salut les amies, eh bah super ce temps pourrit, mais c'est super pour faire du velo d'appart ou de la gym, mais bon je trop accro au sport et j'adore, et vous comment allez vous ?

jespère votre week-end a été bien, moi je continue de vidé mon sac

merci de m"aidé a me soulagé car ce ke je raconte n'est pas facile a enttendre mais bon c'est autre monde et mon rêve c'est qu'un jour ce monde change en bien car je l'adore

voici la petite suite, je vous aime bisous 

En tout cas, dans cet hôpital, c’était la merde. On ne s’occupait pas des malades. La preuve était sous nos yeux. L’accidenté qui est arrivé a été abandonné dans une salle. Il criait de toute ses force. Quelques minutes plus tard, c'était le silence et on a vu un brancard fermé passer sous nos yeux. Mes deux amis se sont regardé et ont eu peur pour moi. De toute façons, au stade ou on était arrivé, on ne pouvait plus faire marche arrière. J'attendais mon heure.

Trois heures plus tard, le médecin est venu nous dire au revoir. Son service était terminé. L’équipe de garde allait s’occuper de moi. Il est parti et nous sommes resté là attendre.

Une heure plus tard, un homme est venu me chercher et m'a emmené dans une salle bizarre pour me préparer à l’intervention. Dès qu’il a fini, il m'a dit:

• l’équipe qui va t’opérer se prépare.

  Et il est sorti de la pièce.

Dans cette salle, j’avais peur de la suite. Je me disais et si je ne me réveillais plus après l’intervention. J’avais envie de m’enfuir après ce que je venais de voir sur le brancard.

Puis je pensais à mes deux amis qui m'ont soutenus. Je ne devais pas baisser les bras parce que j’avais foie en Dieu et que si s’était mon heure de mourir, je n’allais pas avoir cette chance. Je pensais à ma famille qui ne se souciait pas de moi. Soudain mes pensées ont été interrompu par le bruit de la porte. C’était l’homme qui m’avait préparé pour l’intervention. Il était venu me chercher pour le bloc opératoire. Quand je suis entrée dans cette salle j’avais froid. Je me suis installée sur le billard. Un homme en blouse blanche m'a mi une perfusion. Il me racontait une histoire dont je ne me souviens même plus. Je voyais beaucoup de lumières qui tournaient dans tous les sens puis plus rien.

A mon réveil, j’avais mal au ventre mais ça n’avais rien a voir avec la douleur que j’avais au paravent, je venais d’être opéré enfin j’étais débarrassé du mal atroce que j’avais, mes amis étais là en plus de ma demi sœur coté maman, j’étais contente de les voir, puis il ya deux autres qui sont venu, mais eux leur visite je pouvais bien m’en passé parce qu’ils sont venu pour me faire la leçon sous prétexte que j’avais rien dit avant de me faire opéré pour tant ils étaient tous là quand je suis allé le dire a mon père bref

Les africains on les moyens pour les funérailles mais pas pour les interventions chirurgicales, ils préfèrent financer les funérailles que de soigné une personne malade et puis ils organisent les funérailles comme des fêtes avec des uniformes, de la nourriture en abondance pour faire croire aux gens que la personne décédée leur était très cher pourtant c’est leur façon a eux de se montrer qu’ils ont les moyens, alors que la somme qu’ils mettent dans les funérailles peut souvent sauver la vie de la personne décéder

Et même pendant ses funérailles il y a certaines personnes qui s'habille de façon provocante pour cherché leur âme sœur, et pendant les pleures les jeunes femmes se roulent par terre pour montrer leur de sous aux hommes, une autre façon de les attirés vers elles

C’est vraiment triste de savoir que la mort est une fête pour certaine personne

En tout cas ce qui contait pour moi c’est que j’ai eu de la chance et que j’étais en vie

Quelques jours plus tard, je suis sortis de l’hôpital, arrivé a la maison mon père n’avait pas envie de me parlé a peine ma t’il demandé si j’allais bien, au fait il avait honte, mais ne sachant pas quoi dire il a préféré se taire

Les jours passaient et je me remettais tout doucement de l’intervention, malgré l'ambiance pourrit qui règnait dans cette maison