En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intérêt. En savoir plus et gérer ces paramètres.
Un massage de 30 minutes qui est pratiqué sans rendez-vous et qui vous fera le plus grand bien immédiatement. C'est le principe tout simple de ce soin relaxant, totalement anti-stress.
Exclusivité des Instituts Body Minute, ce massage sera pour vous un pur moment de détente, totalement relaxant et véritablement destressant.
Votre séance commencera sur le dos. L'esthéticienne partira de vos pieds pour remonter jusqu'à votre nuque, en passant par votre ventre. Puis, la séance continue. Vous vous mettrez sur le ventre et l'esthéticienne repartira de vos pieds pour finir par votre dos pour une grande sensation de bien-être. Ce soin est pratiqué avec huile vitaminée qui a des effets nourrissants et tonifiants pour votre épiderme. Voilà sans nul doute, l'un des massages bien être les plus complets de la rentrée !
Les bienfaits : rien que d'être sans rendez-vous, c'est déjà un aspect positif. Au niveau de notre corps, il soulage les tensions physiques, diminue évidemment le stress, apporte une sensation de bien être général et donc apaise votre mental.
Les contre-indications : attention à bien se faire masser pour ne pas froisser nos articulations.
Prix : 19.90 € avec l'abonnement Body Minute ou 43 € pour les non abonnés. Mais avec un abonnement à 9.90 €, c'est à y réfléchir...
Est-il possible de se détendre en 15 minutes ? Avec le massage assis, la réponse est tout simplement oui ! Au bureau, dans certaines boutiques, aéroports ou encore dans des bars et restaurants de Paris et de la province, cette façon de masser est en vogue et répond aux attentes vos vies actuelles.
Vous êtes installées dans une chaise ergonomique et vous recevez les bienfaits des gestes du masseur essentiellement sur le dos, les hanches, les épaules ou encore la tête, soit les endroits où tout le monde bloque facilement. C’est une formule idéale pour une première approche du massage (en plus vous gardez vos vêtements) et un moment de détente rapide (parfait pour vous toutes qui êtes toujours pressées) et peu excessif (en moyenne 10 €).
Le massage assis offre donc un maximum d’efficacité en un minimum de temps.
Les bienfaits : Il élimine le stress, permet un moment de détente rapide. Le massage assis diminue l’excitabilité nerveuse et soulage les maux causés par le stress : mal de dos, migraine, épuisement, insomnie, etc. Il a enfin un effet énergisant.
Les contre-indications : Il est déconseillé aux femmes enceintes et lors d’inflammations.
Prix : de 10 à 35 €. Cela dépend du lieu (à domicile, dans un bar, au bureau, etc).
Si vous ne trouvez pas votre bonheur dans la sélection des instituts zens, si vous avez une hésitation concernant un massage ou encore un institut ou si vous cherchez, par exemple, un espace en province ou à Paris, voici quelques numéros biens utiles.
Fédération française de shiatsu traditionnel, 0 890 710 017 ou www.ffst.fr
Que pensez-vous de l’engouement actuel pour les massages ?
Nous sommes dans une société de consommation où les gens sont à la recherche du bien-être. Ils trouvent ce qu’ils cherchent dans les massages. Alors réel engouement ou pas, je pense que les gens sont prêts à dépenser, enfin à consacrer une partie de leur budget aux massages qu’ils soient simplement du domaine de la détente ou de la kinésithérapie.
A partir de quand faut-il parler de massages médicaux et non plus de relaxation ou de simple détente ?
A partir du moment où l’on masse en profondeur, cela relève de la kinésithérapie. Nous sommes avant tout des masseurs. Donc pour moi, c’est juste une différence de soins et non pas de praticiens. Les gens ont tendance à penser que nous ne faisons que des massages pour des entorses ou des blocages de dos, mais pas du tout ! Des patients viennent, car ils sont stressés ou encore, nous massons des femmes après leur grossesse, ce qui est aussi du domaine de la relaxation, de la détente. Mais alors, nous savons parfaitement la limite et s'il nouss entons que la personne a besoin d'un conseil médical, car son problème nous apparaît comme symptomatique d'une maladie ou relevant d'un eprise en charge plus globale, nous sommes en mesure de le diagnostiquer.
Qu'apportez-vous de spécifique par rapport aux massages du bien-être?
Nous avons une véritable connaissance anatomique. Ceci nous permet d'aller plus loin sans pour autant prendre de risques sur la physiologie. Il faut savoir qu'un massage peut ne pas être anodin, s'il est appliqué de façon non appropriée, trop tonique ou trop approfondie par exemple. Il faut bien choisir son masseur, et s'il n'est pas kinésithérapeuthe, s'assurer qu'il ne joue pas à l'apprenti manipulateur.
Votre conseil?
Bien choisir son masseur, car c'est avant tout une relation de confiance. Et si celui-ci n'est pas kinésithérapeuthe, s'assurer qu'il ne pratique pas de gestes dangereux. Il faut simplement attendre de ces massages non médicaux, une détente, pas un soin en profondeur.
En espérant que ça vous aura donné envie de vous faire du bien & que ça vous aura fait voyager & du bien aux yeux & au coeur
C'est le secret ancestral de la jeunesse des japonaises. Le ko-bi-do, appelé également "massage facial japonais", a pour but de rajeunir votre visage en redonnant une meilleure élasticité à votre peau. Ce soin, issu du massage traditionnel japonais : l'amma, est une combinaison de mouvements sur le visage, la nuque et le cou.
Avant le début du massage proprement dit, il y a une phase purifiante pour nettoyer votre peau de toutes les impuretés. Ensuite, le véritable ko-bi-do commence avec : une phase énergisante, par stimulation des points énergétiques de votre visage, et pour finir, un drainage lymphatique (mouvements glissés) pour évacuer les toxines. Alors oui, un visage plus jeune sans lifting semble possible !
Les bienfaits : le ko-bi-do stimule la circulation sanguine, lymphatique et améliore donc la qualité de votre peau. Il libère votre visage de la tension musculaire qui est responsable de la formation des rides. Le plus : votre peau est purifiée et hydratée.
Les contre-indications : à éviter en cas de plaies, d'inflammations ou d'utilisation de produits de comblement (botox).
Prix : comptez 80 à 90 € en institut et de 30 à 50 € à domicile.
Un véritable moment d’évasion qui vous rappellera vos vacances ou qui vous fera découvrir des senteurs et des bienfaits d’ailleurs pour une rentrée zen !
Ces huiles orientales parfumées comme l’huile d’argan, aux pétales de roses ou à la fleur d’oranger auront des répercussions sur votre peau (hydratation) et votre corps. Elles sont appliquées sur le dos dans un massage très basique mais qui a un effet bien-être et détente garantie !
Les bienfaits : un dépaysement garanti, une peau soignée grâce aux huiles utilisées.
Les contre-indications : aucunes. Le « petit » point négatif : les huiles restent grasses sur la peau.
Prix : 31 à 60 € pour 30 minutes minimum de massage.
LES RELAXANTS
var imsection_off=new Array();var imsection_on=new Array();var imsection_statut=new Array();var imsection_txt=new Array();
imsection_statut['1717']=0;imsection_txt['1717']='LES PHYSIOLOGIQUES';imsection_statut['1718']=0;imsection_txt['1718']='LES EXOTIQUES';imsection_statut['1719']=1;imsection_txt['1719']='LES RELAXANTS';imsection_statut['1721']=0;imsection_txt['1721']='BONNES ADRESSES';imsection_statut['1722']=0;imsection_txt['1722']='L\'AVIS DU KINÉ';document.getElementById('txtsection').innerHTML='LES RELAXANTS';
function af_dossier_roll(SectionID) {
imsection_statut[SectionID]=1-imsection_statut[SectionID];
table=document.getElementById('tablesection'+SectionID);
if (imsection_statut[SectionID]==0) {table.className='af_edito_menu_vignette';document.getElementById('txtsection').innerHTML='LES RELAXANTS';}
else {table.className='af_edito_menu_vignetteActive';document.getElementById('txtsection').innerHTML=''+imsection_txt[SectionID]+'';};
}
Cette pratique traditionnelle consiste à chauffer des pierres chaudes de basalte dans un bain d'eau chaude dont la température reste constante, afin d’induire lors du massage avec ces pierres, des effets physiologiques de détente et de détoxification. Lors d'une séance, vous serez invitée à vous allonger sur le dos, sur les pierres chaudes que le praticien aura disposé et chauffé sur la table d'une manière précise en fonction de votre morphologie. Puis des pierres chaudes ou fraîches seront posées sur certains endroits clés du devant de votre corps : autour des épaules, de la nuque...soit en fonction de vos besoins.
Pendant que vous êtes couchées sur les pierres placées le long de votre colonne vertébrale, votre corps va être chauffé par des passages successifs de pierres chaudes huilées que l’on fait glisser lentement le long de vos muscles des pieds à la tête. C’est le moment du massage proprement dit, avec des passages plus insistants sur certaines zones. Le dos reçoit aussi des soins : effleurage, frictions, pressions, vibrations et autres manoeuvres, tout en alternant les températures. Les phases de massage avec les pierres fraîches ont pour but de désenflammer. Le froid provoque une contraction vasculaire et un appel d’énergie, ce qui rend très réceptif au chaud qui va suivre.
L'alternance du chaud et du froid provoque une surprise agréable. Ceci porte le nom de thermothérapie.
Les bienfaits : hyper relaxant, ce massage vous permet de faire le vide. Votre mental se libère grâce aux surprises du chaud et froid sur votre corps. Les tensions musculaires sont également apaisées grâce aux changements de température. Enfin, la circulation sanguine et le flux énergétique retrouvent un bon équilibre.
Les contre-indications : il est déconseillé aux diabétiques, aux cardiaques et aux personnes dont le système immunitaire est fragile.
Prix : pour un soin de 1h30, le prix est compris entre 80 et 120 € selon l'institut.
Très populaire dans la civilisation ancienne de Chine et d'Egypte, ce massage, dont le nom technique est digito-pression sur les pieds, est une thérapie manuelle. Par sa technique, la réflexologie plantaire envisage le pied comme une représentation en miniature de tout le corps humain. Chaque partie interne de l'organisme est mise en correspondance avec des points du pied, ou zones réflexes. Le travail sur ces zones s'effectue par des pressions du doigt et du pétrissage. Elles permettent de localiser les tensions et de rétablir l'équilibre dans les parties du corps correspondantes.
La réflexologie active la circulation sanguine effaçant les contraintes de votre journée.
Les bienfaits : la réflexologie active la circulation sanguine et lymphatique. Elle permet de soulager vos douleurs et de lutter contre l'insomnie. Le stress est également atténué. La réflexologie plantaire vous apportera une sensation de détente généralisée.
Les contre-indications : à éviter sur un pied blessé, en cas d'entorse, de phlébites, etc.
Prix : pour 45 min à 1h de massage il faut compter de 60 à 90 €.
5 à 6 séances, vous seront nécessaires pour se débarrasser de vos troubles.
Ce massage, créé en 1970 près de San Francisco, est sans nul doute le plus relaxant. Il a pour but la recherche du confort, la détente physique et le bien-être. Très doux, le massage californien laisse un champ de liberté et de créativité au masseur. Ce dernier pourra composer votre séance de pressions glissées, pétrissages, et frictions légères sur l'ensemble de votre corps. C'est un massage de type musculaire à l'huile végétale.
Ses effets apaisants et revitalisants résultent de mouvements lents et amples. Rien de tel pour évacuer le stress de la journée et renouveler le système immunitaire.
Les bienfaits : Il n'a d'autre but que de détendre votre corps. Il procure donc un bien-être instantané. Ce massage permet de vous libérer de vos tensions (superficielles) nerveuses et musculaires.
Les contre-indications : A éviter en cas de lésions cutanées, musculaires ou inflammatoires.
Prix : de 50 à 110 € en fonction du temps qui est entre 30 et 1h20 de massage.
LES EXOTIQUES
var imsection_off=new Array();var imsection_on=new Array();var imsection_statut=new Array();var imsection_txt=new Array();
imsection_statut['1717']=0;imsection_txt['1717']='LES PHYSIOLOGIQUES';imsection_statut['1718']=1;imsection_txt['1718']='LES EXOTIQUES';imsection_statut['1719']=0;imsection_txt['1719']='LES RELAXANTS';imsection_statut['1721']=0;imsection_txt['1721']='BONNES ADRESSES';imsection_statut['1722']=0;imsection_txt['1722']='L\'AVIS DU KINÉ';document.getElementById('txtsection').innerHTML='LES EXOTIQUES';
function af_dossier_roll(SectionID) {
imsection_statut[SectionID]=1-imsection_statut[SectionID];
table=document.getElementById('tablesection'+SectionID);
if (imsection_statut[SectionID]==0) {table.className='af_edito_menu_vignette';document.getElementById('txtsection').innerHTML='LES EXOTIQUES';}
else {table.className='af_edito_menu_vignetteActive';document.getElementById('txtsection').innerHTML=''+imsection_txt[SectionID]+'';};
}
Extrêmement complet, le massage thaïlandais conjugue les vertus de différentes techniques. Partie intégrante de l'hygiène de vie des Thaïlandais, c'est l'un des massages les plus pratiqués. Il s'apparente, en effet, au yoga pour les étirements et au shiatsu pour les pressions sur les méridiens. Les étirements et les positions inhabituelles données au corps servent à masser les organes. Le praticien exerce des pressions sur les coudes, les mains, les pieds, les genoux, etc. Il se pratique habillé, dans une tenue ample. Un massage qui, après quelques séances, remet le corps en ordre.
Les bienfaits : il stimule votre circulation sanguine et lymphatique. Il assouplit vos muscles, tendons et articulations. Il soulage des crampes et des torticolis. Dynamisant et relaxant, il permet également d'évacuer le stress.
Les contre-indications : Très énergique voire brutal lors, par exemple, de l'utilisation des pieds. Il est donc à éviter en cas de problèmes musculaires, tendineux ou plus généralement de santé.
Prix : entre 60 et 90 € pour 60 à 90 minutes de massage.
Ce massage, revitalisant et surtout énergisant, tire son inspiration de l'île exotique d'Hawaï. Imitant les mouvements rythmiques des danses hawaïennes, les paumes des mains, les avant-bras et les coudes sont utilisés.
Cette technique de massage propre à Hawaï existe depuis des siècles. Exercé à l'aide de mouvements longitudinaux et d'exercices d'étirements délicats, il vous procurera une sensation de détente profonde. Il se fait directement sur la peau avec beaucoup d'huile de massage. On vous massera tout le corps pour lui permettre de retrouver énergie et équilibre.
Le massage dure au moins 2 heures et se fait au rythme de la musique hawaïenne. C'est un voyage qui vous permet de vous laisser aller et d'oublier, par exemple, toutes les choses difficiles qui peuvent vous stresser.
Les bienfaits : il soulage la tension musculaire, améliore la circulation du sang et de la lymphe. Il vous aide à nettoyer votre corps. C'est un massage parfait pour rétablir l'harmonie physique et mentale.
Les contre-indications : à éviter en cas de lésions cutanées ou d'inflammations car l'huile utilisée risque fortement d'infecter vos plaies.
Prix : vous en trouverez à 50 € mais pour bénéficier d'un bon massage hawaïen, il faut compter sur 75 € minimum.
Vous aimez les massages, mais vous ne savez ni lequel choisir, ni où le pratiquer. Souhaitez-vous découvrir l'un des plus physiologiques, comme le shiatsu ou l'ayurvédique? Préférez-vous une atmosphère plus exotique? Ou alors, désirez-vous commencer avec un bon relaxant? Lisez nos explications.
De plus, auFéminin a sélectionné pour vous quelques adresses d'Instituts et lieux originaux , qui proposent des formules adaptées à tous les budgets... Mais, avant de vous lancer, n'oubliez pas de lire les conseils du kiné .
LES PHYSIOLOGIQUES
var imsection_off=new Array();var imsection_on=new Array();var imsection_statut=new Array();var imsection_txt=new Array();
imsection_statut['1717']=1;imsection_txt['1717']='LES PHYSIOLOGIQUES';imsection_statut['1718']=0;imsection_txt['1718']='LES EXOTIQUES';imsection_statut['1719']=0;imsection_txt['1719']='LES RELAXANTS';imsection_statut['1721']=0;imsection_txt['1721']='BONNES ADRESSES';imsection_statut['1722']=0;imsection_txt['1722']='L\'AVIS DU KINÉ';document.getElementById('txtsection').innerHTML='LES PHYSIOLOGIQUES';
function af_dossier_roll(SectionID) {
imsection_statut[SectionID]=1-imsection_statut[SectionID];
table=document.getElementById('tablesection'+SectionID);
if (imsection_statut[SectionID]==0) {table.className='af_edito_menu_vignette';document.getElementById('txtsection').innerHTML='LES PHYSIOLOGIQUES';}
else {table.className='af_edito_menu_vignetteActive';document.getElementById('txtsection').innerHTML=''+imsection_txt[SectionID]+'';};
}
Ces massages sont les Top 3, au hit parade des plus à la mode!
Le shiatsu, parce qu'il est le champion de la remise en forme, l'ayurvédique , qui est particulièrement adapté pour ses vertus détoxifiantes, et le massage californien, célèbre pour ses propriétés relaxantes.
C’est le plus célèbre des massages de cette rentrée ! Il est inspiré de la médecine chinoise traditionnelle (MCT) mais il s’est d’abord développé au Japon où il est officiellement reconnu. Le shiatsu, qui peut se traduire par « pression avec les doigts », s’apparente à l’acupuncture mais rassurez-vous il n’y a pas d’aiguilles ! Le shiatsu moderne prend sa base sur le concept de l’énergie vitale. Les pressions, réalisées sur les points situés sur les méridiens, font circuler cette énergie. Il se pratique très facilement : vous pouvez rester habillées et vous vous faites chouchouter directement sur le sol ! La durée du massage est de 45 min pour un coût compris entre 38 et 54 € la séance, selon les instituts.
Les bienfaits : Réputé efficace contre les maladies du stress, fatigue, maux de tête, désordre digestifs, troubles du sommeil et même … le grignotage ! C’est l’un des rares massages reconnus par le Parlement européen comme « médecine non conventionnelle digne d’intérêt », ce qui veut dire que ses effets thérapeutiques sont pris au sérieux.
Les contre-indications : Evitez si vous avez des lésions ou encore des inflammations. Il est également fortement contre-indiqué pendant la grossesse.
Prix : entre 38 et 60 € la séance de 45 min, selon les instituts. Des séances plus courtes et moins chères ont vu le jour dans des instituts mais aussi de façons originales comme dans des bars à massage ou des restaurants où l'on peut avoir ce style de massage pour 15 à 65 €.
Issu de la médecine hindoue, le massage ayurvédique "revitalise" vos organes en rétablissant l'équilibre énergétique dans l'organisme. Il est souvent exercé sur le corps nu et utilise différentes huiles essentielles, sélectionnées selon les critères personnels, soit en fonction de vos maux.
Le massage se concentre sur les points d'énergie au moyen de pressions, frictions, pétrissages, etc, pour une détoxification garantie !
Les bienfaits : outre la détente qu'il vous procurera, il permet un assouplissement des tissus, une détoxification de l'organisme et une meilleure circulation sanguine et lymphatique.
Les contre-indications : à éviter en cas de lésions, inflammations, etc, mais aussi si vous êtes enceintes. Enfin, si vous êtes sujettes aux migraines ou aux troubles cardiaques, l'ayurvédique n'est pas pour vous.
Prix : Vous devez compter entre 60 et 90 € pour un massage allant de 1h à 1h30.
Notre planète compte aujourd’hui six milliards d’êtres humains. Autant d’âmes, d’existences et d’expériences différentes. Mais avons-nous tous la même aspiration au bonheur, les mêmes attentes de la vie ? Pendant dix ans, le photographe Yann Arthus-Bertrand a donné la parole à ces hommes et ces femmes du monde. L’émotion est au rendez-vous : l’expo « 6 milliards d’Autres » vous fait sentir plus humain encore.
Aurélie Martin
l y a quinze ans, Yann Arthus-Bertrand a survolé la terre. Il en a rapporté « La Terre vue du ciel », des images merveilleuses, exotiques, étonnantes... Du bout de son objectif, il voyait les hommes : « Je me demandais souvent ce que je pourrais apprendre des hommes et des femmes que j’apercevais en dessous de moi. Je rêvais de pouvoir entendre leur parole ». La photo ne suffit donc pas. Aidé de six reporters, il décide de parcourir la terre caméra à l’épaule pour sonder les expériences humaines. Un documentaire inédit.
Le projet est audacieux : 50 questions, 6 réalisateurs et 75 pays. Le résultat est superbe : 5000 portraits, autant d’interviews et un délicieux voyage au cœur de l’humanité. Les portes du Grand Palais à peine franchies, des visages sur grand écran nous accueillent. Le périple commence. Il prendra la forme d’une promenade dans un village mongol.
Dépaysement garanti
Vingt-quatre yourtes ont été montées dans la nef du Grand Palais, chacune d’elles renvoyant à un thème : Peurs, Epreuves, Aimer, Femmes, Famille… Guidé par la curiosité, le visiteur déambule au gré de ses envies. Une pérégrination qui le conduit vers une révélation, une tranche de vie. Dans l’obscurité d’une tente, une interview d’une trentaine de minutes l’attend. Cadrés en gros plan, Mario l’argentin ou Zhixi la chinoise se prêtent au jeu du questionnaire. Sans crainte ni timidité, avec une pudeur toute mesurée, un visage se raconte.
« Qu’est-ce qui vous met le plus en colère ? » « Qu’avez-vous envie de transmettre à vos enfants ? » « Qu’est-ce que l’amour pour vous ? » Autant de questions destinées à ouvrir des brèches, à pénétrer au cœur d’une vie, à comprendre l’autre. Au total, plus de 20 heures de film offrent un panel de témoignages. On y parle du bonheur, de la peur, des croyances, des rêves. En toute intimité, la yourte se fait espace de confidences où règne l’harmonie. Car comprendre autrui, c’est avant tout saisir l’énergie de ses paroles. Des témoignages touchants nous entrainent dans un tourbillon d’émotions. Parfois drôles. Toujours émouvants. Nous en sortons avec la douce sensation d’être un privilégié qui en connaît un peu plus sur son voisin.
De l’autre à soi
« 6 milliards d’Autres », c’est d’abord six milliards d’altérités. Yann Arthus-Bertrand a un but : voir ce qui sépare et ce qui lie les hommes entre eux. Car dans un monde où l’altérité est synonyme de différence ou d’étrangeté, le photographe brave les idéaux d’une humanité intègre. Ecouter les témoignages, c’est s’interroger sur ses propres réponses. Partager les émotions, c’est faire du ressenti le siège de l’universalité. L’exposition n’est pas seulement une ouverture sur l’autre. Il s’agit de voir ce qu’autrui peut nous apprendre sur nous-mêmes. Un projet facilement qualifiable d’utopique mais qui a le mérite de nous laisser grandis.
PRATIQUE
Exposition « 6 milliards d’Autres » du 10 janvier au 12 février 2009
Grand Palais, Avenue Winston Churchill, 75008 Paris.
Ouvert de 12h à 20h du mercredi au lundi. Nocturne jusqu'à 22h les vendredi et samedi. Fermé le mardi.
Tarif plein : 5 euros
Demi tarif : 3 euros
franckyz >Bonjour (bis), J'ai terminé une formation (architecture d'intérieur) il y a 6 mois, mais ne cherche pas de boulots dans ce domaine ni dans un autre non plus.. En 20 ans de vie professionnelle, mises bout à bout, mes expériences professionnelles atteignent à peine les 5 ans... Je ne me suis jamais invesit professionnellement, ni personnellement, puisque mes "projets" personnels, artistiques sont aussi restés au stade de projets... Là encore, les freins sont semble-t-il plus importants qe les contrintes. Aujour'd'hui, au rmi, ma situation me fait souffrir, mais si je ne cherche pas plus à en sortir, c'est qu'elle doit me convenir àc certains égards... comment retrouver l'énergie, l'envie de faire, de dépasser cette condition médiocre? Luce Janin-Devillars > Je ne sais pas si vous avez déjà fait une psychothérapie, mais il me semble que, pour être certaine que vous n'avez absolument envie de rien faire, il serait bon de prendre du recul sur cette question avec un professionnel capable de remettre en perspective toutes vos idées quelle que soit leur validité apparente.
flocon >Je voudrais créer et laisser quelque chose en héritage (écrire, peindre...) mais le blocage que je ressens provient du fait que j'admire tellement le travail des autres, ou plutôt je me dis que tout a déjà été fait, que ce que je peux créer sera insipide, sans substance, sans intérêt (à part pour moi). Comment trouver la force de se dire ''ce que je vais faire, ça va faire une différence''? Luce Janin-Devillars > Ce que vous allez créer fera sûrement une différence pour vous. A condition d'accepter que vous ne serez peut-être pas reconnue tout de suite, voire jamais. Ecrire, peindre, devrait d'abord être une occupation personnelle, destinée à vous nourrir et à vous développer et non à recueillir les applaudissements du public. S'ils viennent, ce sera le bonus !
lilou >Bonjour, j'ai 30 ans et je n'arrive pas à m'insérer dans la vie professionnelle...Malgré le fait d'avoir choisi un secteur difficile (créatif) je pense qu'il y a peut être autre chose qui me freine. J'ai toujours basé la réussite de ma vie sur mon épanouissement professionnel et mon indépendance financière, pourtant je me retrouve aujourd'hui dépendante de la personne avec laquelle je vis. peut on se saborder inconsciement et se mettre en écheque face à ses rêves? Luce Janin-Devillars > En choisissant un métier qui vous place en situation de dépendance, au moins dans un premier temps, vous dites ipso facto que vous avez besoin de quelqu'un pour vous soutenir (parents, amis...). Peut-être pourriez-vous simplement accepter la réalité, vous avez quelqu'un qui vous soutient. Profitez-en pur devenir de plus en plus créative !
john >Bonjour, Dans la notion du changement que vous évoquez dans votre livre, quls outils proposez-vous pour "reconstruire" en fonction du "vide" laissé par un changement, et non pas en fonction d'un "manque" où vécu comme tel? Luce Janin-Devillars > Ce que j'appelle le vide provient d'une sorte de poche existentielle liée à notre histoire affective. Le manque lui, est une réponse factuelle à la perte de quelqu'un ou de quelque chose. Malheureusement, l'énergie des deux s'aimante pour nous empêcher d'avancer. En termes d'outils, il est donc utile d'aller d'abord voir du côté du vide.
catlo >bonjour, se réaliser ne tient il pas du fait d'une recherche inconsciente d'etre reconnue ?? merci de votre réponse Luce Janin-Devillars > Nous avons tous besoin de reconnaissance, celle de nos parents, de nos proches, de nos amis, de la personne qui nous aime et que nous aimons. La reconnaissance, c'est ce qui fonde notre identité en tant qu'être humain engagé dans une histoire collective mais aussi en tant que personne singulière, profondément originale.
mela >Bonjour,, j'ai été élevé dans une famille matriarcale ou l'on m'a appris que les femmes étaient faibles et soumises .... je me bas mais à 30 ans je ressens toujours cette pression et ai du mal à y arriver. Comment combattre cette logique familiale?? Luce Janin-Devillars > Je l'ai déjà expliqué, " la carte n'est pas le territoire". Autrement dit, votre carte familiale n'est qu'un tout petit bout du territoire. Vous n'êtes pas obligée d'y rester enfermée.
mam25 >Bonjour, je suis actuellement assistante familiale et je garde à l'heure actuelle un enfant qui a subi un abandonnisme important et à des troubles psychologiques importants( autisme fusionnel ). Par mon travail, on me reproche et me demande comment je fais pour comprendre ce gamin surtout qu'il est malentendant! Mais d'après moi, mes réponsese sont toutes faites et je pense que c'est mon enfance qui revient à la surface et qui va me permettre d'aller beaucoup plus loin dans mes réflexions! en quelque sorte, j'ai l'impression que quand il fait des progrés,c'est moi qui avance et il me donne la possibilité de combattre cette espèce d'envie qui m'a bloqué pendant des années à vouloir aider mes parents et rester à leur chevet sans pouvoir dire un mot une pensée! Dites-moi si cela est vraie qu'en faite à mon âge ( 33 ans) je commence à vivre rien que pour moi et mon mari et de devenir quelqu'un comme moi je l'attend ? Surtout que cela fait un an que j'ai coupé les liens avec mes parents car il voulait prendre le mmonopole et tout gouverner comme à chaque fois ! Merci ! Luce Janin-Devillars > La règle en terme d'accompagnement, quel que sot notre profession, psy, prêtre, assistante maternelle... c'est que ceux que nous accompagnons nous enseigne et nous apportent. Autant que ce que nous faisons pour eux.
anouck >comment prendre conscience de nos atouts qui sont là mais que l'on arrive pas à mettre en pratique, par exemple le fait de rater un examen alors qu'on est tres bien préparer et qu'il n'ya aucune raison que l'on échoue et pourtant ça arrive. en résumé comment au remédier au fait de tout le temps se planter ?? Luce Janin-Devillars > Pour des raisons liées à notre histoire familiale, nous mettons en place des mécanismes d'échecs répétitifs, qui nous empêchent de réussir alors même que nous avons soigneusement préparer notre projet. Ces mécanismes sont adossés à ce que l'on appelle des "scénarios de vie". Il est important de les repérer et de les démonter pour sortir de la spirale de l'échec.
AMIE >Bonjour Luce je suis une fille d'une trentaine. j'ai souvent un feu qui brûle en moi. j'ai envie de réaliser de faire quelque chose d'important avec ma vie. mais malheureusement je me réveille tardivement. je suis souvent en retard dans ma vie. que dois-je faire. Luce Janin-Devillars > essayez de vous arrêter de regarder attentivement ce qui constitue le combustible de votre feu. Idées , émotions, expériences passées, agréables ou désagréables, notez tout. Après quoi, essayez de dégager quelque chose de cohérent et de synthétique à partir de ces matériaux épars.
Luce Janin-Devillars > Ce chat se termine. Désolée de n'avoir pu répondre à tout le monde, vous étiez fort nombreux ! La réalisation, au delà des outils, des chances et des rencontres que nous pouvons faire, passe d'abord par un savoir-être. Car ce que nous sommes, personne ne peut nous l'enlever. Bonne continuation à toutes et à tous !
Aujourd'hui de 15h00 à 17h00 Luce Janin-Devillars Se réaliser
Devenir quelqu'un... Donner un sens à sa vie... Qu'est-ce que cela signifie pour vous, se réaliser ? Y êtes-vous parvenu ? Avez-vous pu identifier ce qui vous bloque ? Ce qui vous freine ? Ce qui vous fait envie ?
Luce Janin-Devillars est psychanalyste et coach, spécialiste du changement. elle répondra à toutes vos questions.
passante >Bonjour, a-t-on forcément besoin de se réaliser? Luce Janin-Devillars > Bonjour à toutes et à tous, Me voici installée pour répondre à vos questions !
A-t-on forcément besoin de se réaliser ? Tout d'abord, que met-on derrière le verbe "se réaliser" ? chacun de nous y introduit des fantasmes et des rêves personnels. Si vous posez la question, c'est peut-être que pour vous, le mot est comme une icône, comme un lieu lointain et inaccessible auquel vous craignez de vous confronter. Mais peut-être êtes-vous seulement en train de nous dire que vous n'avez pas envie de bouger ?
val1713 >comment faire justement pour identifier ce qui me bloque dans la réalisation de mes désirs? je me débrouille toujours pour mes trouver des freins, des motifs pour ne pas aller au bout de ce que j'entreprends, jusqu'à me mettre en panique si j'approche trop prêt du but.. et tout arrêter Luce Janin-Devillars > Quand j'organise des séminaires sur le changement, je demande à chaque participant de me décrire un projet qui lui tient à c�ur. Quand ce projet est décrit, je demande à chacun d'écrire au paper-board d'un côté les freins qui s'opposent à ce projet, de l'autre, les contraintes. Quand on examine les deux colonnes, on s'aperçoit que à 99%, ce qui considéré comme un empêchement au projet relève du frein et non de la contrainte. Exemple : si je veux acheter un château type Versailles avec 100 000 �, je ne peux pas, c'est une contrainte. Mais si avec la même somme, je décide d'investir dans l'achat d'une fermette que je vais transformer en chambres d'hôtes, je peux le faire. sauf si je me dis mon banquier ne voudra jamais, mes enfants vont quitter leurs copains 'écoles, je me demande si je vais réussir... Là, ce sont des freins.
maridala >bonjour, j aimerai savoir quelle est la clé pour se réaliser? comment découvrir ce que l on veut dans la vie, comment s'affirmer? Luce Janin-Devillars > Vous en parlez comme d'une baguette magique ! Ce sont des outils dont vous avez besoin : bilans de compétence, coaching personnel, accompagnement ponctuel par un psychothérapeute... En tous les cas, il faut qu'un tiers, qui a assez de recul, puisse vous aider à faire le tri entre ce qui relève du fantasme et ce qui relève d'une envie dont la réalisation est possible.
Didou >Bonjour, je m'interroge sur le travail comme composant essentiel d'une vie pleinement réalisée. J'ai tendance à croire personnellement que ce qui compte, ce sont les activités en général. Mais on m'a fait remarquer que ce point de vue manquait de maturité. Je travaille pourtant depuis que j'ai 18 ans, et je n'ai jamais trouvé que c'était là ma plus grande source d'épanouissement... Luce Janin-Devillars > Quand les gens qui vous entourent vous disent que vous manquez de maturité, ils s'expriment à partir de leur propre conception du monde. Ce qu'ils croient à propos du travail est juste mais ce n'est juste que pour eux. autrement dit, la carte n'est pas le territoire. La carte, ce sont nos croyances, nos valeurs, nos présupposés, et tout ce qui fait que nous pouvons dire "moi je". Le territoire lui, dépasse largement ce "moi je".
Chanchan >Bonjour, pour ma part, je me connais mieux qu'avant, je sais plus qu'avant ce que je veux et ce que je ne veux pas. Ce que j'ai compris - et ce qui me pose en fin de compte souvent un problème - et que j'attends beaucoup de mon entourage de reconnaissance (un minimum comme merci, comme une réponse à un mail envoyé...). Je pense, sans orgueil, être d'un tempérament ouvert et gentil et je me rends compte que je suis souvent frustrée par l'ingratitude des gens. Voilà mon problème ! Luce Janin-Devillars > Ce que vous appelez l'ingratitude des gens, c'est peut-être la manière qu'ils ont de s'être habitués à ce que vous soyez toujours en train de faire quelque chose pour eux. Avez-vous songé qu'il est tout aussi important de vous nourrir , de vous occuper d vous comme le ferait une bonne mère avec son enfant ? Il est toujours utile aussi quand on s'occupe des autres de le faire en gardant une bonne distance. Celle qui consiste à se dire "si on me remercie, tant mieux, et sinon, je vais me dire merci à moi-même parce que je suis vraiment contente de moi".
pauline >Bonjour, comment savoir distinguer nos vrais désirs profonds pour nous réaliser personnellement des simples envies éphémères qui nous sont inconsciemment dictées par la société, notre éducation, notre entourage amical et familial, notre milieu professionnel? Avez-vous des exercices pratiques à nous proposer afin de mieux cerner ces désirs profonds de réalisation de soi? Luce Janin-Devillars > Inutile de se débarrasser complètement de ses fantasmes et des volitions (les v�ux pieux : je voudrais bien devenir chanteuse, malheureusement, je chante faux). Une fois qu'en face de chacun de vos "v�ux pieux� vous aurez pu associer le très difficile ou le ridicule, supprimez-le. Ne gardez que la ou les envies quo vont se renforcer une fois que vous aurez fait le ménage.
gladou21 >Chère Luce, estimez vous possible de se réaliser ou d'en avoir l'impression, sachant le poids des diktats de notre société à fort héritage judéo-chrétien pliant aujourd'hui sous le joug de l'asservissement aux biens matériels ? plus globalement quelles limites voyez vous à la réalisation de soi ? et enfin, la fin (donner un sens à sa vie, quelqu'il soit) justifie-t-elle les moyens ? merci de votre réponse Luce Janin-Devillars > oui, j'en vois ! Une des rares limites que je vois à la réalisation de soi, ce sont d'abord nous-même et la peur qui nous empêche d'avancer. De très nombreuses personnes vivent dans le même bain socio-culturel que le vôtre et pourtant, ça ne les a pas empêchées de créer un blog, de monter une boîte, ou tout simplement, de faire pousser de très belles plantes sur leur balcon ou dans leur jardin. Quand on n'ose pas se lancer, on dit souvent que c'est à cause de l'extérieur, de l'environnement. Cela s'appelle une projection.
solibo >j'ai 50 ans. Je suis divorcé. Je vis seul. Je suis Lieutenant colonel dans l'armée de l'air. Dans 18 mois compte tenu de mon âge je serai placé à la retraite. Je n'envisage pas de retravailler, ma retraite sera suffisement importante pour vivre bien et comme ça je ne prendrai pas le travaille de quelqu'un d'autre. Malgré cette situation enviable, j'appréhende beaucoup ce moment car je n'ai aucune passion, aucun violon d'ingre, aucune envie. Je crains de m'enfermer dans une solitude aigre de m'ennuyer mortellement. J'ai peur de ce futur. Luce Janin-Devillars > Si je comprends bien, en dehors de vos activités militaires, c'est-à-dire aussi professionnelles, vous ne vous êtes intéressé à aucune autre chose. Du coup, une fois que vous allez être obligé de ranger ce territoire dans un tiroir, vous serez complètement démuni. J'ai l'impression que vous prenez le mot retraite au pied de la lettre. Comme s'il s'agissait de vous mettre en arrière ou de côté. Comme si vous n'aviez plus d'existence dans le monde. Mon ordonnance : cherchez en urgence tout ce qui peut vous intéresser, voyages, amour, bénévolat... Bref, allez à la rencontre du monde et des autres.
bambou >bonjour, est ce que se realiser doit signifier devenir egoiste ,j'ai 3 enfants que j'eleve seule et le choix est difficile entre ce que j'ai envie de faire comme boulot et le temps que je dois leur accorder?Est ce je regretterais ce sacrifice!Je pense que oui! Luce Janin-Devillars > Le grand poète libanais Kahlil Gibran dit que nos enfants ne sont pas nos enfants mais qu'ils sont le souffle de la vie qui passent à travers nous. De sorte qu'en les mettant au monde, nous avons un devoir principal qui est de les conduire vers l'autonomie. Pour y réussir, il est nécessaire que nous aussi, nous soyons nourris dans nos envies et nos projets. Ce n'est pas être égoïste mais pragmatique.
Melanie >Depuis un accident tout bête je souffre d'atroces problèmes de jambes et de dos et suis constamment à l'hôpital ou chez moi.Je ne peux plus travailler,j'ai 32 anset je culpabilise beaucoup.Je me sens bloquée et ne sais plus quelle voie prendre.je suis suivie depuis des années,mais pour moi l'apparence (avoir un travail donc exister socialement) conpte plus que l'être et j'ai beaucoup de mal à me voir comme quelqu'un de valeur .Comment réussir à me dire que le repos de mon corps n'a rien de culpabilisant et que je peux m'épanouir sans pour autant croire que les autres pensent de moi que je suis une fainéante (j'aime écrire ,lire,apprendre des langues mais je ne me l'autorise plus,je fais seulement les ouvrages dit ménagers qui bien sûr me prennent 10 fois plus de temps et je ne me repose en fait jamais.Je crois que je suis en train de tout faire pour encore plus me casser ! Merci de votre aide Luce Janin-Devillars > Vous êtes entrain de dire que chaque personne qui travail est son travail. Et seulement son travail. Que chaque personne qui exerce un ministère religieux ou politique est ce ministère et rien d'autre. En réalité, ce ne sont que des costumes que nous empruntons quelques heures par jour. Quand ce costume est ôté, nous pouvons en mettre un autre : amatrice de lecture, téléphile, passionné de musique... Un penseur américain du 18, Emmett Fox disait �Nous sommes ce que nous pensons�
titine >Bonjour,je voudrai amener un mesage d'espoir : voilà, j'ai 50 ans et j'ai l'impression que je viens juste de me réaliser en ce sens que maintenant je me sens libre de mes choix alors qu'avant je pensais que j'avais besoin de l'accord de mon époux pour décider ce que je devais faire dans n'importe quelle sitaution ; en fait, c'était l'idée que je me faisais du couple qui était totalement fauusse ; je pensais que vu qu'on était marié, on devait faire les mêmes choses, penser la même chose ... et un journ suite à une série d'événements, j'ai décidé d'avoir mes propres activités ; et surprise, mon mari m'a dit qu'il attendait ceci depuis longtemps et il est très heureux de me voir comme ça ; voilà, je me sens très épanoui maintenat et nous formons toujours un couple très uni et peut-être encore plus !!!je pense que je me suis réalisé enfin !! Luce Janin-Devillars > Merci titine pour ce merveilleux message d'epsoir !
lolita >J'ai toujours eu envie de faire un tour du monde, mais un frein, c'est que j'ai peur de le faire seule. J'aimerai être en couple pour partager cela à 2, mais pour l'instant je suis célibataire.... En arrière-plan, il y a aussi le frein financier: aurai-je assez d'argent et suis-je capable de dépenser de l'argent juste pour voyager pendant quelques mois? puis-je lâcher-prise?... Donc vous voyez, beaucoup de freins, mais en parallèle cette envie et cette frustration qui perdurent au fur et à mesure que les années passent... Luce Janin-Devillars > Au moins lolita, vous savez reconnaître dans les empêchements que vous décrivez, des freins et seulement des freins. Comme ce ne sont pas des contraintes, c'est-à-dire des impossibilités absolues, prenez-les une par une et répondez-y par une proposition positive. "Je peux faire le tour du monde toute seule. Je suis capable de gérer mon budget. Je préfère réaliser mon rêve aujourd'hui et non après-demain.�
jojo >une petite pensée à partager avec ceux qui demande quoi faire face aux obligations, us et cotumes de la société : ce n'est que dans l'individualité que l'ont peut faire avancer les choses et être sois-même, pas en demandant la bénédiction de qui que c soit. Merci Luce Janin-Devillars > Sauf à s'engager dans l'érémitisme, c'est-à-dire vivre seul, replié dans un e grotte, on a à la fois besoin de ses propres forces et de l'énergie du groupe pour réaliser nombre de ses projets. il y a un juste équilibre entre le "je me suis fait toute seule" "je n'ai rien demandé à personne" et "je passe mon temps à demander leur avis aux autres".
blesse_bird >dites moi le secret. Comment se realiser apres tant de pertes. Comment donner un sens a sa vie quand on vien de si loin, quand, malgre tant de defaite on trouve toujours une force de se relever(et qu'est ce qui arrive quand,Apres s'etre vider de toutes sorte de confiance envers tout le monde et soit meme? Comment se reconnaitre et connaitre ses besoins? comment redonner un sens, une chance ou une valeur a sa VIE? Luce Janin-Devillars > Le secret, c'est de sortir de la macération qui consiste à remâcher tus les traumatismes, toutes les difficultés que l'on a rencontrés en les portant comme s'il s'agissait d'une couronne royale. En réalité, c'est une couronne d'épines qui paru un jeu de miroir, ramène vers vous de nouvelles difficultés.
nathatil >Je voudrais juste partager avec vous ce que je viens de vivre: je viens de rentrer d'une grève sur mon lieu de travail. Pour la plupart, c'était notre première grève. Je travaille ds un établissement de santé, avec environ 500 salariés. Il y a quelques jours, la direction a dénoncé un accord concernant une prime de fin d'année équivalent un treizième mois. Devant l'agitation grandissante, elle a provoqué plusieurs réunions qui nous ont conduit à avoir envie de faire grève pour garder nos acquis .Nombreux étaient ceux qui avaient très peur, de perdre une journée de travail, ou d'être mal vu . Finalement, nous avons été très largement majoritaire à faire grève et d'autres ont été réquisitionnés pour les patients .La direction a reçu une délégation pendant deux heures et demi. Au résultat, nous obtenons le maitien de notre pouvoir d'achat ( qui aurait été amputé de 8%), et des garanties de négociations jusqu'en 2012. La direction , et nous même, avons pris conscience de notre force grâce à l'union et de notre valeur au sein de notre établissement. Nous n'aurons plus peur d'affronter nos dirigeants et sommes très fiers d'avoir été tous ensemble pour lutter. C'était très éprouvant, mais infiniment gratifiant pour tous . Luce Janin-Devillars > Merci pour ce témoignage de solidarité !
nath >Ne pensez-vous pas qu'être parent et avoir une vie bien "cadrée" freine voire nous empêche de nous réaliser complètement? Luce Janin-Devillars > Les enfants nous empêchent de nous réaliser pleinement quand, de façon plus ou moins consciente, nous en avons fait Le projet de notre vie. Or, les enfants sont là aussi pour nous aider à grandir, à accepter leur autonomie et un jour, leur inévitable éloignement. En attendant, nous avons des choses à partager ensemble, à condition que, comme parents, nous ayons quelque chose à partager.
nath >Ne faut-il pas toute une vie pour se réaliser et quand on y parvient, cela ne signifie-t-il pas "la fin"? Luce Janin-Devillars > En réalité, à chaque fois que nous réalisons quelques chose, le but que nous avons atteint nous satisfait. Et nous laisse, au bout d'un certain temps, comme un sentiment d'incomplétude. Lao Tseu dit "quand vous êtes arrivés au sommet de la montagne, vous êtes bien obligé de redescendre... Et de recommencer autre chose�.
valou >Bonjour, je suis informaticienne et travaille depuis 10 ans dans la même entreprise. Ce travail ne m'a jamais vraiment intéressé, je le trouve déshumanisant et très peu en accord avec mes aspirations et ma façon de voir la vie ce qui me déstabilise de plus en plus. Ma vie amoureuse est également liée à ma vie professionnelle et suite à une rupture très douloureuse qui a entraîné une dépression, le désir de penser à moi et d'enfin me réaliser est devenu très fort. J'ai toujours eu le désir de m'occuper des autres et des enfants en particulier et j'ai décidé de préparer le concours d'entrèe à l'école d'auxiliaire de puériculture. Je sais que fuir mon collègue-ex-amant est un aussi gros facteur dans cette prise de décision. Est-ce qu'une aussi mauvaise raison, peut malgré tout me permettre de me réaliser ? Luce Janin-Devillars > Ce que vous appelez "une aussi mauvaise raison" constitue pour vous un moteur de transformation au service de votre rêve. Voilà la meilleure des raisons qui vaille.
Votre question "Comment arriver à faire sauter bos propres verroux pour se réaliser? A qui s'adresser?" a ete transmise à l'invité boreale49 >je suis aurore 29ans , depuis des années je reproduit des shemas repetetifs( maladies petits amis) comment faire pour y remedier!! je suis epuisée... cela depend de ma santé merci Luce Janin-Devillars > Chacun de nous est engagé dans ce que l'analyse transactionnelle appelle des "scénarios" de vie. Ces scénarios sont reliés à notre histoire infantile mais aussi à notre psycho-généalogie, c'est-à-dire à des histoires et à des comportements portés par nos ascendants. Pour ne sortir, il faut démonter cette sorte de puzzle et le reconstruire d'une manière singulière, qui ne soit, globalement, que la vôtre.
Plume >Jojo, je ne suis pas pour l'individualisme, je le trouve dangereux. Par contre pour une acceptation de ce que l'on est aussi imparfait que l'on soit, oui. Cela pourrait être un des sens de la vie... Luce Janin-Devillars > Et j'ajouterai : le meilleur moyen pour se comprendre car avant de se transformer, il est important de savoir qui l'on est.
labo92 >Bonjour - Justement est-ce une projection ? Après un licenciement (cela fait maintenant 3 ans), j'ai souhaité m'installer comme sophro-relaxolgue (j'avais enfin trouver le moyen de me réaliser après toutes ces années de travail sur moi-même mais voilà je vis seule, dans un studio et ai retrouvé un job qui me permet tout juste de boucler mes fins de mois. Malgré toute l'énergie déployée pour réaliser ce "rêve, j'ai été freinée financièrement. Ma petite victoire : avoir décroché (après des centaines de candidatures envoyées dans diverses associations) un poste d'animatrice une 1 heure par semaine. Je n'hésite à faire 2 heures de trajet le soir après mon travail pour donner mon cours. Je pensais, à travers ces cours, pouvoir développer mon activité mais non. J'ai un bon retour de "mon groupe" mais ne pas pouvoir aller plus loin renforce cette frustration qui est en moi..Qu'en pensez-vous et quels conseils pouvez-vous me donner. Merci par avance (je sais que vous n'êtes pas magicienne!) Luce Janin-Devillars > Toutes les professions du soin nécessitent non seulement une formation initiale approfondie mais aussi dans un premier temps, la possibilité de s'appuyer sur un "matelas" économique afin de pouvoir tenir en attendant des patients. En outre, la proposition de loi Accoyer destiné à faire le ménage dans des professions d'aide s'oriente vers la nécessité d'une formation universitaire.
tchikoon >il faut , je pense, garder un équilibre pour être soi; savoir écouter son intérieur profond, et vivre au travers du regard des autres, pour s'identifier au milieu de ses semblables. Qu'en pensez-vous? Luce Janin-Devillars > Il ne s'agit pas de vivre a au travers du regard des autres mais d'accepter de reconnaître qu'ils existent afin de partager et de communiquer.
monamilechat >De mon côté, je ne sais pas encore si j'y suis parvenue mais, chose certaine, j'ai constaté que déjà de s'adapter aux changements, non seulement d'en prendre son parti mais de profiter de l'expérience, ça donne des ailes. Je pensais que ma vie serait fini après mon divorce mais d'autres portes se sont ouvertes et ç'a été merveilleux, là j'ai perdu mon emploi en octobre et par hasard, on m'a demandé d'écrire un concept de télévision et, à ma grande surprise, ça marche !!! Jamais je n'aurais imaginer faire ça dans la vie, je n'ai pas d'idéal comme tel mais c'est comme s'il se pointait tout seul, au fil de mes déboires. Est-ce de la chance dans ma malchance ? Un ange sur mon épaule ? Ou juste une ouverture aux opportunités qui se présentent immanquablement ? Luce Janin-Devillars > merci monamilechat ! Vous êtes en train de nous dire qu'en étant suffisamment ouvert aux chants du monde, en étant pas fixé sur ses déboires, ni sur des objectifs absolus, on peut faire des rencontres importantes qui vont orienter notre vie.
mariza >Se réaliser c'est prendre les risques de vivre selon nos propres aspirations et en payer le prix ? Luce Janin-Devillars > Vous êtes en train de me dire que se réaliser est une faute et même une faute grave, comme dans les licenciements, et que du coup, le prix à payer, ce sera l'échec. Mais précisément, se réaliser est une dynamique profondément humaine qui ne donne lieu à aucune punition.
roseetoile >j ai un mal fou a ne as dire ce que je pense comment se realiser en etant hypocrite cela me parait impossible mais a quel prix parfois......merci Luce Janin-Devillars > Ce que vous appelez hypocrisie, c'est l'absence de limites, de cadres, comme les petits enfants quand ils découvrent qu'il existe des gros mots. Vivre dans le monde, avec les autres, c'est faire des concessions, accepter ceux qui ne nous ressemblent pas, admettre qu'il existe des opinions différentes des nôtres et ne pas toujours le faire savoir.
franckyz >Bonjour (bis), J'ai terminé une formation (architecture d'intérieur) il y a 6 mois, mais ne cherche pas de boulots dans ce domaine ni dans un autre non plus.. En 20 ans de vie professionnelle, mises bout à bout, mes expériences professionnelles atteignent à peine les 5 ans... Je ne me suis jamais invesit professionnellement, ni personnellement, puisque mes "projets" personnels, artistiques sont aussi restés au stade de projets... Là encore, les freins sont semble-t-il plus importants qe les contrintes. Aujour'd'hui, au rmi, ma situation me fait souffrir, mais si je ne cherche pas plus à en sortir, c'est qu'elle doit me convenir àc certains égards... comment retrouver l'énergie, l'envie de faire, de dépasser cette condition médiocre? Luce Janin-Devillars > Je ne sais pas si vous avez déjà fait une psychothérapie, mais il me semble que, pour être certaine que vous n'avez absolument envie de rien faire, il serait bon de prendre du recul su
Voici, au bénéfice des lecteurs, la transcription de l’entrevue vidéo avec Dre Marie-France Hirigoyen.
PasseportSanté.net – À quoi reconnaît-on le harcèlement moral - ou psychologique - au travail?
Dre Marie-France Hirigoyen - Le harcèlement, ce sont des agissements, des propos qui portent atteinte à la santé psychologique ou physique des personnes, qui portent atteinte à leur dignité et qui mettent en péril leur emploi. Pour que l’on parle de harcèlement moral, il faut que ce soit dans la répétition. Je sais qu’au Québec, la loi qui a été adoptée dit bien qu’un seul agissement peut constituer du harcèlement moral. En France et en Belgique, là-dessus, on est très vigilant, on pense que ça ne peut pas l’être. D’une façon générale, ce sont des agissements très insidieux, qui sont donc difficiles à repérer de la part de l’entourage, mais aussi de la part de la victime elle-même qui n’est pas très sûre de ce qui lui arrive.
PasseportSanté.net – On peut donc critiquer une personne sans la harceler pour autant…
Dre Marie-France Hirigoyen – Dans le harcèlement moral, on ne vise pas le travail d’une personne, mais on vise la personne elle-même. C’est-à-dire qu’on se sert du travail pour disqualifier personnellement une personne. Quand on fait un reproche à quelqu’un, parce que la personne ne travaille pas, et que l’on argumente sur pourquoi, on fait des critiques sur un travail parce qu’il y a ceci ou cela qui ne va pas, on n’est pas du tout dans le harcèlement moral, même si ça peut aller jusqu’au licenciement de la personne pour incompétence. Le harcèlement, ça vise à critiquer une personne elle-même. C’est-à-dire, au lieu de dire « ce travail n’est pas bien fait, je vais t’expliquer pourquoi ce n’est pas bien fait », on te dit « mais tu te sentais nul, tu n’es qu’un bon à rien, on ne veut plus de toi, tu ne nous intéresses pas, regarde, etc. », c’est-à-dire qu’on attaque LA personne. Je pense que ça, ça fait la différence. J’ai déjà entendu des managers dire : « Mais comment voulez-vous qu’on fasse pour sanctionner quelqu’un qui ne travaille pas, pour faire des reproches à quelqu’un qui ne travaille pas si on risque de se retrouver accusés d’être des harceleurs. » Moi je leur dis chaque fois que s’ils argumentent leurs reproches, ils n’ont aucun risque de se faire attaquer, mais que justement la loi sur le harcèlement moral va les amener à être beaucoup plus précis dans leur façon de diriger les personnes.
PasseportSanté.net – Quelles sont les conséquences du harcèlement moral sur la santé de la victime?
Dre Marie-France Hirigoyen – Quand on est victime de harcèlement moral, on va mal. Les premiers signes c’est de la tension, de l’irritabilité, on peut se remettre à fumer, à boire pour essayer de se détendre. Ça a souvent des conséquences sur la vie privée, sur la famille, sur les enfants, et ce qui est frappant, c’est que les premiers signes sont souvent des signes psychosomatiques. C’est-à-dire qu’avant même que la personne prenne conscience qu’il y a quelque chose qui ne va pas, elle se retrouve avec des troubles : des maux de tête, des maux de ventre, de l’eczéma, de l’hypertension, tout un tas de choses.
J’ai eu plusieurs cas de personnes qui, entre le moment où les troubles ont commencé et le moment où ça a été reconnu, des femmes ont développé un cancer du sein galopant. J’ai eu plusieurs cas où on avait la preuve qu’avant il n’y avait aucun signe, puisqu’elles avaient eu un bilan, et disons un an à deux ans après, elles se retrouvaient en chimiothérapie et en chirurgie pour cancer du sein. Ça ne veut pas dire que c’est ça directement qui a provoqué le cancer du sein! Ça veut dire que potentiellement elle l’avait, mais que, à partir du moment où elles ont été harcelées, toutes leurs défenses immunitaires sont tombées et elles ne se sont plus défendues, je dirais, contre la maladie et elles ont développé ces maladies. Alors on voit aussi, comme conséquences du harcèlement moral, des états dépressifs, qui peuvent être des états dépressifs graves, et des suicides.
PasseportSanté.net – Peut-il y avoir des conséquences à long terme?
Dre Marie-France Hirigoyen – À la différence du stress où quand la situation de stress s’arrête, on va mieux, on récupère progressivement et on va mieux, avec le harcèlement moral, il y a des conséquences à long terme du registre du stress post-traumatique. Mon hypothèse vient que ce qui est le plus marquant dans les situations de harcèlement moral, c’est la partie humiliation. Dans le harcèlement moral, on attaque le travail, on isole la personne, mais aussi on la disqualifie, on l’humilie. Et je crois que les paroles disqualifiantes ou humiliantes, c’est quelque chose qui ne s’efface pas et qui vont, après, être ressassées quelquefois même toute une vie. Et donc une psychothérapie avec des personnes qui ont été victimes de harcèlement moral, ça peut prendre très longtemps, parce que justement il faut décrocher de toute cette partie d’humiliation.
PasseportSanté.net – Est-il possible de guérir des souffrances infligées par le harcèlement?
Dre Marie-France Hirigoyen – Quand on a été victime de harcèlement, il y a des personnes qui n’arrivent pas à s’en remettre et qui vont rester d’éternelles… qui vont rester éternellement dans une position de victime. Mais à côté de ça, il y a des personnes pour qui ça a été une sorte de coup de fouet pour savoir ce qu’est l’essentiel de leur vie. J’ai vu des personnes qui ont réagi, qui ont été transformées, mais qui du coup, ont été transformées en mieux, je dirais, parce que ça a été comme un révélateur de ce qui était essentiel. Pour aller mieux, je crois qu’on a besoin d’aide, on a besoin d’une aide juridique qui permet de savoir où on peut aller, on a besoin d’une aide psychologique, ce qui peut être une occasion de faire le bilan de sa vie.
Je crois qu’il y a un point sur lequel j’ai changé ma position depuis que j’ai travaillé sur ce sujet, c’est l’importance d’une reconnaissance par la justice. Ce que j’ai constaté… au départ je pensais que c’était extrêmement important que ce soit reconnu par la justice. Mais j’ai vu des cas où ce n’est pas possible que ce soit reconnu par la justice parce qu’on n’a pas de preuve. J’ai vu aussi des cas, en particulier dans les administrations publiques où c’est très long pour aller au tribunal administratif, j’ai vu des cas où le fait d’attendre un jugement qui est complètement aléatoire, ça venait aggraver les troubles que la personne pouvait avoir. Et je crois que l’essentiel n’est pas tellement que ce soit reconnu par la justice, l’essentiel c’est que ce soit reconnu par la victime et par son entourage comme étant quelque chose qui n’est pas normal; et que la personne ait accepté qu’elle ne pourrait pas tout régler. Ce travail qui est un travail, je dirais, d’acceptation : « OK, ce que j’ai vécu, ce n’est pas normal, ce n’est pas moi qui suis fou ou qui suis folle, c’est une situation qui est injuste, mais je n’y peux rien. Que ce soit reconnu ou pas en justice, ce n’est pas si grave. C’est important, mais ce n’est pas l’essentiel. L’essentiel c’est que, moi, maintenant, je passe à autre chose. »
PasseportSanté.net – Quitter son emploi peut-il être une solution salvatrice?
Dre Marie-France Hirigoyen – Il y a des cas où je dis aux personnes qu’il vaut mieux qu’elles partent plutôt que de rester dans une situation malsaine. Mais ce n’est pas toujours possible parce qu’on peut partir quand on est sûr de retrouver un autre travail. Alors quand on ne peut pas partir, il faut essayer d’abord des solutions à l’amiable, ensuite si on ne peut pas essayer de se faire aider, si possible en interne au niveau de la hiérarchie, ce qui est possible grâce à la loi, et puis n’aller en justice je dirais que, vraiment, dernière solution.
PasseportSanté.net – Le harcèlement moral est-il fréquent dans les milieux de travail?
Dre Marie-France Hirigoyen - Le harcèlement est beaucoup plus répandu qu’on pourrait le penser; on l’évalue, suivant le questionnaire, suivant la définition qu’on en donne, et elle n’est pas exactement la même suivant les pays, on l’évalue entre 5 % et 9 % des personnes au travail. Ce qui est quand même beaucoup. Alors, la difficulté, c’est qu’avant qu’il y ait du harcèlement proprement dit, il y a une dérive qui se met en place avec de la disqualification, avec une personne que l’on met progressivement de côté, avec quelque chose qui n’est pas encore à proprement parlé du harcèlement, mais qui est quand même quelque chose qui commence à déraper. Le problème c’est que quand on est dans le harcèlement moral, on n’a pas pour autant, ce n’est pas pour autant facile d’établir des preuves de ce qui se passe. C’est-à-dire qu’il y a des cas où on peut considérer que c’est du harcèlement moral, mais il n’y a pas de moyen de le prouver. Donc, c’est vraiment la difficulté d’un sujet qui est très subtil.
PasseportSanté.net – Comment prévenir le harcèlement moral au travail?
Dre Marie-France Hirigoyen – Je ne pense pas qu’on puisse éliminer le harcèlement, ça a toujours existé et ça continuera d’exister; il y aura toujours des personnes qui utiliseront les autres, manipuleront, certainement. Par contre, je crois qu’il y a une vigilance très grande à avoir par rapport au monde du travail, et je pense que la vraie solution, selon moi, elle n’est ni juridique, ni politique maintenant qu’il y a une loi, mais beaucoup plus au niveau de l’éducation. La loi française et la loi belge obligent les dirigeants à mettre en place des plans de prévention. Je vois la difficulté qu’ont les dirigeants à faire cela, parce qu’on ne leur a pas appris cela. Dans les écoles de commerce, on leur apprend à être dans la rentabilité, l’efficacité, les nouvelles méthodes, comme ci, comme ça; je crois que maintenant, il faut éduquer les managers à aussi faire une prévention par le respect des personnes en tenant compte du changement des personnes qui sont liés à la société dans laquelle on est. C’est-à-dire que les personnes qui sont maintenant dans le monde du travail ont des vulnérabilités qui ne sont pas les mêmes qu’il y a 30 ans ou 40 ans. Donc, je crois que ces changements-là, ce sont des messages à faire passer, des formations à faire; c’est clair qu’il y a encore beaucoup à faire parce qu’il y de la réticence de la part d’un certain nombre de dirigeants qui ont l’impression que les personnes sont fragiles, qu’on perd son temps, on met du psy partout, et donc là, je crois qu’il y a vraiment un effort d’éducation à faire.
PasseportSanté.net – Le harcèlement est-il davantage exercé par les patrons ou par les collègues?
Dre Marie-France Hirigoyen – Le harcèlement, ça va dans tous les sens. Le plus fréquent, contrairement à ce que l’on peut penser, ce n’est pas forcément d’un supérieur hiérarchique sur un subordonné, c’est aussi entre collègues, dans ce cas-là, le moteur est souvent la rivalité et la jalousie. Ça vient aussi d’un supérieur hiérarchique, ou plus directement, c’est rarement la direction générale directement, mais plutôt le management intermédiaire qui pratique du harcèlement. Et puis, on voit aussi des cas de harcèlement que l’on pourrait qualifier de remontant où, par exemple, une équipe refuse un supérieur hiérarchique qu’on leur impose et s’arrange pour se débarrasser du supérieur hiérarchique. Le problème c’est que quelque soit le mode de fonctionnement du harcèlement, d’où que ça vienne, si on laisse évoluer des situations de harcèlement moral, au bout d’un moment, ça devient mixte. C’est-à-dire que tout le monde se ligue contre la victime, parce que d’une part on attaque sa réputation et l’entourage se dit ben il doit bien y avoir quelque chose qui est vrai, et puis d’autre part, quand on est victime de harcèlement moral, on va mal, on est déstabilisé, donc on devient moins productif, on devient moins agréable, on devient quelquefois déprimé, grincheux, et donc au bout d’un moment, tout le monde est contre cette personne. C’est pour ça qu’il faut faire très attention.
Mais je ferais aussi une autre distinction, c’est qu’il y a du harcèlement qui peut venir d’une personne sur une autre pour des raisons qui sont entre elles, je dirais, mais il y a aussi du harcèlement que l’on pourrait qualifier de harcèlement institutionnel, qui consiste à… ça peut être une sorte de stratégie de la part d’une direction pour se débarrasser de quelqu’un qui pose problème. Par exemple, j’ai entendu des dirigeants dire : « comment voulez-vous qu’on fasse si on ne peut pas harceler quelqu’un qui est un travailleur protégé, par exemple un syndicaliste qui ne travaille pas, dont on ne veut plus, mais comme il est protégé on ne peut rien faire, alors on essaie de le casser ». Ça je crois que c’est vraiment quelque chose qui est conscient et délibéré alors que tous les faits du harcèlement moral ne sont pas aussi conscients, mais sont beaucoup plus une façon de réagir pour se débarrasser de quelqu’un qui gêne.
PasseportSanté.net – En quoi l’organisation du travail, aujourd’hui, encourage-t-elle ce phénomène?
Dre Marie-France Hirigoyen – Très clairement, s’il y a plus de harcèlement moral actuellement, c’est une des conséquences du changement de management. Il y a effectivement moins de direction de dirigistes, avec des hiérarchies pyramidales, mais beaucoup plus des hiérarchies en réseaux et une responsabilisation des personnes, une individualisation des tâches et tout ça va faire qu’on met aussi beaucoup plus la pression sur les personnes, et tout ça va faire qu’il y a des risques de dérives. C’est vrai que quand il y a… quand on est dans des situations de stress important, stresser les personnes ce n’est pas les harceler, mais le stress peut faire le lit du harcèlement parce que, du coup, on est un peu déstabilisé, on perd ses repères, on met la pression sur les autres, on est parfois angoissé, on peut transmettre son angoisse à ses subordonnés, et il y a très clairement des dérives et aussi par rapport à tout ça, pendant que cette situation de stress se maintient, des individus qui ont un fonctionnement pervers peuvent en profiter pour manipuler les personnes et je crois que ce management où on insiste tellement sur le résultat… le résultat qui est quelquefois… on ne veut pas savoir comment vous parvenez à ça, mais il nous faut ça. D’une certaine façon, ça légitime des dérapages du registre du harcèlement moral.
Donc je crois que c’est très directement lié à ce management nouveau, mais ce que je crois aussi, c’est qu’il nous faut, nous spécialistes du sujet, éduquer les chefs d’entreprises et les dirigeants pour leur apprendre à avoir un management plus sain, avec plus de respect des personnes.
Les conseils de Dre Marie-France Hirigoyen : que faire lorsque…
un patron vous humilie devant les autres collègues?
Quand un patron vous humilie devant les autres, je crois qu’il est essentiel de lui pointer, de dire : « Vous ne me parlez pas comme ça, je n’accepte pas », et au besoin le faire avec un témoin.
les collègues sont montés contre vous?
Si des collègues sont montés, il faut aussi se poser la question : « Pourquoi? En quoi je les dérange? » Et à partir de là, toujours demander une explication. On ne peut pas se poser en victime de harcèlement moral si on n’a pas au moins, au départ, essayé de régler la chose directement.
votre employeur minimise l’ampleur du harcèlement dont vous vous dites victime?
Un employeur va presque toujours minimiser parce qu’il va se demander si on n’exagère pas, alors je crois qu’il faut accumuler des éléments de preuves, en parler, se faire soutenir par quelqu’un d’une autre hiérarchie et, éventuellement, prendre conseil à l’extérieur.
Propos transcrits par Marie-Claude Labrie – PasseportSanté.net
Le 20 octobre 2008
Mon problème d’obésité a commencé dès mon très jeune âge. J’étais la seule enfant avec un problème de poids, on est à ce moment dans les années 1980. Au primaire, j'étais souvent la risée des garçons qui me criaient des noms, car j'étais différente des autres. Mon réflexe : ne rien faire et surtout ne rien dire, mon but n’était pas d’attirer l’attention des autres, mais bien de me fondre dans la masse.
À cette époque, je me souviens que je mangeais quand même beaucoup, et souvent plus d’une portion aux repas, et j’aimais bien le chocolat et les gâteaux. Mais je bougeais quand même avec mes amis : tennis, vélo, ski ou patin. Bref, nous étions quand même toujours dehors à nous occuper.
Les années qui ont suivi au secondaire ne furent pas plus heureuses. Je me contentais d'étudier fort, mais je n’avais aucune vie sociale et pas d’amis non plus. Je n’allais pas vers les autres. Je me disais que je n’étais pas le genre de personne qui était intéressante. Je ressentais toujours une grande peur de déranger.
Pendant toutes ces années, mon poids n’a pas cessé d’augmenter. J’ai assez bien passé à travers mon cégep. J’avais des amis, mais je ne participais jamais à la vie étudiante, toujours de peur que mon poids me fasse perdre la face devant tout le monde. Ensuite, je suis allée à l’université. La première année fut dans la suite des choses. Je prenais l’autobus plus tôt pour être certaine de ne pas avoir à prendre un siège où je serais serrée avec quelqu’un à côté de moi. Je ne participais pas aux soirées de mon programme d'étude et je me suis même empêchée de faire des voyages organisés.
La réflexion
L’été qui a suivi ma première année d’université en fut un de grande réflexion. J'ai pris ma décision, j’en avais assez de mon problème de poids. Je voulais vivre comme une personne de 20 ans et non de 50 ans, profiter de ma jeunesse, faire du sport comme je le faisais plus jeune, pouvoir sortir avec mes amies les soirs de week-end... Je voulais également un jour avoir une personne dans ma vie. Encore là, un problème de poids n’est rien pour aider à se trouver un copain... L’image est souvent la première barrière pour connaître une personne. Et surtout, je voyais la fin de mon baccalauréat et je ne me voyais pas chercher un emploi avec ce problème de poids. Je me voyais déjà discriminée, comparativement à une autre personne normale, surtout en me dirigeant vers les agences de publicité.
J’avais décidé que dès la première semaine du mois de septembre, avec le retour à la routine, je commencerais un régime. Je me suis inscrite à des rencontres et des pesées hebdomadaires. Je pesais alors 295 livres, je portais la grandeur 26 ou du 4XL, et si les vêtements que je voulais ne me faisaient pas, je les fabriquais moi-même. Je devais maintenant suivre une nouvelle manière de manger. Pour les exercices, je me restreignais à la marche seulement, car mon poids m’empêchait de faire les sports que j’aimais réellement, et la gêne m’empêchait d’aller à la piscine ou au gym.
Ça baisse!
Dès la première semaine, j’ai perdu 10 livres! Ce fut un encouragement énorme pour moi, c’était la première fois que je perdais du poids. J’étais de plus en plus motivée à continuer. De semaine en semaine, je perdais toujours de deux à cinq livres. Mon corps répondait très bien, car jamais je n’avais essayé de perdre du poids dans ma vie. En décembre, j’avais déjà perdu 60 livres. J’étais, à ce moment-là, sur un nuage. C’était aussi mon premier magasinage pour changer ma garde-robe, car plus rien de me faisait.
Après les Fêtes, j’ai commencé à aller faire de la natation. J’y allais cinq fois par semaine, mon but étant de faire un peu plus de sport et de muscler mon corps. J’étais également moins gênée de me promener en maillot de bain devant tout le monde. J’ai continué cette routine jusqu’au printemps. À ce moment, soit neuf mois plus tard, j’avais enfin atteint mon but, soit 125 livres de perdus. Je pesais désormais 170 livres avec une grandeur de 5 pieds 8. C’était magnifique, j’étais tellement fière de moi et, à ce moment-là, c’était plus facile pour moi de sourire à la vie. J’ai par la suite suivi un programme de maintien de poids pour pouvoir manger un peu plus ce que je voulais.
La stabilité
Une fois tous ces efforts terminés, je devais maintenant affronter la vie et je n’avais qu’une idée en tête : ne plus jamais reprendre ce poids. Comme on sait, un grand pourcentage de gens reprend le poids perdu et plus, dans les premières années qui suivent. À ce moment, je vivais enfin comme une personne normale, je ne sentais plus le regard sur moi, ni le jugement des autres. J’avais également une vie sociale beaucoup plus active qu’auparavant. J’ai eu aussi comme réaction de faire plusieurs sports : j’étais inscrite dans une ligue de tennis; je faisais du patin à roues alignées et du vélo, et je m’étais inscrite à un gym pour pouvoir m’entraîner et me raffermir le plus possible. Tous les jours, je faisais une activité physique et même souvent deux activités par jour.
Le vrai combat
Depuis, maintenant 10 ans que je me maintiens, et j’en suis très fière. Mais il faut travailler fort pour pouvoir garder son poids. Je m’entraîne, je joue au tennis, je nage, et ce, plusieurs fois par semaine. Je joue également au volley-ball et, selon la saison, j’ajoute le golf ou le ski alpin. Je me dois de faire de l’exercice, sinon je me sens mal. L’activité physique doit devenir un mode de vie et être intégrée à la routine quotidienne pour pouvoir garder la forme; et elle devient un besoin plus qu’une tâche. Il faut toujours être plein de volonté pour ne pas arrêter, car ce serait tellement plus facile de rester tranquille à ne rien faire.
Même si je peux manger tout ce que je veux, j’ai toujours en tête les portions et les aliments que je dois manger par jour. Et si je vois que je suis en train de prendre quelques livres, je me reprends tout de suite en main. Cela m’aide à garder le contrôle. Je sais qu’en ne faisant plus attention et en arrêtant l’exercice, je pourrais reprendre des livres très facilement. Ce sera un combat pour le restant de ma vie.
La seule chose que j’ai trouvée difficile par la suite est que, malgré toutes les années d’efforts à l’entraînement, les marques de cet excès de poids restent sur le corps. J’ai trouvé difficile de continuer à traîner cette image avec moi. J’avais décidé de faire disparaître ce poids, mais je le voyais quand même toujours quand je me regardais devant le miroir. Ces excédents de peau m’ont causé des problèmes cutanés. J'ai donc dû entreprendre des démarches médicales pour pouvoir régler ce nouveau problème.
Le côté psychologique est difficile à changer contrairement au physique. On dirait que notre cerveau a besoin de plus de temps pour faire ce changement aussi. Mon dernier combat a été de faire disparaître toutes ces marques pour enfin me sentir tellement bien avec moi-même.
Pour qu’un programme de perte de poids fonctionne parfaitement, il faut avant tout être prêt et déterminé pour résister aux tentations que nous pouvons avoir. En le faisant pour soi, c’est le meilleur moyen d'arriver au but que nous nous sommes fixé. Pas besoin de vouloir perdre 100 livres, pour se faire plaisir. Pensez à vous et à votre bien-être, vous verrez tout ce que la vie peut offrir.