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suite du vrai visage de l'afrique
publié le 03/05/2009 à 23:13 |
Un jour, ou je me rendais à l’hôpital pour mon pansement, je suis allée sur le chantier des Japonais pour les remercier de l’aide qu'is m'avaient apporté. Mais quand je suis arrivée, la personne à qui je me suis adressée ne comprenait pas le français. Donc il avait du mal à me répondre. J'ai essayé de faire des gestes pour lui expliquer que l’intervention s’est bien déroulée et que tout allait bien. Mais le monsieur était très gêné quand je lui ai montré la cicatrice de l’opération. C’est la qu’il m'a dit « appendicite «. C’est la qu’il a comprit mon message. Quelques minutes plus tard, un groupe de jeunes africains sortant d’une salle sont venus nous rejoindre. Parmi ces jeune là, il y avait mes amis puisse qu’ils travaillaient avec eux. Ils étaient payés 5000 mille francs CFA la journée. J’étais contente pour eux, parce que sans eux j’étais dans la tombe. Ils ont traduit tout ce que je disais au Japonais.
Après mon pansement je suis entré à la maison
Le soir, l’un de mes amis étudiant est venu me voir et ma dit en souriant que le japonais à qui je me suis adressée le matin voulais me revoir. J’étais surprise et j’ai demandé à mon ami pourquoi tienait-il a me revoir. Je n’ai fais que l’embêter avec mes histoires ce matin. Mon ami était tout souriant quand il parlait, mais moi je ne comprenais rien.
Le lendemain, je me suis rendu sur le chantier et j’ai vu le japonais. Il m'a remit une carte de visite et est allé à ses occupations.
Tout ce que je pouvais lire sure cette carte, c’était son nom.
Quelques jours plus tard, mon ami l’étudiant est venu me dire qu’on était invité à manger avec les japonais et que le responsable qui m’a remit sa carte tenait à me revoir.
J’ai refusé parce que je ne sentais pas cette histoire claire. J’ai essayé de raisonner mon ami. Puis il est rentré chez lui. En faite la carte du Japonais l’intéressait. Donc il voulait garder le contact avec lui pour ses études. Donc pour ça je devrais faire parti de son plan. Mon ami était près à tout pour arriver à ses fins.
Il m'a dit que le chef du projet Japonais lui a dit que s'il voulait se rendre au Japon avec la carte que j’avais, ça pouvais être facile pour lui. Donc il voulait que je l’aide.
Mais je n’étais pas intéressée par ses aventures. En tout cas, je ne sais pas ce qu'il lui a dit mais il avait l’air sure de son plan. Pendant tous le temps que les Japonais étaient là, il cherchait à me convaincre de les rencontrer, alors que j’étais convalescente.
Un soir, mon ami étudiant et moi, nous nous sommes rendu au RAN hôtel. Là ou étaient logés les Japonais. Arrivée à la réception de l’hôtel, j’ai présentée la carte de visite et la réceptionniste l'a appelé. Il est alors venu nous rejoindre dans la salle de réception.
On a discuté en anglais. Moi je parlais en français et mon ami traduisait en anglais.
C’est à ce moment là que le monsieur m'a dit que si je voulais un jour visiter le Japon, il me suffirait de présenter sa carte à l’ambassade du Japon et on allait l'appeler pour quoi que se soit, concernant les papiers ou autre. Quelques minutes plus tard nous sommes rentrés au quartier.
Toute la nuit je me suis mise à penser à ma rencontre avec ce Japonais. Pourquoi s’intéressait il à moi à ce point. C’était trop difficile de lui parler sans intermédiaires. A chaque fois que je partais pour mes pansements, je passais lui dire bonjour et dire merci à leur équipe pour leur aide. Dans ma culture quand une personne te rend un service, le merci est infini.
Donc, c’est ce que je faisais jusqu'à ce qu’ils repartent chez eux.
Mon ami l’étudiant, après le départ des Japonais, me harcelait à cause de la carte.
Un jour, il est venu m’en parler à nouveau. Pendant notre dispute, il m’a arraché la carte que j’avais avec moi à chacune de ses visites. Il a mit la carte dans sa bouche et l’a mâché puis avalé. J’étais tellement étonnée que je n’ai pas pus lui dire un mot. Il venait de briser une amitié qui me tenait à cœur.
Trois semaines plus tard, j’étais rétablie de l’intervention et je devais reprendre l’école.
Mon école se trouvait à la sortie de Bouaké. Je devais marcher 1h30 le matin et le soir. Mais avec l’intervention, j’étais incapable de le faire. Mon père m'a payée le transport deux fois et m'a dit qu’il ne pouvait pas continuer de payer et que je devais reprendre la marche. Sans parler, je me suis remise à remarcher comme avant.
Une semaine après, je suis repartie à l’hôpital parce que ma cicatrice s’est ouverte. Un matin, à mon réveil, il y avait du pu qui sortait de celle-ci.
J’ai fais une semaine sans aller à l’école.
Quand j'y suis retournée, les examens étaient très proches et je ne comprenais plus rien.
J’ai arrêté l’école en 3eme parce que je n’étais pas à l’aise. Je voulais travailler pour pouvoir subvenir à mes besoins. J’ai fais pleins de petits boulots pour m’acheter quelques vêtements.
Je voyais la vie autrement malgré sa dureté.
Chez nous à la maison, c’était la dictature. Nos ainés qui faisaient la loi m’insultait tout le temps. Je n’était pas la seule dans ce cas. Mais moi, j’en avais marre de cette vie. Mon père devenait de plus en plus vieux et fatigué. Mais malgré sa vieillesse et sa fatigue, sa préoccupation principale était ses femmes. Comme la majorité des hommes africains, il faut avoir beaucoup de femme pour qu’on les respecte. L’africain n’a aucun respect pour la femme. Même quand il se mari, il a plusieurs petites copines dehors et celles qui ont le malheur de tomber sur un polygame en souffrent. Parce que ces hommes là leur diront qu’ils ont plusieurs femmes qui attendent à ce qu’ont les prennent pour 2ème épouses (ou 3ème ou même plus).
La femme qui a son foyer et qui ne veut pas se retrouver sans mari à cause de son âge est obligée de se soumettre aux règles de son mari. Les femmes meurt plus que les hommes à cause de ce qu’elle subisse dans leur foyer.
"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
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woauh!! je viens d e lire ton article et quelle vie difficilie tu as eue!!! quelle force et quel courage il faut pour tenir dans ces situations!!! j'espère que ces coutumes un peu "spéciales" changeront un jour.........
as-tu su pourquoi ton ami avait avalé la carte au lieu de la garder pour lui? puisqu'elle l'intéressait tant?!!!!! peutêtre était-il amoureux de toi et qu'il voulait pô que t'ailles là-bas revoir le japonais????
sinon merci pour la bonne nouvelle je suis contente d'apprendre que Marie va bien, il me tarde de la retrouver parmis nous!!!!!
allez bon am et @+
byz Mél'
Je suis bien contente d'être en France , je pense que tu l'es aussi.
Aller , on n'imagine même pas 1/10 ième de ce qui se passe dans le monde.
Merci pour ton témoignage.
J'ai 2 "épisodes" de ton histoire en retard de lecture.
Je le ferai plus tard et je te laisserai un comme plus tard
bisous
as tu passée un bon w.end ma puce j'ai eu ma pèpètte pendant 2jrs à la maison et puis elle commence à marcher ohla il faut etre tt le temps a la surveiller les tontons étaient de corvée aussi ton histoire est tjours triste et les femmes ne sont pas jalouses entre elles chez ns aux antilles cela n'existe pas je te souhaites une bonne soirée ma cocotte pleins de bisou jen
Je te souhaite une bonne journée ma belle a bientot
bisous
sylvie
c'est une histoire triste,tu as subit pas mal d'injustice,courage ma grande la vie est belle la preuve tu es heureuse à nouveau avec ta petite famille
gros bisous