Un grand bonjour mouillé !

Deuxième jour de ménage : il me reste le bureau, les escaliers, le séjour (le gros morceau) mais aussi les sanitaires et la cuisine (mais en plus light !). Pourtant je n’en ai pas envie, car le temps ne s’y prête pas, il pleut comme ce n’est pas possible. On se croirait en plein hiver, la pluie ne s’est pas arrêtée depuis hier après midi, et elle tombe de plus en plus fort.

J’ai choisi aujourd’hui de vous faire faire votre vinaigre. C’est la base de jolis cadeaux ! Mis dans de jolies bouteilles avec des herbes, ou des condiments c’est très sympa.

Faire son vinaigre est un vrai plaisir. Il nous arrive souvent d’avoir des bouteilles de vins entamées, et c’est un moyen de ne pas les gaspiller. L’idéal serait d’avoir un vinaigrier, mais une bonbonne, ou comme moi un ancien bocal de parfumeur pour eau de Cologne (car il a un petit robinet dans le bas ce qui est pratique pour tirer le vinaigre)… fera l’affaire

CUISINE : faire son vinaigre

Dans le récipient choisi, versez un litre de vin ordinaire et vous le placez à l’air libre (sans bouchon) dans un endroit tiède. Lorsque le vin est devenu aigre, vous pourrez y versez tous vos fonds de bouteille.

Certains font du vinaigre avec le vin rouge, ou avec le vin blanc, ou avec le vin rosé. Pour ma part, je mets toutes les couleurs ensembles.

Il se formera à la longue une matière épaisse et visqueuse que l’on appelle « la mère ». Vous pourrez en donner (de cette mère) à vos amis pour qu’à leur tour ils fassent leur vinaigre. En ayant une « mère », le vinaigre se fait plus rapidement. Il ne vous restera plus qu’à profiter de votre vinaigre, mais surtout, n’oubliez pas de rajouter du vin au fur et à mesure que vous en tirez et de boucher votre bonbonne. La « mère » ne doit pas sécher…

Il ne vous restera plus qu’à vous en servir en disant à vos invités : « c’est moi qui l’ai fait ! ».

A ce soir

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