Coucou mes belles amies,
Voilà aussi le résultat de mes recherches pour les mêmes ennuis de santé.
Car j'avais décidé à l'époque de jeter tous mes médicaments et de m'alimenter au plus près de la nature ce que j'ai un peu oublié depuis que j'ai pris ces 39 kilos grâce à la cortisone et morphine. Mais maintenant je vais m'y recoller, vu que j'ai retrouvé toutes ces recherches.
Gros bisous
Par leur seule présence, les végétaux font fuir un grand nombre de maladie. Ainsi :
L’acide urique prend ses jambes à son cou à l’approche de l’oignon et du raisin.
l’albumine fuit devant le haricot vert.
l’anémie rougit à la vue des carottes, des raisins, des épinards, des betteraves, du cresson, des choux, des abricots, des pommes et des prunes.
Les troubles de la circulation et l’artériosclérose craignent le citron, le persil, l’ail, la tomate et les poireaux.
L’arthrite et les rhumatismes « craquent » à l’approche des citrons, fraises, framboises, raisins, cassis, pommes, poires, tomates, poireaux, haricots verts, oignons et céleri en branches.
L’asthme s’évanouit au contact de la grenade.
Les calculs biliaires et urinaires se désagrègent sous les coups des pissenlits, des tomates, des navets, des poireaux, des raisins, des pommes et des poires.
La cellulite fond devant le citron.
La chute des cheveux s’arrête net devant le cresson.
Le cholestérol fuit à l’approche des artichauts et des pissenlits.
Un cœur fatigué se fortifie en fréquentant souvent le céleri-rave, le raisin, la grenade et l’oignon.
Les spasmes s’espacent, l’excitation nerveuse s’apaise et l’insomnie s’endort avec la laitue, la mandarine et la poire.
La constipation se décrispe avec ses amis l’huile d’olive, poireaux, pruneaux, cerises, mûres, raisins et prunes.
La décalcification et la déminéralisation claquent des dents quand carottes, poireaux, navets, choux, betteraves, amandes, épinard, raisins, pommes, fraises et cerises ouvrent la porte.
Le diabète détale à la vue des oignons, artichauts, betteraves, olives, huile d’olive, noisettes, noix et amandes.
Les diarrhées prennent la poudre d’escampette quand approchent carottes, citrons, cassis, myrtilles, grenades et abricots.
Les verrues et les durillons s’attendrissent avec l’ail.
Les oedèmes se résorbent et la rétention d’eau s’évapore quand oignons, poires, melons, pommes, cerises, pêches, fenouil, cresson et aubergines ouvrent le couvercle.
Les ulcères gastriques et les acidités d’estomac se calment devant les carottes, les choux, les citrons, le raisin, les pommes, les tomates et l’ananas.
L’état précancéreux et cancéreux appelle au secours ail et betterave rouge.
L’insuffisance hépatique se comble, l’engorgement du foie et de la vésicule se font ouvrir le passage par les pissenlit, les asperges, les carottes, la chicorée, le céleri, les artichauts, les olives, les radis, l’huile d’olive et les pamplemousses.
L’insuffisance et les déséquilibres glandulaires se rétablissent sur le fil du céleri en branches, de l’ail, des cerises, des poires et des fraises.
Les maux de gorge fument le calumet de la paix avec les mûres, le cassis, l’ail, le thym et les algues.
Les hémorroïdes se font toutes petites devant le melon et le raisin.
L’herpès s’aplatit devant la pomme.
L’hypertension baisse le ton devant ail, persil, citrons, cassis et poires.
Les fermentations s’assainissent et les infections intestinales lèvent le siège quand surviennent les myrtilles, l’estragon, le citron, les pommes et les tomates.
La ménopause recule surtout quand le cassis s’impose.
La dépression nerveuse et les faiblesses des nerfs se mettent à genoux devant les oranges, les betteraves, les pois, les navets, les oignons, les asperges, les poireaux, les amandes, les prunes, les dattes et autres fruits secs.
L’obésité se dégonfle à la vue du poireau.
Les faiblesses du pancréas ne résistent pas à l’attaque de l’aubergine.
Les maladies de la peau changent de couleur les artichauts, les citrons, les concombres, le céleri-rave, les asperges et les radis.
Les déficiences rénales filent à l’anglaise avant l’arrivée des raisins, pommes, melons, céleri-rave et en branches, pissenlits, chicorée et salsifis.
Les rides deviennent plus lisses au contact de la carotte.
L’urée perd son sang-froid lorsqu’arrivent les artichauts, les tomates, les raisins et les myrtilles.
La faiblesse des vaisseaux s’amenuise avec les oranges, les poivrons et le sarrasin.
Les affections des voies respiratoires et des poumons perdent leur souffle à l’approche des radis, de l’ail, des navets, et du cresson.
La prostatite et les affections urinaires implorent la pitié des radis, des noix, du cresson, de l’oignon et des myrtilles.