Et pourtant, il y a plein de choses positives.
J'ai commencé à donner des cours à une femme dans une entreprise. Cette femme est très très sympa et intelligente. Je la fatique un peu, mais elle est heureuse d'avancer à pas de géant (elle en est capable). Le temps à Hambourg est ... dégueu, mais bon, on est en novembre et non en mai!
MAIS: je me suis endormie mercredi et ai loupé mon cours.
Idem le jeudi: endormie dans le RER... cours loupé. Rencontre avec de nouveaux élèves privés potentiels: ils sont partants, enthousiasmés, veulent commencer en janvier et veulent me payer plus que je n'osais le demander.
Je me suis de nouveau à 1/2 engueulée avec mon amant qui me dit que je travaille trop... que je suis saturée. Oui, d'accord, mais... ce n'est pas beaucoup dans l'absolu. Et il va bien falloir que je gagne ma vie, même si les médecins aimeraient bien me mettre en arrêt maladie à vie... Mais rester à la maison, seule, je ne pourrais pas. Cercle vicieux... Incompréhensible puisque mon avocate demande à mon ex de me donner une pension alimentaire, lui a demandé de déclarer ce qu'il gagnait, de dire ce que vaut la maison qui était la nôtre (et payée en partie avec l'argent de mon père). Il refuse et se retrouve avec une plainte devant le juge au lieu d'avoir le divorce qu'il voulait.
Je signale en même temps une incapacité à travailler (dûe à son comportement avec moi) et une envie folle de travailler (pour ne pas être seule, mais aussi pour ne pas mourir idiote, et parce que j'aime donner ce que j'aidans le ventre!).
Mon fils, avec lequel je recommencais à voir des contacts, a lu la lettre de l'avocate et a piqué une crise de colère folle. Il veut téléphoner à la police si jamais j'ose reprendre contact avec lui... Il était aussi "fou" que lors du suicide de son frère. Tout ca parce que son père le met lui, comme son petit frère dans des histoires qui ne le regardent pas: des histoires sordides de fric. C'est sûr qu'il va perdre un peu de son luxe à cau