salut les amies eh bah ma petite serie continue, même si je sais ke y a certaines pas genial ici, mais ici les femme sont egales aux mecs chose ki n'existe pas dans le pays d'ou je viens,aujourd'8 je viens de voir un avocat pour kel ke papiers encore a faire concernant la première fille, je vous raconterai plutard son histoire en details pour ke vous puissez comprendre ma lutte aujourd'8, mais si je sais ke je seule dans cette lutte je la fait pour mes enfants

j'ai même été adpotée par une maman du site, salut maman jenny, voici une petite suite de l'histoire , je vous aime bisous

Un matin après ma douche, je m'apprêtais à aller chez la coiffeuse me faire des tresses. J'étais dans une des chambres, quand j'ai entendu mon père se disputer avec son avant dernière femme. Ensuite, j'ai entendu un cri étouffé et des bruits qui venaient du salon.

Je suis sortie de la chambre et j'ai surpris cette femme là en train de serrer le col de mon père qui se débattait comme un petit animal sans défense.

Quand la dame m'a vu, elle relâcher mon père dans le fauteuil si fort qu'il est tombé. J'assistais à une scène qui me troublait. Puis j'ai crié très fort, en lui disant de le laisser tranquille, qu'elle ne voyait pas qu'il était fatigué. Elle m'a dit de ne pas me mêler de leur histoire. Elle s'est mise à lui dire des mots pas gentils et difficiles à entendre. J'ai pus le supporter et j'ai appelé la deuxième femme de mon père qui était dans la cour en train de cuisiner. Moi, je suis sortie comme prévue me faire des tresses.

Le soir quand je suis rentré à la maison, toutes les femmes étaient réunies autour de mon père. Je ne comprenais rien à ce qui se passait. La deuxième femme m'a demander de venir témoigner de la scène qui eu lieu ce matin là. Je leurs ai tout raconté dans les moindres détails et je suis allée prendre ma douche. Mon père était couché dans le canapé, et il délirait complétement. Il confondait le jour et la nuit.

Quand j'ai fini de me doucher, en partant m'habiller, ses femmes étaient en train de lui faire des médicaments indigènes. Lui ne réagissait pas. Son cas était critique mais elles ne voulaient pas l'emmener à l'hôpital.

Le lendemain, son état s'était aggravé. Elles ont tout de même décidées de l'emmener à l'hôpital. Elles trouvaient quand même des excuses pour ne pas le faire, sous prétexte qu'il n'avait jamais mis les pieds à l'hôpital. Mais C'était trop tard. Quand ils sont arrivés à l'hôpital il a perdu connaissance et est tombé dans le coma. Les médecins ne voulaient plus donner de ses nouvelles à ses femmes. Celles-ci se disputaient dans l'hôpital. Les autres femmes accusaient l'avant dernière de ce qui arrivait à leur mari.

Deux jours plus tard, mon père s'en est aller.

Ses femmes sont rentrées à la maison en pleurs. Le pire, celle qui l'avait secouée avant que tout ça n'arrive, prononçait son nom dans ses pleurs, en racontant des salades.

Je venais de devenir définitivement orpheline.

Mon père, même s'il ne s'occupait pas de nous, maitrisait sa famille. Ce qui faisait que par moment le pire ne se produisait pas même quand les bagarres dégénéraient en sa présence.

Sa mort était le début d'un bordel total dans notre famille.

Nous qui n'avions plus nos mères étions à l'écart des décisions. On nous répétait sans arrêt qu'on étaient pas dans le livret de famille et que donc on était pas reconnu comme membre de la famille. Une de nos ainées nous a même dit qu'on avait droit à rien dans cette famille.

Je pleurais souvent, pas pour ce qu'elle racontait. Mais pour le fait qu'il n'avait pas encore été enterré et que la guerre avait été déclaré entre nous ses enfants.

Il avait commit des erreurs jusqu'à la fin de ses jours. Et c'est nous qui ramassions les pots cassés à sa place. Et encore pire, on n'avait personne pour nous défendre.

Pendant ses funérailles, c'étaient des règlements de compte sur règlements de compte.

Il est décédé quand j’avais 19ans. Le jour de sa mort, sa dernière femme était enceinte de six mois. J’avais pitié de cette femme et du bébé qu'elle portait.

Mes ainés se sont déchirés à cause des biens de mon père. Pourtant il n’y avait pas grand-chose à partager.

Mon père s’était marié légalement avec ces deux première femmes, les 5 autres n’étaient pas dans son livret de famille.

Je n’avais pas droit à la parole parce que je faisais partis des plus petites de la famille. Moi, je me foutais de ses biens. Quelques uns des ses enfants ont vidés la maison. Ils ont pris tous ses appareils électroménagers. Qui étions nous pour leurs dire de ne pas le faire ?

Ma façon à moi de voir la vie était de me battre pour me sortir de ce merdier dans lequel je suis née.

Certains membres de la famille ont préféré vivre avec leur petit copain pour avoir de quoi à mangé et d’autre ont poursuivit leurs études à l’aide leurs mères.

Pour moi c’était la débauche sexuelle. J’étais livré à moi. Chacun faisait ce qui lui semblait bien pour subvenir à ses besoins.

Je sortais souvent avec des mecs uniquement pour dormir sur un lit.