Bon,mon humeur n'étant pas réjouissante depuis hier,j'ai quand même parcouru mes mails et bien m'en a pris car mon cousin Albert m'envoie ceci: Flute !!! c'est parti à la fin !!! bon hé bien vous rigolerz aprés

Bon, voilà!!vous allez rire comme moi à la chute de cette blague !!!

Alors maintenant parlons sérieux.

Ah bon! j'ai un problème: la blague me bloque en bas, va faloir que j'écrive tout en suivant...je ne peux pas aller à la ligne avec le clavier ni la souris!! On verra à la fin!! 

Voilà! SYLVIANE vient de mettre un article trés intêressant sur les violences conjugales! Ceci étant un sujet trés vaste et souvent mal compris par les intêressés eux mêmes,j'en ai pour preuve mon cas personnel. Violences conjugales,ces mots sont souvent mal interprétés car violences égale coups,marques et états physiques détruits.

Oui il est exact que tant qu'il n'y a pas de marques physiques il n'y a pas de preuves de violences effectives!!

Mais,les mots sont plus profonds et plus durables que les coups,les mots ne se voient pas,ils s'incrustent dans le cerveau plus profondément et plus durablement!  Les mots sont blessants,humiliants,déstabilisants, on se sent impuissant,vide,inutile, coupable oui,coupable d'être là,coupable de ne savoir rien faire pour en sortir,coupable de ne pouvoir rien faire pour en sortir, et peut-être même coupable de ne pas vouloir en sortir!

La violence vient sournoisement sans prévenir mais elle dure elle s'incruste lentement mais surement.  En parler ,oui ,

mais parler à qui?

En parler comment?

En parler pourquoi? Pour se faire prendre en pitié?

A l'extérieur du foyer la personne violente est un être sympa, gentil,sans problèmes. 

En parler comment ? Il n'y a pas de mutiples façons de le faire et personnes encore n'a trouvé la meilleure.

  En parler pourquoi? Se faire rabrouer,se faire encore plus humilier? Merci j'ai donné !

Alors, à mon avis, dans la mesure ou on peu s'éloigner un peu on essaie de prendre l'air et au retour, ben ,rebelote. 

Alors, on s'enferme dans un certain mutisme jusqu'à la prochaine étape avec quelques apréhensions,quelques craintes de savoir ce qui nous attends ensuite, attendre le mot qui tue,le mot qui blesse en se faisant une cuirasse pour atténuer pour maîtriser ses émotions.

Je sais que c'est risquer pour moi d'écrire c'est article, mais,peut-être que c'est pour d'autres répondre à leurs attentes,c'est aussi parler pour d'autres qui n'osent pas encore.

J'ai appris avec Sylviane et Cécile bien des choses. Et écrire souvent permet de vider un peu notre trop plein de souffrances.

Même si les solutions ne sont pas toujours faciles à gérer ou à trouver ou même à accepter.

Voilà mon point de vu sur l'article de SYLVIANE! 

Bisous à toutes et bonne journée!!

Pierrette

Au cours d'une promenade en montagne dans les Vosges, **un homme**se perd dans le

brouillard.Après avoir longuement erré, il aperçoit une cabane et

frappe à la porte.

> ****

**-"Y-a quelqu'un ?"**

> -"Ouaie ! Qui est là ?"

> *-**"Je suis un promeneur égaré. Pourriez-vous me dire comment on

fait pour *

*redescendre **dans la vallée ?"

> *-"Aucune idée ! Je suis un petit garçon, et je ne peux pas vous

ouvrir."

> **-"Alors demande donc à ton père."**

> -"Je ne peux pas; il est sorti quand maman est rentrée."

> **-"Et ben demande à ta mère alors."***

> *-"Maman est sortie quand grand-père est rentré."

> **-"Putain de merde ! Bon demande à ton grand-père de venir

alors."**

> -"C'est pas possible ! Il est sorti quand mon grand frère est

rentré."

> **-"Bon alors appelle ton grand frère."***

> *-"Ben il est sorti quand je suis rentré."

> -**"Mais bon sang de bon sang, vous n'êtes jamais en famille chez

vous ?"**

-"Ben, à la maison oui.... Mais pas ici, Ici, c'est les chiottes !!!

J'ai réussi à rétablir les lignes