et vu le temps maussade voyons la vie en rose : mobilisation pour la prévention du cancer du sein et des cancers féminins en général, parlez en autour de vous, intéressez-vous à ce que votre ville ou votre conseil régional va faire ! la recherche avance il faut le savoir et ne pas voir que le mot MORT, encore si présent dans les têtes ... dans la mienne aussi, j'arrête l'hormonothérapie qui m'a maintenu pendant 5 années sans rechute, que va t-il advenir après ??? !  La réponse de l'oncologue : autant de chance d'en refaire un qu'une personne qui n'a encore rien eu ... ouf ... encaisse danièlou !  heureusement je me soigne à la ronronthérapie

 Cancer de l'ovaire : des tumeurs réduites

L'Olaparib, un inhibiteur développé par AstraZeneca, permettrait de réduire la taille des tumeurs chez les femmes atteintes d'un cancer ovarien avancé et héréditaire présentant des mutations du gène BRCA, selon une étude menée par un consortium international de chercheurs, publiée récemment dans le journal scientifique The Lancet. L'étude révèle que le médicament expérimental serait également efficace chez les femmes touchées par un cancer du sein héréditaire présentant les mêmes mutations génétiques.

 Selon l'étude, les molécules contenues dans le médicament Olaparib pourraient contribuer à la mort des cellules cancéreuses, notamment pour les cancers héréditaires de l'ovaire et du sein présentant des mutations génétiques spécifiques. Ainsi, l'inhibiteur pourrait représenter une thérapie ciblée en matière de traitement du cancer.

Les chercheurs ont ainsi observé une réduction significative de la taille des tumeurs de 33% des patientes atteintes d'un cancer ovarien participant à l'étude, et dans certains cas, la disparition complète des tumeurs.

"Olaparib est le premier agent unique, non "chimiothérapique", à montrer des bénéfices chez les patients atteints de cancers résultant de la mutation des gènes BRCA 1 et 2. Jusqu'à présent, les traitements étaient choisis en fonction de la localisation des cancers. Ces résultats suggèrent que c'est la faiblesse génétique d'un cancer, et non l'organe d'origine, qui est la clé d'un traitement efficace", explique William Audeh, oncologue spécialisé dans la génétique des cancers au Cedars-Sinai (Etats-Unis).

LE CANCER ET L'ALIMENTATION :
Le cancer reste une maladie redoutée. De nombreux facteurs peuvent être à l’origine de son développement. Parmi eux certains sont internes, c’est à dire qu’à notre naissance notre hérédité et notre patrimoine génétique nous prédisposent à certaines maladies ; d’autres sont externes, c’est à dire lié à notre environnement et à notre mode de vie. Des études scientifiques démontrent que des liens existent entre les habitudes alimentaires et le cancer. 25 à 30% des cancers pourraient être dus à différents facteurs alimentaires. Inversement, certains aliments pourraient offrir une protection contre la maladie, et une consommation insuffisante de ceux-ci, augmenterait les risques.
Les radicaux libres :
Les innombrables réactions chimiques impliquant l’oxygène qui interviennent dans nos cellules libèrent en sous-produits des molécules non appariées nommées radicaux libres. L’organisme dispose de systèmes de défense contre les agressions les agressions oxydantes (appelée stress oxydatif). Lorsque ces défenses sont dépassées, il s’établit un déséquilibre entre la production des radicaux libres et leur détoxication par ces systèmes. De nombreuses molécules vitaminiques ont un rôleantioxydant, c’est à dire capable de lutter contre le stress oxydatif. Il s’agit du bêta carotène contenu dans les carottes et dans beaucoup d’autres légumes et des vitamines A, E, C.
L'alimentation :
Les relations entre l’alimentation et le cancer sont de plus en plus évidentes. Parmi les relations les plus sérieusement identifiées entre l’alimentation et le cancer, la prise de poids excessive est l’une de celles le plus fréquemment liées aux cancers du :

·  Sein ·  Utérus ·  Prostate ·  Colon ·  Rectum
L’importance de la suralimentation accroît la fréquence des cancers. Les graisses ou lipides constituent une source importante d’énergie et ont une grande part de responsabilité dans toute prise de poids. Elles sont indirectement impliquées dans l’apparition des cancers liés à la suralimentation. Il ressort d’autre part de différentes études que les lipides pourraient même être directement en cause dans d’autres types de cancers.
Le rôle protecteur des fibres :
Lors de leur fermentation au niveau du colon , les fibres solubles provoquent une accélération du transit intestinal, permettant ainsi de combattre la constipation. Des études ont démontré que les aliments contenant des fibres solubles, tels que les fruits et les légumes, avaient le pouvoir de faire baisser le taux de cholestérol. Les fibres insolubles, celles que l’on trouve dans les céréales du petit déjeuner et le pain complet, empêchent l’accumulation de résidus alimentaires dans le système digestif.
Les aliments à privilégier :·  Fruits et légumes frais ·  Les céréales complètes
Les aliments à éviter :·  L'alcool ·  Les graisses saturées
sont  conseillés les produits suivants :·  Super anti oxydant ·  Cartilage de requin  ·  Spiruline ·  Lapacho - pas de compléments alimentaires vitamine C ou béta carotène en cas de cancer du poumon

je vous bizouille toutes, portez-vous bien

danièlou