EUTHANASIE????

J'ai vu souvent des personnes en stade terminal,mais jamais aucune ne m'as demandè ceci ,j'ai trouvè cet article....c'est vraiment un cas de conscience....

EUTHANASIE

EUTHANASIE JE SAIS

JE SAIS SURTOUT

QUE JE NE SAIS RIEN

Je viens de parcourir les messages échangés au sujet de ce décès de Mme SEBIRE. Comme tout le monde, cette nouvelle me frappe presque douloureusement car nous avons tous vu cette femme au courage magnifique. Quelque soit la cause réelle de son décès,cette femme mérite le respect de tous.

Ceci dit, j'ai essayé de dépasser ce drame et de réfléchir à une solution. Exercice tout littéraire j'en conviens car je ne pense pas que l'on attende après moi pour la trouver. Plus simplement, j’ai souhaité compiler les correspondances échangées à ce sujet avec mes amies (is) pour en tirer une leçon à défaut d'autre chose.

Après cette lecture et avoir entendu les infos où cette affaire fait la une, je me trouve aussi dépourvu que vous quand à trouver un règlement global de ce cas de figure.

Je m'explique, chacun d'entre nous a une solution qu'il sort toute prête de sa poche. Pour l'un c’est la Loi qui doit régler, pour l'autre c’est la famille qui doit décider, pour l'autre encore, c'est la personne elle même. Alors de toutes ces affirmations, qu'elle est la bonne ???

-----La loi : Impossible elle ne peut régler tous les cas car nous sommes dans un pays de liberté ou nul ne peut contraindre le citoyen, à faire ce qu'il ne veut pas. Tout juste si elle peut dire QU IL EST INTERDIT DE et alors intervient le droit de chacun de faire ce qu’il veut à condition d’assumer ses responsabilités.

-----La Famille doit décider. L'un d'entre nous a tout de suite et très bien réglé le problème en évoquant les SUICIDES D OFFICE pour récupérer le magot quand il s'en trouve. (Cette façon de voir peut paraître triviale mais le cas est bien moins rare qu’on ne le pense)

-----La personne elle même : Ce n'est pas le plus facile car en principe, cette personne peut demander l'administration d'une dose létale de médicament. Mais le souci, c'est que les « agonisants », après avoir reçu cette dose létale, ne souffrent plus et alors que croyez vous qu'il se passe. La Plupart d'entre eux - et c'est HUMAIN - ne veulent PLUS mourir.

Voyez comme ceci est complexe! ! ! ! Pour ma part je crois qu’une décision collégiale des intervenants : Intéressé, Famille, Médecin traitant plus un médecin extérieur au problème en question, devrai le régler au cas pas cas.

Cette décision de mort, partie intégrante de la vie justement, serait prise par la majorité avec prépondérance à la voix du malade. Je pense que cette solution est capable de convenir avec le plus faible taux d'erreur possible. Car s’agissant de la mort du demandeur le dernier mot devrait lui appartenir totalement s’il est en possession de toutes ses facultés intellectuelles.

Pour en revenir à Mme SEBIRE, je souhaite que sa chaire martyrisée soit laissée tranquille. Elle ne souffre plus ni moralement, ni physiquement. Comparé à ça, rien n'est important.

QU’ELLE REPOSE EN PAIX

Bien à vous mes amis

Bonne journée

Henri.

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