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Rencontre en Bretagne, petit point...
publié le 05/02/2009 à 10:58 |
Bonjour,
un petit point pour les copines qui seraient partantes pour une recontre en avril, deux endroits ont été proposés : Pontivy ou Rochefort en Terre.
Kerla
Jadmarine
Solenn35
Miamiam44minceur
KTY99
Dusoleil
Natbot22
Mamy44
Ygerne22
Monec
Missmorgane44
Maëva1987
Bzhcaro
J'espère n'avoir oublier personne. Sinon je compte sur vous pour rectifier, hein ?
Il y a quelques réserves pour quelques unes d'entrevous : disponibilité, déplacement etc.
Pour le co-voiturage je peux prendre quelqu'une au passage dans le sud-Finistère ou dans le Morbihan.
Et puis il nous reste à fixer la date : samedi 4 avril, samedi 11 avril ou samedi 18 avril ?
L'invitation reste encore ouverte à toutes celles qui veulent !!!
N'hésitez pas !!!
Je vous remets le lien vers le forum :
"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
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Passe un bon week-end. Bises
* Quel espoir pour le malade ? Traitement chimique ? Thérapie ? Les deux ? Comme j'ai pu le dire à Magjuan, la prise en charge est multiple. On travaille sur les troubles du comportements avec une orientation TCC (thérapie comportementale et cognitive), associé à une prise en charge analytique ou humaniste où on va travailler sur le sens. Tout le problème des personnalité état limite (outre la dépression sous-jascente) est une mise en acte suppléant une mise en mot. C'est parce qu'ils ne peuvent plus mettre de mots sur leurs maux qu'ils passent à l'acte (généralement de la violence, de l'agressivité, des prises de toxiques, des actes délictueux...). Donc, nous les aidons à penser leurs mots (panser leur maux, penser leurs maux, panser leurs mots...). C'est une prise en charge qui est longue, semée d'embûches mais on avance à petit pas.
* Quelle évolution sans traitement ? Le plus souvent, la 40aine, ils ont tendance à se calmer un peu. Mais en général, l'entourage a été épuisé et ils se retrouvent seuls, marginalisés, voire clochardisés...
* la résolution ou non du complexe d'Oedipe : ça me prendrait trop de temps pour développer par com. Donc tu devras attendre un peu lol
* le côté sexualité débridée : c'est surtout une sexualité quelque peu déviante. Pas forcément avec un partenaire, mais parfois avec des animaux, ou en virtuel... Certains hommes (car il y a une prévalence masculine sur cette pathologie) feignent d'être désintéressés de la sexualité, mais en fait, il peut y avoir une homosexualité refoulée, ou des perversions telles que pédophilie, zoophilie, nécrophilie... Je ne vais pas te faire la liste. Sans forcément passer à l'acte, ils peuvent satisfaire leurs pulsions en allant puiser sur le net. Mais quoi qu'il en soit, l'autre (quel qu'il soit) est réduit à l'état de chose ou d'objet.
* Y-a-t-il parfois des hésitations à établir le diagnostic entre bi-polarité et état-limite ? Oui, tout à fait. Beaucoup de personnes états limites sont encore diagnostiquées bipolaires par manque de formation et d'informations de la part du corps médical. Nous avons beaucoup avancé, mais il y a encore pas mal de travail à faire. D'autant que le diagnostic de bipolarité fut rendu flou dès l'instant où nous avons abandonné celui de psychose maniaco-dépressive... Mais c'est un autre débat.
* Quel espoir pour le malade ? Traitement chimique ? Thérapie ? Les deux ? Comme j'ai pu le dire à Magjuan, la prise en charge est multiple. On travaille sur les troubles du comportements avec une orientation TCC (thérapie comportementale et cognitive), associé à une prise en charge analytique ou humaniste où on va travailler sur le sens. Tout le problème des personnalité état limite (outre la dépression sous-jascente) est une mise en acte suppléant une mise en mot. C'est parce qu'ils ne peuvent plus mettre de mots sur leurs maux qu'ils passent à l'acte (généralement de la vio