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Accords Toltèques * POSITIVE ATTITUDE 3
publié le 04/06/2009 à 17:00 |
Accords toltèques
C’est l’histoire d’un livre devenu culte. Quatre règles de vie à appliquer pour une promesse «de liberté, de bonheur et d’amour». Philosophie à bon marché ou méthode efficace pour mieux se connaître, s’aimer, s'accepter en acquérant une ATTITUDE POSITIVE ? Enquête chez les Toltèques.
Le livre
Si vous avez réussi à passer à côté jusqu’ici, cela ne devrait pas durer. Les Quatre Accords toltèques (titre original, The Four Agreements publié aux Etats-Unis de Muiguel RUIZ, chaman mexicain), se sont déjà écoulés à plus de 4 millions d’exemplaires dans le monde.
En France, c’est Maud Séjournant, une proche de Miguel Ruiz labellisée «enseignante certifiée», qui est à l’origine de sa publication. Traduit en 1999, l’ouvrage a vite trouvé ses aficionados. Il a inspiré le romancier Bernard Werber et nombre de thérapeutes français. «Quand j’ai découvert le livre, j’ai eu le sentiment que l’auteur y avait retranscrit les observations issues de ma propre expérience», confie Olivier Perrot, psychologue clinicien et président de l’Association française de la nouvelle hypnose (AFNH). Sur Internet, blogs et forums ont amplifié le succès de Miguel Ruiz. À ce jour, plus de cent mille exemplaires de son ouvrage ont été vendus dans l’Hexagone.
De quoi s’agit-il ?
Miguel Ruiz propose de passer avec soi quatre accords visant à briser nos croyances limitatives. Celles que nous développons depuis l’enfance, qui distordent la réalité et nous maintiennent dans la souffrance. À force de conditionnements culturels et éducatifs (sur ce qui est juste ou faux, bon ou mauvais, beau ou laid) et de projections personnelles («Je dois être gentil», «Je dois réussir»…), nous avons intégré une image fausse de nous-même et du monde.
Ces idées ne sont pas nouvelles. «Elles reprennent les principes de la thérapie cognitive, qui démontrent à quel point le manque de distance ou la généralisation abusive sont des pièges», remarque le psychiatre François Thioly. Pourquoi alors cet engouement ? D’après Maud Séjournant, le talent de l’auteur est d’expliquer ces quatre accords avec des mots simples et des cas concrets. Miguel Ruiz n’ordonne rien. Il laisse entendre que, s’il a pu s’approprier ces accords, tout le monde peut le faire. Ajoutez à cela la formulation même des préceptes, «qui tiennent en quelques mots, faciles à retenir» selon Jacques Maire, directeur des éditions Jouvence, auxquelles on doit la version française de l’ouvrage, et vous détenez le secret de ce best-seller.
Que votre parole soit impeccable
Parlez avec intégrité, ne dites que ce que vous pensez. N’utilisez pas la parole contre vous ni pour médire d’autrui. «Miguel Ruiz rappelle le pouvoir du verbe sur le psychisme, explique Olivier Perrot. Qui n’a pas gardé en mémoire une phrase blessante d’un parent ? Et ne la fait pas encore résonner une fois adulte ?» La parole est un outil qui peut détruire. Ou construire. Contrairement à ce que nous croyons souvent, les mots ont du poids : ils agissent sur la réalité. «Dites à un enfant qu’il est enrobé et il se sentira gros toute sa vie», assure Olivier Perrot.
Comment s’y prendre ? En cultivant la modération dans ses propos : ne pas en dire trop, ni trop vite. Et, d’après le chaman Miguel Ruiz, cela commence dans le discours que l’on se tient à soi-même : «La clé, c’est l’attention à notre discours intérieur», renchérit Thierry Cros, coach. Les critiques et les jugements que nous cultivons sur autrui, mais aussi les sempiternels «Je suis nul», «Je suis incapable» ou «Je ne suis pas beau» que nous entretenons à notre sujet sont des paroles négatives qui polluent notre mental. Or, elles ne sont que projections, images faussées en réponse à ce que nous croyons que l’autre ou le monde attend de nous. Conclusion : parlons peu, mais parlons vrai, en valorisant aussi nos atouts et ceux d’autrui.
N’en faites jamais une affaire personnelle
Ce que les autres disent et font n’est qu’une projection de leur propre réalité. Lorsque vous êtes immunisé contre cela, vous n’êtes plus victime de souffrances inutiles. Les paroles et les actes de l’autre ne nous concernent pas en propre. «Ils lui appartiennent, estime Olivier Perrot, parce qu’ils sont l’expression de ses propres croyances.» Vous êtes critiqué ? Ou encensé ? «C’est l’image que l’autre se fait de vous, analyse Thierry Cros. Ce n’est pas vous.» De même, les événements qui surviennent ne sont pas toujours des réponses à notre comportement. Selon Miguel Ruiz, nous devons sortir de cet égocentrisme qui nous fait croire que tout ce qui arrive autour de nous est une conséquence de notre attitude. Le «moi je» nous maintient dans l’illusion. Donc dans la souffrance.
Comment s’y prendre ? «Il s’agit moins de rester stoïque que de prendre du recul», conseille Thierry Cros. Ramener à soi ce qui appartient à l’autre déclenche inévitablement de la peur, de la colère ou de la tristesse, et une réaction de défense. L’objectif : laisser à l’autre la responsabilité de sa parole ou de ses actes et ne pas s’en mêler. Cela suffit souvent à calmer le jeu.
Ne faites aucune supposition
Ayez le courage de poser des questions et d’exprimer vos vrais désirs. Communiquez clairement avec les autres pour éviter tristesse, malentendus et drames. «C’est un travers banal, admet Olivier Perrot. Nous supposons, nous élaborons des hypothèses et nous finissons par y croire.» Un ami ne nous a pas dit bonjour ce matin, et nous imaginons qu’il nous en veut ! Selon Miguel Ruiz, c’est un «poison émotionnel». Pour s’en libérer, il propose d’apprendre à mettre les choses à plat, par exemple en exprimant ses doutes. «Ce qui implique d’apprendre à écouter et d’être capable d’entendre», remarque Thierry Cros.
Comment s’y prendre ? Il s’agit de prendre conscience que nos suppositions sont des créations de notre pensée. Dès lors qu’une hypothèse devient une croyance («Cet ami est fâché contre moi»), nous élaborons un comportement de pression («Je ne l’aime plus non plus» ou «Je dois le convaincre de m’aimer à nouveau»), source d’angoisse et de stress.
Faites toujours de votre mieux
Votre “mieux” change d’instant en instant. Quelles que soient les circonstances, faites simplement de votre mieux et vous éviterez de vous juger. «Cet accord découle des trois premiers, constate Olivier Perrot. Lorsque vous en faites trop, vous vous videz de votre énergie et vous finissez par agir contre vous. Mais si vous en faites moins, vous vous exposez à la frustration, à la culpabilité et au regret.» Le but est de trouver le juste équilibre.
Comment s’y prendre ? Ce qui est juste pour soi ne dépend en aucun cas d’une norme. Pour Miguel Ruiz, certains jours, faire ce qu’il y a de mieux pour soi, c’est rester au lit. Dans tous les cas, souligne Thierry Cros, «le pire piège est la course à la perfection». L’un des moyens d’éviter ce travers est de remplacer nos «Je dois faire ceci» par des «Je peux faire ceci». Comme l’affirme Olivier Perrot, «cela permet de s’approprier pleinement l’objectif à atteindre, sans se soucier du jugement et des attentes des autres».
« Nos doutes nous assaillent et nous font échouer, et nous ratons le but que nous pourrions atteindre par crainte seulement de ne l'atteindre point. » William Shakespeare
UN GROS BISOU MES AMINAUTES. JE VOUS SOUHAITE UNE EXCELLENTE JOURNÉE … DÉJÀ UN PEU ENTAMÉE C’EST VRAI. BISES, BISES !!
"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
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A plus tard ma belle bisous...!
Bon, ma cochonnerie s'appelait "une diverticulite aiguë" qui n'est plus aiguë car elle perdure... bon on verra cet après avoir vu l'homme de tous mes espoirs.
Tu as bien fait de te faire plaisir, après tout, quand on achète quelque chose qui nous plaît, on est jamais déçue ! Vraiment c'est bête ce que j'écris, mais d'une telle logique !
Alors, voilà ! j'ai plus rien a dire, sinon, de passer un bon WE
Bisous
Tu ne serais pas journaliste toi ?? :)
Article en tous les cas validé pour le Tournoi Positif !! :)
J'ai vu que tu affiches un - 10 Kg, bravo. J'y étais presque arrivée l'année dernière, et voilà que j'ai tout repris ... Quelle honte !
Je t'embrasse
Mais comment pourrais-je ne pas dire ce que je pense ? Impossible ! Quand quelque chose m'exaspère ou me révolte je ne sais pas me retenir et ça sort plus vite que je ne le voudrais. Je ne culpabilise pas et me sens plutôt soulagée. Mes amis me disent de nature douce, mais sans compter sur le taureau que je suis.
Très bon article,
Bisous de ton amie ..
Merci pour cet article si intéressant et si... positif.
Gros bisous Hélène