Bonsoir mes poussinettes, je suis très inquiète pour celles qui habitent en bordure de mer. Quel temps épouvantable ! Et on dirait que ça va empirer cette nuit.

J'ai presque honte de dire que nous avons eu un beau soleil cet après-midi, malgré le vent. 

Alors que je venais d'enfiler mon snood et une grosse veste, mon fils est arrivé avec sa compagne et leurs enfants. Ils venaient pour donner à boire à Léna. Les petits étaient dans la voiture car ils ne voulaient pas s'arrêter. Ils venaient de passer récupérer une ordonnance chez le médecin, pour Léna. Elle avait 39°. Quand j'ai vu dans quel état, elle était, j'en aurais pleuré. La pauvre avait les yeux rouge sang et larmoyants, le teint très pâle. Malgré ça, elle me souriait et me faisait coucou avec sa petite main. Son frère Mathis faisait le coquin, à côté d'elle. Je ne comprends pas qu'ils ne l'ai pas gardée au chaud.

Après leur départ, j'ai été marcher. Malgré la fatigue, je me suis forcée et j'ai bien profité du soleil, pendant 1 H 30.

Quand je suis rentrée, j'étais épuisée mais contente de moi. Je me suis préparé un thé vert et me suis reposée en écrivant quelques pages de mes mémoires. J'avance lentement, mais le principal, c'est d'écrire.

Demain, je déjeune avec mon ancienne collègue et l'après-midi, j'ai rendez-vous chez la coiffeuse. Si je ne ressors pas trop tard du salon, Zézette viendra me rejoindre. Ce programme me plaît bien. Pourvu que le temps soit de la partie, mais je crois qu'il est prévu de la pluie et je dois me déplacer en bus.

Douce nuit mes poussinettes.