de l'Apple Watch. Le tactile répond rapidement, mais petit bémol sur une séance de sport, si les doigts sont légèrement humides ou un peu sales, l'écran peut avoir quelques problèmes de réponse.

Malgré l'arrivée des T300 et TX dans la gamme de volants Thrustmaster — pour proposer des modèles plus abordables que le T500 RS —, il existait encore un fossé entre les modèles d'entrée de gamme T100 et le haut de gamme, dans la mesure où la qualité des produits comme l'expérience de jeu varie du tout au tout entre ces références. Thrustmaster l'a bien compris et propose donc fort logiquement le T150, décliné en deux versions compatibles PS3, PS4 et PC : l'une aux couleurs de la PS4 (bleu et noir), l'autre aux couleurs de Ferrari (rouge et noir). En empruntant des éléments au haut de gamme, ce volant de milieu de gamme tire bel et bien son épingle du jeu.

Si les fabricants ont mis le temps pour sortir leurs nouveaux volants compatibles PS4 et Xbox One, le terrain est désormais bien occupé, en particulier par le trio Thrustmaster, Logitech et Fanatec. Il est toutefois souvent question de produits haut de gamme entre 300 et 400 €, les budgets plus serrés devant se contenter soit de l'entrée de gamme sans retour de force, soit se tourner vers le marché de l'occasion. Si les références de volants plus anciennes gardent leurs qualités et constituent encore de bons choix pour le jeu sur PC, elles ne sont en revanche pas compatibles avec les dernières consoles de jeu (PS4, Xbox One). Dans ce contexte, le T150 arrive avec le champ libre, puisque rares sont les volants à retour de force sous la barre des 200 €.

De prime abord, le T150 ressemble à un petit T300 RS. Par le diamètre de 28 cm et la forme de sa roue tout d'abord. La construction de celle-ci est en revanche beaucoup plus légère, puisqu'elle est faite de plastique creux, quand celle du T300 RS est pleine. Sa section est également plus petite, ce que déploreront les grandes mains. Par ailleurs, le plastron est ici en plastique, alors qu'il est en aluminium sur le T300 et il est impossible de changer la roue du T150, contrairement aux modèles supérieurs.

Issu du Microsoft Garage, Arrow est, selon la firme de Redmond, "un lanceur pour Android personnel, simple et qui offre une radicale simplification de l'expérience Android". Vous l'aurez compris, le mot d'ordre est la simplicité. Plutôt avare en fioritures de toutes sortes, il mise presque tout sur un unique argument : la gestion automatique de l'écran d'accueil. En effet, Arrow se base sur les habitudes de l'utilisateur ainsi que sur l'heure de la journée pour afficher les ressources les plus pertinentes en priorité. Concrètement, si vous appelez votre mère tous les jours en soirée, son contact sera mis en avant à partir d'une certaine heure, tandis que si vous êtes accro à Facebook, le réseau social sera propulsé sur le devant de la scène dès votre réveil.

"Optimisé pour l'autonomie et la vitesse", Arrow est présenté comme "un poids léger" sur le marché des launchers. Le fichier .apk, lourd de 4,3 Mo pour cette première mouture officielle, est par ailleurs peu exigeant : il s'installera sur toutes les versions d'Android à compter de la 4.0.3, alias Ice Cream Sandwich. Ce positionnement "simple et malin" lui permettra-t-il de grappiller quelques parts de marché ? Pour l'heure, les retours sont positifs, avec une note moyenne de 4,2/5. Reste à voir si cela suffira à attirer les adeptes de Z Launcher (Nokia), Aviate (Yahoo!) ou du très populaire Nova Launcher — sans parler des centaines de millions d'utilisateurs de Google Now.

Détail notable, Arrow n'est proposé qu'en anglais ainsi qu'en chinois simplifié et traditionnel. Les plus allergiques aux langues étrangères préféreront donc peut-être passer leur chemin.

L'ouverture du Salon de la Photo 2015, à la porte de Versailles de Paris, approche à grands pas. Du 5 au 9 novembre, nous vous proposons de venir découvrir la rédaction à travers diverses animations. Si vous avez manqué l'appel, pas d'inquiétude, il reste quelques places disponibles.

C'est au stand 4F 088 que vous pourrez retrouver les rédactions photo des Numériques et de Focus Numérique. Au cours de ces 5 jours, nous vous proposerons des animations gratuites, mais uniquement sur inscription. Notre scène test, la célèbre Barbie et notre labo complet seront de la partie pour découvrir et vous expliquer nos protocoles de tests. Nous vous proposons également une visite du salon avec la rédaction, une présentation complète de celle-ci, des courriers lecteurs, des lectures de portfolio et la rubrique "Vos photos, nos conseils".

Du 30 octobre 2015 au 5 janvier 2016, Sony rembourse 100 ou 200 € pour l'achat de l'un des téléviseurs éligibles. La liste est maigre, mais les modèles sont très intéressants. Sony rembourse ainsi 100 € pour l'achat du téléviseur Sony KD-55X8505C — un excellent modèle Ultra HD — qui n'est vendu que 1 200 €. Avec l'offre de remboursement, il revient ainsi à 1 100 €, soit 100 € de plus que le modèle 58S7806S de TCL qui est certes un peu plus grand, mais qui n'offre pas la même qualité d'image. L'offre de remboursement est la suivante :

100 € remboursés pour les téléviseurs Sony KD‑49X8305C, Sony KD‑49X8309C, Sony KD‑55X8505C ou le Sony KD‑55X8509C
200 € remboursés pour les téléviseurs Sony KD‑55S8505C, Sony KD‑65S8505C, Sony KD‑65X8505C, ou le Sony KD‑65X8509C

La société nippone propose également un remboursement de 75 € pour la barre de son Sony HT-XT3 et 100 € pour l'achat d'une barre de son Sony HT-ST9, Sony HT‑NT3 ou la Sony HT‑RT5 ainsi que 10 € sur un amplificateur Home Cinema Sony STR‑DN1060. Comme d'habitude pour ce type d'offre, il faut bien vérifier que le magasin participe à l'opération avant d'effectuer son achat.

Du 26 octobre au 31 décembre 2015, Samsung propose également un remboursement de 70 à 500 € pour l'achat d'un téléviseur éligible à l'offre. Ici, il n'y a pas vraiment de modèle qui sort du lot, puisque les téléviseurs Samsung que nous avons testés en 2015 n'étaient pas meilleurs que les modèles 2014 vendus moins cher. Sur le haut de gamme, les téléviseurs JS9500 restent excellents, mais ils sont vendus plus cher que les modèles Oled de LG, et ce, même avec l'offre de remboursement. Voici la liste des téléviseurs concernés :

70 € pour un modèle Samsung UE40JU6500, Samsung UE40JU6570, Samsung UE40JU6640 ou Samsung UE40JU6670
100 € pour un modèle Samsung UE40JU7000, Samsung UE48JU6500, Samsung UE48JU6570, Samsung UE48JU6640, Samsung UE48JU6670 ou Samsung UE50JU6800
150 € pour un modèle Samsung UE40S9, Samsung UE48JU6500, Samsung UE55JU6500, Samsung UE55JU6570, Samsung UE55JU6640, Samsung UE55JU6670 ou Samsung UE55JU6800
200 € pour un modèle Samsung UE48JS8500, Samsung UE55JU7500, Samsung UE55JS8000, actu:16569:Samsung UE55JS8500], Samsung UE60JU6800 ou Samsung UE60JU6570
300 € pour un modèle Samsung UE55JS9000, Samsung UE65JU7000, ou Samsung UE65JU7500
500 € pour un modèle Samsung UE65JS9500