Bonjour les filles :-) Vos petits coucous encourageants bien agréables commencent à me manquer. Croyez que Jules fait déjà son chemin tout seul chez les chasseurs de calories ? C'est parce que j'ai dit "Allez sur le blog de Kam, maintenant" ? Du coup, tout le monde y est resté ;-) Et les extrémistes de Gaza ont détruit toute connexion à mon blog. Ou alors, j'ai trop parlé politique. Ça stresse. Et quand on stresse, on compense, on mange. Comme si il n'y avait pas de rapports entre le surpoids et la politique - et le social, disons. Pourtant, regardez, aux USA. Un Américain sur trois est obèse. Mais la majeure partie des obèses sont dans les classes pauvres. Le stress. Et les "bons produits pas chers" sont les plus caloriques. L'Américain pauvre, de plus, est pris entre les beaux corps de rêve fabriqués à la chaîne par Hollywood et les grands corps malades, et pas soignés, vu leur système de sécu qui laisse des dizaines de millions de gens sans couverture médicale. Paraît que Michaël Moore a refait un bon film là-dessus, qui sort ce mercredi. Pris entre le meilleur et le pire des images, il stresse, le pauvre Américain, et se rue sur tout ce qui se mange. L'instinct de survie, le "cerveau reptilien", les réflexes de base. Mais avant, il y a quelques milliers d'années, une goutte d'eau pour les reptiles ;-) il fallait bouger beaucoup pour pouvoir manger un peu. Maintenant, c'est le contraire. Bref, plus il y a de surpoids, plus c'est le signe que le poids socio-politique se fait trop sentir, comme un sur-poids... M'étonnerait pas que la solidarité active, ça fasse aussi mincir ;-)

Julius,
(le vrai prénom de Groucho Marx ;-)