Ca sent les vacances, il y a de moins en moins de monde dans le train. Moi aussi, c'est le dernier jour que je le prends avant très longtemps (au moins pendant 6 semaines), car demain, j'emmène les enfants en voiture chez leur papi et je vais y crécher aussi - au lieu de 2 heures par trajet, je ne mettrai que 45 minutes, ça change!!!! Et s'il ne pleut pas beaucoup, je ferai les trajets à vélo, youpi, les cuisses vont fondre encore plus. Le seul bémol est que je ne pourrai pas aller sur le site pendant le week-end, papi n'étant pas branché, mais tant pis, je ferai un tour pendant ma pause-déjeuner au bureau.
Allez, bonnes vacances à celles qui partent et patience pour celles qui restent encore un peu, on va se rattraper après: Vamos a la playa, oh oh ohohoho......
P.S. Je viens de trouver un article dans le journal sur le spectacle de l'école de mon fiston:
Eaux vives
Jeudi soir, un vent de fraîcheur a soufflé sur le Relais culturel. L'école élémentaire y a présenté son spectacle de fin d'année sur le thème de l'eau.
En véritable amiral de la flotte, le directeur de l'école avait sonné, voici quelques mois, le branle-bas de combat en demandant à son équipage de se jeter à l'eau pour choisir un thème pour cette fête destinée aux parents. « Après Mozart, on s'est dit qu'il fallait faire quelque chose de neuf », raconte le directeur.
Sur les bords de la Thur voisine, le thème de l'eau coulait de source et chacune des sept classes, avec en supplément la petite classe d'italien, a répondu présent. « Chaque enseignant a proposé une musique, et ce qui était un ensemble très disparate au départ, a peu à peu pris la forme d'un spectacle », explique-t-il.
Un exercice pas forcément facile, car entre La Moldau, A la Saint-Médard ou Un petit poisson, un petit oiseau, la tempête était annoncée ! Il a fallu tout le savoir-faire de Jean-Philippe Laurenti, pour harmoniser tout ce beau remue-ménage. « C'est Jean-Philippe qui a construit toute la chorégraphie de ce spectacle poétique », a fièrement annoncé le directeur aux centaines de parents et d'amis qui avaient envahi les gradins du Relais culturel.
Parce que cent soixante-trois danseurs et chanteurs sur scène, ça fait du monde, et on n'est jamais trop nombreux pour applaudir !
bisous @ +