bonjour
bon deux bonne nouvelle la plus importante c'est l'operation de ma maman ,le docteur a dit que tout c'etait bien passé donc maintenant il faut voir dans les semaines avenir ,j'aie meme pus lui parler par téléphone apres son reveil ,j'etais tres contente d 'entendre que sa allais ,surtout que ma soeur n'arrivais pas a me joindrealors je m'inquietais de ne pas avoir de nouvelles
la deuxieme nouvelle c'est la chaleur pour toute la semaine apres un descentent des temperature a 25 degrée le thermometre remonte a plus de trente pour la semaine trop cool ,refaire un peu de bronzage pour garder de belles couleurs pour l'automne je penserais a vous qui je sais certaines n'ont pas tres chaud
bon comme certaines le savent j'aie bien souvent la tete dans les nuages et j'aime le monde feerique ,mais j'aime aussi la recherche de choses concretes la je vais un peu vous parler de la licorne pas en grand blog juste un peu chaque jour car j'aimerais remettre aussi des recettes ou textes ou poemes
je voulais dire aussi merci a mes amies qui m'on tagué je ne les oublie pas dont comme je n'aie pas encore changee et que toutes mes amies on dejas etées taguées je ne vais pas vous embeter encore avec celas donc je ferais un copier de mes reponses a la fin de la semaine
bon certain textes peuvent se ressembler car plusieur sources de recherche sur le net et dans les livres de ma bibliotheque
La légende
de la licorne
La licorne du bestiaire médiéval s'assoupit dans le giron d'une vierge traîtresse, avant d'avoir le flanc transpercé par la lance d'un chasseur. Plus tard, la même licorne trempe la pointe de sa corne dans les eaux infestées par les vermines et les serpents. Et l'on s'étonne que la blanche bête ait pu signifier à la fois le Christ et le Démon, la pureté et la luxure.
Comme les érudits de la Renaissance, les auteurs modernes qui ont été séduits par cette belle cavale blanche, à la longue corne torsadée comme un cordage de marine, ont généralement attaché une grande importanceà de rares textes antiques. Dans quelques lignes de Ctésias de Cnide, d'Aristote, de Pline l'Ancien, d'Élien de Préneste, ou dans de rares passages des Psaumes, de Job ou d'Isaïe, ils ont voulu trouver l'origine dela croyance en l'existence de «la licorne». Cette démarche découlait du truisme selon lequel tout mythe ou légende doit pouvoir se ramener à une source première qui en donnerait une version archétypale, voire la seule version authentique. Poursuivant leur quête, les savants ont alors décelé derrière ces textes anciens des animaux réels, onagres, antilopes ou rhinocéros. Le débat sur la licorne se ramènerait ainsi à un choix trivial entre une gazelle de profil et un rhinocéros dans la brume.
pour découvrir la manière dont ils furent exploités, cités et glosés par des auteurs plus tardifs. En choisissant de commencer cette étude en plein Moyen-Âge, et non aux temps de Pline ou d'Aristote, nous ne raccourcissons pas arbitrairement le champ d'étude. En effet, la licorne de l'imaginaire occidental, la blanche haquenée à la corne en spirale, est une création du Moyen-Âge finissant, même si elle emprunte beaucoup au Physiologus hellénistique, et un peu à l'Histoire naturelle de Pline. Sa longue absence de toute l'imagerie grecque et romaine, qui connaissait le Pégase et le rhinocéros, suffit à montrer que les quelques lignes que Ctésias, Aristote, Pline ou Élien avaient consacrées à des animaux unicornes n'avaient guère marqué leurs contemporains.
Croyant donc «redécouvrir» la licorne dans les textes classiques, les auteurs du Moyen-Âge et de la Renaissance l'ont en fait inventée. Au huitième livre de l'Histoire naturelle, Pline l'Ancien avait écrit que «la bête la plus sauvage de l'Inde est le monocéros; il a lecorps du cheval, la tête du cerf, les pieds de l'éléphant, la queue du sanglier; un mugissement grave, une seule corne noire haute de deux coudées qui se dresse aumilieu du front. On dit qu'on ne le prend pas vivant».Aussi succinct, Aristote avait précisé que «La plupart des animaux à corne ont les pieds fourchus, mais il yen a un, dit-on, qui est solipède,celui qu'on appelle âne de l'Inde. La plupart de ces animaux...ont reçu de la nature deux cornes. Mais certains n'ont qu'une seule corne, par exemple l'oryx et l'âne appelé indien. Cependant l'oryx a le pied fourchu tandis que cet âne est solipède. Les animaux à corne unique la portent au milieu de la tête.» Ces quelques lignes de grec ou de latin classique, disséminées dans une abondante littérature animalière, n'ont suscité l'intérêt, et provoqué des commentaires, qu'à partir d'Isidore deSéville (vers 560-636), d'Albert le Grand (1193-1280) et de son contemporain l'encyclopédiste Vincent de Beauvais, qui les ont exploitées pour préciser ou enrichir le bestiaire hérité du Physiologus alexandrin. Aussi les marques d'intérêt pour ces brefs passages restèrent-elles modestes et rares jusqu'au bas Moyen-Âge. Au treizième siècle, grâce aux bestiaires, la licorne envahit l'iconographie occidentale, mais ce ne fut qu'au seizième que des ouvrages entiers purent lui être consacrés.
voilas un peu chaque jour pour ne pas trop vous embeter
un ptite recette en partant ??
poulet a l'australienne
Ingrédients
4 blancs de poulet sans peau, 1 sachet de soupe à l’oignon, 1 dl de nectar d’abricot, 2 dl de lait de coco, sel, poivre
LA MARINADE :
allumer le four à 150 °C (th. 5). Verser le lait de coco dans un saladier, ajouter le nectar d’abricot, la soupe à l’oignon, poivrer et bien mélanger. Couper les blancs en lamelles de 3 cm d’épaisseur, les mettre dans le saladier et les tourner dans le mélange.
LA CUISSON :
poser les morceaux de poulet à plat dans un plat à four, les napper de la marinade restante, glisser au four et laisser cuire 15 minutes. Retourner les morceaux de poulet, remettre au four et laisser cuire encore 10 minutes.
POUR SERVIR :
retirer le plat du four, poivrer légèrement. Servir avec le riz blanc agrémenté de copeaux de noix de coco.
voilas et je peux vous dire que c'est tres bon sauf que moi je n'aime pas la noix de coco avec le riz