bonjour mes amies,je poste cette histoire vrAie car elle ressemble à l'histoire de ma vie sauf que moi je n'ai pas fit d'accident mis j'ai acompagnée une voisine à l'hopital et c ce jour là que j'ai rencontré celui qui est devenu mon mari et avec lesuel j'ai eu 2 filles et je vis vec lui depuis 30 ans ,j'ia fait 30 ans de mriage le 12.11.11.
La veille de Noël tombait un dimanche cette année-là. Par conséquent, la réunion du
groupe de jeunes, qui se tenait habituellement le dimanche soir, allait être une grande
célébration. Après le service religieux du matin, la mère de deux adolescentes du groupe
me demanda si je pouvais trouver quelqu'un pour conduire ses filles à cette rencontre.
Elle était divorcée, son ex-mari avait déménagé et elle détestait conduire sa voiture le soir,
surtout qu'on annonçait du verglas. Je lui promis donc d'aller prendre ses filles pour les
emmener à la réunion.
Le dimanche soir, les deux adolescentes étaient assises à côté de moi sur la banquette
avant de la voiture, en route vers l'église. En arrivant en haut d'une côte, nous vîmes qu'un
carambolage venait de se produire sur un viaduc du chemin de fer juste devant nous. À
cause du verglas qui avait rendu la route glissante, je me trouvai incapable de freiner et
nous heurtâmes violemment l'arrière de la voiture qui nous précédait. Je me tournai vers
les filles pour m'assurer qu'elles n'avaient rien lorsque j'entendis crier celle qui était assise
à côté de moi: «Oooh! Donna!». Je me penchai pour voir ce qui était arrivé à sa soeur qui
se trouvait près de la fenêtre. À l'époque, il n'y avait pas de ceintures de sécurité dans les
automobiles. Donna avait heurté le pare-brise tête première et, quand elle était retombée
sur son siège, le bord coupant de la vitre cassée avait creusé deux balafres profondes sur
sa joue gauche. Le sang ruisselait. C'était un spectacle horrible.
Heureusement, parmi les gens qui se trouvaient dans les autres voitures, quelqu'un avait
une trousse de premiers soins et appliqua une compresse sur la joue de Donna pour
réprimer l'hémorragie. Le policier chargé de l'enquête affirma que l'accident était
inévitable et qu'aucune accusation ne serait portée, mais je trouvais épouvantable qu'une
belle jeune fille de 16 ans eût à passer sa vie avec des cicatrices sur son visage. Et tout
cela s'était produit pendant qu'elle était sous ma responsabilité.
Dans la salle des urgences de l'hôpital, on la fit voir immédiatement un médecin pour faire
coudre sa plaie. L'attente me semblait longue. Craignant des complications, je demandai
à l'infirmière pourquoi Donna n'était pas encore sortie. Elle répondit que le médecin de
garde se trouvait être un spécialiste de la chirurgie plastique. Les nombreux petits points
de suture qu'il faisait prenaient du temps. Cela signifiait également que les cicatrices
seraient moins apparentes. Finalement, Dieu était peut-être à l'oeuvre dans tout ce gâchis.
J'eus du mal à aller rendre visite à Donna à l'hôpital, de peur qu'elle fût fâchée contre moi
et qu'elle me blâmât. Comme c'était Noël, les médecins avaient renvoyé des patients à la
maison et remis à plus tard les opérations non urgentes. Il n'y avait donc pas beaucoup de
patients à l'étage de Donna. Je m'enquérais auprès de l'infirmière de l'état de Donna.
L'infirmière sourit et me dit qu'elle allait très bien, qu'elle était en fait un véritable rayon de
soleil. Donna semblait heureuse, affirma-t-elle, et ne cessait de poser des questions sur
les interventions médicales. L'infirmière me confia que le nombre réduit de patients
permettait au personnel infirmier de prendre leur temps et de se trouver des excuses pour
aller bavarder avec Donna!
J'allai voir Donna et lui dis à quel point j'étais navré de ce qui était arrivé. Elle écarta mes
excuses et me dit qu'elle mettrait du fond de teint sur ses cicatrices. Puis, avec
enthousiasme, elle m'expliqua le travail des infirmières et le pourquoi de leurs
interventions. Les infirmières souriaient autour du lit. Donna semblait vraiment très
contente. C'était son tout premier séjour à l'hôpital et tout l'intriguait.
Plus tard, à l'école, Donna devint le centre d'attraction tandis qu'elle décrivait encore et
encore l'accident et son séjour à l'hôpital. Sa mère et sa soeur non seulement ne me
blâmèrent pas, mais encore elles me remercièrent chaleureusement d'avoir pris soin des
filles le soir de l'accident. En ce qui concerne Donna, elle n'était pas défigurée et,
effectivement, le fond de teint dissimulait presque entièrement ses cicatrices. Je me
sentais donc un peu mieux, mais j'avais encore de la peine pour elle. L'année d'après, je
déménageai dans une autre ville et perdis contact avec Donna et sa famille.
Quinze ans plus tard, je fus invité de nouveau à l'église pour une série de services
religieux. Le dernier soir, j'aperçus la mère de Donna qui attendait dans la file pour me
dire au revoir. Je frissonnai au souvenir de l'accident, du sang et des cicatrices. Lorsque la
mère de Donna fut devant moi, elle arbora un grand sourire. Elle riait presque en me
demandant si je savais ce qui était advenu de Donna. Non, je ne savais pas. Est-ce que je
me souvenais de l'intérêt qu'elle portait au travail des infirmière? Oui, je m'en souvenais.
Puis sa mère me raconta:
«Eh bien! Donna a décidé de devenir infirmière. Elle a étudié dans ce domaine, a obtenu
son diplôme avec mention honorable, s'est trouvé un bon emploi dans un hôpital et a
rencontré un jeune médecin; ils ont eu le coup de foudre, se sont mariés et ont deux
beaux enfants. Elle voulait absolument que je vous dise que l'accident est la meilleur
chose qui lui soit arrivé!»
Robert J. McMullen Jr
je viens te souhaiter une bonne journée, félicitations pour tes 30ans de mariage, je te fait de gros bisous .
jacot te .
Félicitations pour tes 30 ans de mariage.
Gros bisous et bonne nuit pleine de doux rêves.