Quelques exemples de "petites phrases" qui réveilleront peut-être certains souvenirs enfouis au fond de vous.

Le but étant, vous l'avez compris, de se servir de ces "petites phrases", pour avancer.

Voici donc trois nouveaux exemples :

- ce jeune garçons, 12 ans... 13 ans, bon élève, entend son père lui dire : "Pour toi mon fils il n'existe qu'une place ! La première ! Tu es brillant, intelligent ! Tu es MON fils, je suis fier de toi !" POSITIVE LA PHRASE... YES !!!

Le gamin va passer ses examens au milieu d'une bonne trentaine d'autres élèves. Il décroche la... seconde place ! Imaginez dans quel état d'esprit il rentre "affronter" le regard du père aimant et bienveillant !

- ce qui nous amène au 2ème exemple. Là j'avoue, je l'ai piqué dans le bouquin de Michel Drucker à qui son père ne cessait de répéter "Mais qu'est-ce qu'on va faire de toi !". Simplement parce ses deux frères étaient "plus brillants que lui". Plus brillants en quoi ? Dans des matières différentes, tout simplement. Ce qui n'a pas empêcher les 3 frères de s'aimer profondément, de se respecter malgré leurs différences. Ce qui n'a pas empêché non plus Michel Drucker de réussir. Dans un domaine différent, certes, mais un domaine qui lui correspondait et qui lui correspond toujours, près d'un demi-siecle plus tard !

- et la copine esthéticienne, que dis-je ! l'a.m.i.e. esthéticienne, assise tout près de toi et qui te scrute le visage. Vous avez déjà vu le regard d'une esthéticienne qui vient de traquer un poil ou un point noir ? Il est terrible !!!

Vous êtes à 10 secondes de passer devant la caméra, et la copine vous lance, d'un air contrit et compatissant : "J'aurais dû t'épiler".

Et vlan ! La petite phrase assassine qui vous déstabilise !

Je vous invite à verbaliser au moins UNE petite phrase qui vous a fait réagir.... Et à l'analyser... Est-ce si important ?

Pour qui ? Pour celui qui l'entend ? Pour celui qui la prononce ?