Ben oui comme l'annonce mon titre il pleut, ça gronde dans le ciel. Pourtant, ce matin il y avait un magnifique soleil. J'ai laissé tombé mes tâches ménagères pour faire une grande marche rapide d'une heure. ça m'a fait un bien fou, il y avait longtemps que je n'avais pas pu marcher autant et d'un bon pas !!

Cela m'a fait un peu oublier mon mal de tête. Eh oui depuis dimanche, rebelotte, mon côté gauche me cherche. Les médicaments finissent par plus faire effet. C'est vraiment pénible ces douleurs. La veille, j'avais passé une bonne journée. J'étais bien sur tous les points. Et c'est souvent qu'après un tel moment de sérénité que le mal revient.

C'est à plus rien comprendre, si je stress, il y a grande chance pour que je provoque un début de crise et si je suis sereine, c'est la même chose ! quelle attitude dois-je avoir pour que tout se passe dans le meilleur des mondes ?????? Peut-être qu'il faut que j'alterne dans ma journée...1 heure tout sourire, et l'heure d'après m'en faire pour un rien...!!!! 

Allez passons ce chapitre, même les médecins sont perdus face à mes maux. Au final, je me dis que c'est un mauvais gène en moi que la médecine ne connait pas encore....lol... 

On a passé un week-end de Pâques tranquille. Ma belle-mère nous avait fait un très bon repas. Et pour une fois, j'ai tenu tête à l'amie de ma belle-famille. Une dame de 73 ans, célibataire sans enfant mais qui sait mieux que tout le monde comment éduquer un enfant. Ce n'est pas parce qu'elle était institutrice qu'elle sait comment gérer l'éducation d'un enfant à taux plein !! Comme d'hab, elle nous faisait part de son "grand savoir". En principe, je laisse dire mais là, je ne sais pas pourquoi, ça m'a gonflé. J'avais l'impression qu'elle voulait me donner des leçons sur ma façon de faire. En faite tout à commencer quand j'ai dit que j'allais reprendre le travail. Et là,  la voilà qui commence à me dire que c'est bien d'être présent à la maison pour ses enfants, qu'il faut être disponible tout le temps pour eux, qu'il faut sans cesse être à leur écoute. Que de travailler, on a moins le temps, et patati et patata...Et que c'est comme cela que des enfants se trouvent en grand désarroi sans que les parents ne voient rien. Je lui ai expliqué que ce n'est pas parce que l'on est à la maison que l'on est plus disponible. Que ce n'est pas la quantité qui compte mais la qualité du temps que l'on passe avec son enfant.

J'aurais aimé lui dire que nous ne sommes  pas obligées de renoncer à sa vie de femme si on désire des enfants, mais elle a fini par capitulé. Non mais, marre que des gens qui n'ont pas eu d'enfants se permettent de vouloir m'en apprendre. Même en étant parent, ce n'est pas toujours évident de donner des conseils. Ce qui est bon pour l'un n'est pas forcément bon pour l'autre.

Avec Jessica, ça va mieux. J'ai eu droit à 3 bonnes crises de nerfs en 2 jours (vendredi et samedi). Mais je reste ferme et je ne la laisse plus à son père pendant ces moments là. Elle finit par comprendre que je ne la laisserai plus gagner la partie. Depuis, elle essaye, me défie du regard, je préviens et  je ne cède pas. C'est plus calme...ouf

bisous à plus sur vos blog

lydie