Si je me faisais moins de souci pour mon fils et pouvais me permettre d'être plus calme du point de vue boulot, tout irait pour le mieux. Mais papa Voltaire avait raison: c'est dans le meilleur des mondes possibles. Et les possibilités, si je les ai en MOI, il y en a un qui me me met des bâtons dans les roues: L'embêtant, c'est que je l'ai aimé, que je lui ai fait confiance, mais qu'un jour (à la mort de sa grand-mère qui l'avait élevé et à celle de son père, qu'il adorait, =deux personnes de sa famille qui m'adoraient.. ) tout à tourné en eau de boudin . Les valeurs de sa mère, basées sur l'argent gagné, sur le titre/la renomé ont pris le dessus. Je lui ai fait très mal en ne m'intéressaitnpas à la somme qu'il gagnait, au titre qu'on lui demandait. J'étais heureuse qu'on reconnaisse ses compétences (il les a!), mais j'étais très malheureuse qu'il ne euille de moi qu'un piédestal pour sa carrière, un exhutoire dans son lit.
J'en suis devenue malade (et grosse). Je me suis enfin aimée pour moi-même (et j'ai maigri). Il ne veut pas la "guerre", mais il refuse de me donner la possibilité de recommencer une nouvelle vie. sans lui, sans notre fils qu'il ne voulait pas. Et il a mis des papiers de divorce sous les yeux de notre premier enfant... qui m'a engueulée. Veut-il de nouveau se servir d'un enfant pour ne rien avoir à me donner? S'i n'a vraiment "rien", qu'il donne enfin ces renseignements sur son salaire et sur la valeur de no´tre maison (payée en grande partie par... moi). S'il ne veut pas me redonner mon armoire (dans laquelle je pourrais enfin ranger les fringues laissées ans cette maison et qui l'embêtent) , il n'a qu'à me donner l'argent pour en racheter une autre.Tout est monneyable, puisqu'il faut en arrier là: la 1/2 de notre maison, la 1/2 des meubles, la 1/2 de tout. c'est du chantage de sa part de faire pariciper notre enfant à ce divorce que je n'ai même pas voulu.

Chantage: quel joli mot à entendre (pas du point de vue du sens) pour se dire "