On se console en mangeant, mais mal. Une récente étude révèle que les femmes présentant des symptômes dépressifs optent pour des aliments dits de "snacking", riches en calories, gras et sucrés.
C'est une loi de la nature (ou presque) : quand on ne va pas bien, on mange. Mais le plus fâcheux dans cette histoire c'est qu'on mange tout et n'importe quoi (enfin surtout n'importe quoi) et qu'on se tourne plus facilement vers la tablette de choco praliné que vers la jardinière de légumes...
La dernière étude, publiée dans le Journal of Nutrition et menée sur 30 240 adultes ayant répondu à au moins six enquêtes alimentaires, révèle que les femmes présentant des symptômes dépressifs sont plus attirées par les aliments dits de "snacking", riches en calories, gras et sucrés. On ne vous fait pas de dessin : pâtisseries, chocolat, biscuits, gâteaux... Autant d'aliments qui ne se mangent pas forcément à table et mauvais pour notre ligne et notre santé.
Un résultat qui vaut pour les femmes mais pas pour les hommes...
Parce qu'on ne change pas une équipe qui gagne, même face aux émotions la parité n'est pas respectée. Si ce symptôme d'émotionnalité alimentaire se retrouve chez 60% des participants présentant un trouble dépressif, ces résultats ne valent que pour les femmes.
Comme l'avait démontrée une précédente étude publiée dans l'American Journal of Clinical Nutrition, cette suralimentation sous le coup de l'émotion conduit au surpoids et à l'obésité. Alors pour digérer le choc émotionnel, on préfèrera une sortie entre copines ou une bonne séance de sport pour évacuer notre colère par un effort sain plutôt que par une orgie de tartines au Nutella.
lu sur topsante.com
et... que faire?
courage! nous finirons bien par y arriver!
bonne soirée!
Francine.