eh bah juste vous dire encore ke je me suis bien en sortie mais bon le plus dur est derrière moi et je m'ameliore de plus en plus pour ne pas craquer

aujourd'8, l'homme de rêve et l'homme de ma vie fête son anniversaire et on a fait une petite sortie avec une amie du site a kiddy parc un endroit magnifique avec bcp de jeux pour enfants, les filles se son bien regaler, mais il fallait vite entré à la maison a cause des travaux de la nouvelle sale de bain ki prend fin aujourd'8, enfin on pourra reprendre un bain

les filles, j'avais du mal a en parlé, parce ke mon histoire est honteux, mais aujourd'8, je vous raconte car ça me permet me mieux voir la vie, je sais ke j'ai encore un grand boulot à faire sur moi même, mais étant sur le site et avec votre aide je m'en sortirai

je vous aime bisous

. Elle ne s'est jamais remise.Elle en est morte suite à cette violence Mais en Afrique, les gens mettent tout sur la sorcellerie sans chercher vraiment la raison de sa mort. Le pire était quand les autres femmes de mon père parlaient d'elle. Elles l'a traitaient de tout les noms, disaient qu'elle était impure, que c'est pour ça qu'elle est morte. On a jamais su la vrai cause de son décès. Et puis de tout les façon, ça n'allait pas la ramené en vie. Donc il fallait continuer la vie sans elle et tout faire pour survivre. C'était une jungle notre vie. Mon frère et moi n'avions jamais de savon pour se laver ni de serviette pour s'essuyer. Après la douche ont s'essuyaient avec nos habits sales et on les remettaient. On était toujours sales. Quand on s'asseyaient auprès des autres, ils nous chassaient parce qu'on sentaient mauvais. On n'arrivaient pas à être propres comme les autres qui avaient leurs mères. De tout façons, on savait qu'on était pas les bienvenue.

Mais on grandissaient et on s'habituaient sans explications et sans trop poser de questions aux autres de peur d'être humilier comme toujours.

MON ADOLESCENCE

Je ne sais pas si on doit appeler ça un viol ou un abus sexuel. Étant livrée à moi, à l'age de 17ans, un jour, après les cours scolaires, je suis aller aider mes sœurs qui avaient un restaurant dans le centre ville. C'était très loin de mon établissement scolaire et je devais me rendre à cet endroit pour pouvoir avoir à manger (le reste des plats des clients qui venaient manger).

Je n'avais pas le choix. J'avais tout le temps faim puisque je ne mangeais pas à ma faim.

Ce jour là un mal de ventre terrible m'a prise dans ce restaurant. Je devais rentrer à la maison prendre des médicaments mais je n'avais pas les moyens de me payer le transport. C'est à ce moment là que le petit copain d'une de mes demi-sœurs s'est proposé de me déposer chez nous à la maison. Je suis monter dans sa voiture et nous avons pris la route qui menait chez nous. Quand soudain il m'a dit :

• Tu ne connais pas chez moi. Toutes tes sœurs connaissent ma maison sauf toi. Si on allait faire tour chez moi avant d'aller chez vous.

Je lui ai dit une prochaine fois, que j'avais trop mal. Mais il a tellement insister que j'acceptais d'aller connaître chez lui. Arrivée devant sa villa, il est descendu et a ouvert son garage tout en me parlant. Il me disait, on serra tranquille comme ça. Je ne comprenais rien dans la tranquillité dont il parlait. Donc je l'observais. Puis nous avons commencé la visite. Il parlait de sa vie, des histoires sans queue ni tête. Ensuite, quand nous sommes arrivés dans la chambre à coucher, la porte a claquée. Lui était dans ses toilettes. Je lui demandais comment fonctionnait la porte car je n'arrivais pas à l'ouvrir. Il m'a répondu qu'il arrivait dans une minute pour l'ouvrir. Il a crié :

• C'est comme ça quelle fonctionne ma porte. Quand on rentre, on ne sort plus.

Ça m'a fait un peu sourire malgré mon mal au ventre. Il est sorti des toilettes tout nu et à commencer à toucher mes parties intimes. Je le repoussais mais lui il insistait. Il a finit par me violer malgré mes pleurs et mes supplications. Il a pris son plaisir et est allé prendre sa douche. A son retour, il m'a menacé et dit de ne rien dire à personne. Que c'était notre secret. Il m'a dit que pour toutes les filles, leurs premières fois se passaient toujours comme ça. Il m'a assuré que ce qu'il venait de faire n'était pas méchant. Ensuite il m'a donner de l'argent pour ne pas que je le dise ma demi-sœur.

Cet homme savait ce que j'endurais chez moi au quotidiens. Il savait que notre père ne s'occupait pas de nous. Il a voulu acheter mon silence avec son argent. Puis il est allé me déposer chez nous. Avant de descendre, il m'a saisit par le bras et m'a répété c'est notre secret donc tu ne dit rien à personne. Je suis entrée toute triste dans la chambre ou j'avais mes petites affaire. J'ai pris du spasfon pour mon mal de ventre. J'avais de plus en plus mal mais je ne pouvais le dire à personne. J'avais honte de moi. Je me sentais sale et dégueulasse à la fois.