En sujet, un résumé de l'ambiance torride ce soir dans mon salon : et oui, belle soeurette et zom compte fleurette à Morphée depuis 20h30 tapante en squattant les deux divans le long de leurs mètre quatre-vingt cinq et quatre-vingt quinze respectifs (vi, vi : leurs gènes compenseront les miens pour la génération à venir ;-)).

Côté boustiffaille, je commence à m'habituer à en avoir plein la ferraille, comme vous pourrez le constater en consultant mon alim', mais c'est décidé: j'abandonne définitivement le boulghour et autre taboul... je ne parviens toujours pas à m'en débarasser ;-)

... et vous pensiez peut-être que je m'ennuierais toute seule à la maison, en congé maladie, par 25° Celsius ??? Ké nenni : c'est de la balle pure. Bon, tous ces travaux d'aménagement bucal me coûtent un pont donc je suis tout-à-fait fauchée à date (béh oui, d'jia ;-)), donc je m'occupe pour 0 franc, 0 centime : tonte de la pelouse, jardinage, rangement des placards, tri de mes recettes chéries (béh oui, vous pensez, avec ce que j'ai jeûné, j'ai comme des envies de femmes enceintes là :-)), cuisine (today : cake au poisson et au tomates séchées).... et bien sûr, bronzette. Nan, ça c'est pas vrai : je ne supporte pas de rester au soleil sans bouger s'il n'y a pas de piscine ou la mer à 10 mètres, mais le 'tit short et le haut de bikini pour bêcher, sans soucis. Et demain après-midi : marché médiéval en famille... faudra juste que ma moitié m'entretienne une caouète pour le coup ;-)

N'allez cependant pas croire que j'abuse de la largesse du certificat : les douleurs sont malgré tout costaudes et nan, vraiment, nan, je ne me vois pas enocre - du tout - passer ma journée à supporter les complaintes de mes clients, un casque sur les noreilles, le potam vissé à ma chaise rotative... sans pouvoir casser des crayons avec ma bouche (ah vi Christian, chacun son truc pour passer ses nerfs : je n'ai pas de coussin au boulot ;-)).

Allez mes p'tits loups et mes jolies louves, m'en va klaxonner un coup dans le living.