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Ce n’est pas temps remettre au lendemain ce que je peux faire aujourd’hui.En général, je n’ai pas de problème pour ça. Je serais même plutôt l’inverse car pour ce qui est de la gestion du quotidien , j’agis de manière inconsciemment compétente
Pour celles qui ne connaissent pas ce concept :
Nous pouvons agir :
De manière inconsciemment incompétente
De manière consciemment incompétente
De manière consciemment compétente
De manière inconsciemment compétente
Non c’est plutôt concevoir plein de projets, être persuadée que c’est génial et ….. ne jamais mettre à exécution les dits projets.
Peur de l’échec ? Peur de réussir ? Devoir remettre en question une situation présente peut être non satisfaisante mais qui cependant comporte des « bénéfices secondaires » ?......
Il est possible que vous fassiez partie des personnes souffrant d'une habitude à la procrastination. La procrastination est la tendance à repousser des obligations ou des devoirs jusqu'à la dernière minute.
La procrastination fera souffrir votre vie et votre carrière car elle vous empêchera d'avoir des emplois intéressants et vous fera rater des opportunités.
En s'intéressant à l'attitude des hommes ayant connu de grandes réussites, on s'aperçoit qu'ils adoptent tous cette formule :
• Déterminez ce que vous désirez
• Etablissez un plan pour définir comment vous pouvez y arriver
• Mettez ce plan en action
• Faites des modifications lorsque c'est nécessaire, jusqu'à ce que vous réalisiez vos objectifs
Cette formule est simple et facile à suivre, cependant la plupart des gens ont des problèmes pour la suivre à cause de la procrastination, la peur d'atteindre le succès, le manque de suivi, de motivation, de croyance, etc...
Voici quelques astuces pour faire face à la procrastination dans le but de réussir :
1. Améliorez la façon dont vous gérez votre temps. Utilisez votre temps efficacement et apprenez à gérer correctement votre temps.
Par exemple, vous pouvez investir dans des livres, des formations ou des logiciels de planning pour vous aider à mieux organiser vos tâches et votre temps.
2. Ne vous donnez jamais d'excuse pour temporiser. Exploitez le plus possible votre temps.
Par exemple, il vous reste encore 10 minutes avant que votre bureau ne ferme. Utilisez ce temps pour accomplir quelque chose qui ne prendra que quelques minutes, comme ranger vos documents et les organiser.
3. Créez un environnement de travail propice. Certains individus réussissent à se concentrer sur leur travail malgré le bruit et le chaos autour d'eux alors que d'autres ne peuvent pas. Pour réaliser votre meilleure performance, le silence et l'intimité sont nécessaires.
4. Faites la liste des tâches que vous avez retardé, de la plus importante à la moins importante, effectuez les tâches une par une, puis rayez celles que vous avez terminées et passez à la suivante.
5. Soyez réaliste envers vos attentes. Un des obstacles vers le succès est lorsque vous visez la lune ; et si vous ne pouvez pas y arriver, vous vous sentirez déçu et paralysé.
Transformez des tâches énormes en plus petites étapes gérables afin de réussir chacune d'entre elles. C'est mieux que d'être déçu parceque vous n'êtes pas parvenu à accomplir une seule grosse tâche.
6. Ne dites jamais « Je ne peux pas le faire ». Laissez de côté les préjugés que vous pouvez avoir sur vos capacités et votre personne car c'est une des raisons majeures qui vous fait temporiser. Essayez d'abord d'y arriver, car vous ne pouvez pas savoir tant que vous n'avez pas essayé. Si vous ne croyez pas en votre capacité à accomplir une tâche spécifique, vous êtes destiné à la procrastination.
7. N'ayez jamais peur de l'échec. Pour certaines personnes, un échec les bouleverse et leur fait croire qu'il est impossible de réussir à nouveau.
A l'inverse, ceux qui réussissent voient leurs échecs comme des indications qui leur permettent de viser de nouveaux horizons. Pour eux, l'échec est quelque chose de positif qui leur permet d'apprendre de leurs erreurs.
Gardez toujours à l'esprit que le succès n'arrive jamais accidentellement. C'est un acte délibéré qui consiste à prendre une décision de ce que vous voulez faire et accomplir dans votre vie, puis de mettre en action cette décision. par Thomas Bekkar
Réponse :
. 6)Albert Einstein 9)André Citroën 5)White 1)Jean Giono 7)Ghandi 2)André Gide 8)Theodore Roosevelt 4)Cioran 3)Louis de Saint Just
On peut aussi faire sien un proverbe latin médiéval : Remets-toi à ces trois médecins : la gaieté, le repos, et une juste diète, ajoute Jean Paul Comby. http://www.abcfeminin.com/optimisme-comment-garder-un-moral-d-acier/
SOELIA m’a posé une question : Avons-nous toujours le choix en toutes circonstances ?
Voici ce que j’ai trouvé sur le blog melodyliriel68.spaces.live.com AVONS NOUS LE CHOIX?
Avons nous toujours une OPTION, une autre ALTERNATIVE
Dans cette éventail de PREFERENCE,
Ce recueil de DECISION qui donnent un assortiment de qualité
Dans le triage de la volonté vers l'acceptation
DE la LIBERTE DE CHOIX
Le com à sa question : Parfois, nous n’avons d’autre choix que de céder à une obligation, au risque de tout perdre, même si cette obligation nous répugne. Mais si le fait de tout perdre nous laisse indifférent, de refuser cette obligation, entraîne alors une suite de choix nouveaux, dont les conséquences peuvent parfois nous être favorables.
Le plus difficile est d’apprendre à faire confiance à son instinct. Pour ma part, le plus simple est de m’orienter vers ce qui réjouit le plus le fond de mon âme.
………
Extrait d’un article de DANIEL HELD
Consultant en RH, «La possibilité de choisir est une vertu donnée à chacun; si je ne l’utilise pas, d’autres choisiront pour moi». Cette citation de Paulo Coelho est probablement l’une des plus importantes en matière de gestion de son parcours et de sa vie. Le principal risque, c’est de ne rien entreprendre, de laisser les autres choisir pour nous, de ne pas vivre ce que nous avons à vivre et donner ce que nous pourrions donner.
Bien poser la question
Souvent, nous posons la question du choix au mauvais niveau: celui de mettre en avant tout ce que nous risquons de perdre, surtout sur le plan matériel. Si la peur de perdre ou de changer prédomine, nous supprimons toute opportunité d’évoluer
Ce qui est donc essentiel, c’est de savoir que nous pouvons choisir. Penser le contraire, c’est accepter les chaînes multiples que nous n’arrêtons pas de nous mettre dans notre vie, notamment sur le plan matériel: par un confort, une situation, un statut, un endettement, des habitudes, le regard des autres…
Choisir de choisir
Mais avant de faire ce choix d’orientation, nous devons faire un autre choix, plus fondamental: celui de décider d’avancer et d’être acteurs de notre vie; ou alors celui de laisser les autres prendre les décisions pour nous, de permettre à l’argent, au confort, aux contraintes et à nos peurs de dominer notre vie......
Pas simple n’est ce pas de vaincre notre peur /Etre acteur de sa vie c’est accepter le risque de se tromper, de perdre, d’entrainer les siens dans sa chute si ça tourne mal. Mais ça peut être aussi être gagnant et réussir sa légende personnelle En sommes nous capables ? La réponse est en chacun de nous
En ce qui me concerne, je n'ai pas fait assez de choix dans ma vie, j'ai beaucoup subi et je le regrette.
D'en avoir pris conscience n'empêche pas qu'aujourd'hui faire des choix me fait encore peur et je m'efforce de vaincre ces croyances limitantes qui sont les miennes.Faire taire sa critique intérieur et laisser parler son coach intérieur.....
Allez une petite blague pour décompresser : À quelle petite annonce avait répondu Monica Lewinski?
- Soyez stagiaire à la Maison Blanche et goûtez à la présidence!
Nous avons aux Antilles un temps épouvantable depuis des semaines
Il pleut sans arrêt.
Bien que ce soit la saison « des pluies » , d’après météo France, cela fait quinze ans que la martinique n’avait pas connu un tel déluge
En plus de cela la morosité internationale nous file le blues.
Alors pour nous changer les idées je nous mets une petite vidéo du livre de la jungle « Il en faut peu pour être heureux »
En tête de blog puisqu'à vouloir toujours modifier le site nous ne pouvons plus mettre de vidéo dans le corps du texte
ni utiliser <img src ni les blinks ni rien super ... mais c'est pour notre bien soi disant alors comme c'est gratuit on dit amen !!
hein ? non non j'trouve ça bien
quoi ? non non j'suis pas vénère
LA CORDE
Un paysan avec trois de ses ânes se
rendait au marché pour vendre sa récolte.
La ville était loin et il lui faudrait plusieurs jours pour l'atteindre.
Le premier soir, il s'arrête pour bivouaquer non loin de la maison d'un vieil
Hermite.
Au moment d'attacher son dernier âne, il s'aperçoit qu'il lui manque une corde.
Si je n'attache pas mon âne se dit-il demain, il se sera sauvé dans la
montagne! Il monte sur son âne après avoir solidement attaché les deux autres et prend
la direction de la maison du vieil Hermite.
Arrivé, il demande au vieil homme s'il n'aurait pas une corde à lui donner.
Le conseil de l’Hermite : Le vieillard avait depuis longtemps fait vœux de pauvreté et n'avait
pas la moindre corde, cependant, il s'adressa au paysan et lui dit:
"retourne à ton campement et comme chaque jour fait le geste de passer une
corde autour du cou de ton âne et n'oublie pas de feindre de l'attacher à un
arbre." Perdu pour perdu, le paysan fit exactement ce que lui avait conseillé le
vieil homme.
Le lendemain dès qu'il fût réveillé, le premier regard du paysan fût pour son
âne.
Il était toujours là! Après avoir chargé les trois baudets, il décide de se mettre en route, mais
là, il eut beau faire, tirer sur son âne, le pousser, rien n'y fit.
L'âne refusait de bouger.
Retour chez l’Hermite Désespéré, il retourne voir l'Hermite et lui raconte sa mauvaise aventure. As-tu pensé à enlever la corde? lui demanda-t-il.
Il n'y a pas de corde répondit le paysan.
Pour toi oui mais pour l'âne... Le paysan retourne au campement et d'un ample mouvement, il mime le geste de
retirer la corde.
L'âne sans aucune résistance le suit
.
L’âne se croît attaché Ne nous moquons pas de cet âne.
L'âne voit son maître jour après jour faire le geste de l'attacher avec une
vraie corde. Maintenant lorsque son maître fait le geste, il croit être
attaché. Nous sommes souvent comme cet âne, ce qui a donné naissance à une croyance
peut bien disparaitre, la croyance, elle, demeure...
Allez une petite blague pour finir la semaine !
Trois fous passent un test avant la sortie de leur centre hospitalié. - Combien font 3 fois 3 ?
Le premier répond:
- 648. Il n'est pas guéri.
Le deuxième répond:
- Vendredi. Idem pour celui-là.
Le troisième répond:
- Cela fait neuf.
- Bien! Tu es guéri! Mais comment as-tu fait pour trouver ?
- C'est tout simple : j'ai divisé 648 par vendredi !
Petite histoire extraite de « l’intelligence du cœur » d’Isabelle Filliozat :
Le hamster d’Olivier est mort. Thierry, le papa d’Olivier, l’a trouvé ce matin sans vie dans sa cage. Vite, avant que son fils ne se réveille, il a tout fichu à la poubelle. La cage a été nettoyée. Quand Olivier est descendu prendre son petit déjeuner, Thierry a inventé une histoire : « tommy est parti chez des amis, il va revenir. » Trois jours et un petit tour quai de la mégisserie plus tard, un nouveau hamster évolue dans la cage. Olivier ne dit rien, mais il ne s’occupe plus de son animal. Il a bien vu que ce n’était pas le même, mais il sent qu’il ne faut pas en parler à papa. Celui-ci se dit qu’il a eu bien raison d’agir ainsi, son fils ne s’est rendu compte de rien, il ne semble pas affecté. Le désinvestissement vis-à-vis du hamster ? Pour Thierry : « c’est normal, à sept ans on change si facilement d’intérêt. » Il banalise, il refuse de voir la signification des signaux que lui envoie Olivier,
Anticipant la déception, le désarroi, l’angoisse du petit garçon, Thierry a préféré passer le tout sous silence…Il se justifie en prétendant avoir voulu protéger son fils, il a vraiment cru faire pour le mieux. Mais en réalité, il a agi ainsi pour se protéger lui-même, pour que son fils n’en fasse pas un drame que lui, son père, n’aurait su gérer……
…….Quelque chose s’est cassé entre olivier et son père. Olivier a appris beaucoup de cette expérience : il ne peut plus faire totalement confiance à son père, celui-ci peut lui mentir ; et ses émotions ne sont pas les bienvenues. Il comprend qu’il vaut mieux taire les drames de la vie, faire semblant d’être toujours heureux, mettre un masque de sourire sur son visage alors même qu’il aurait envie de verser des larmes…….
…….En réprimant nos émotions spontanées, ou en les déguisant pour les rendre conformes et socialement acceptables, nous perdons des informations précieuses sur notre vécu psychique
Taire son être intérieur, c’est abdiquer une part de sa liberté. Il faut bien pour cela quelques pilules tranquillisantes, anxiolytiques ou somnifères, mais QU’IMPORTE….
…..Les parents ne prennent pas toujours le temps d’écouter les émotions de leurs enfants. Il arrive aussi qu’ils ne veuillent tout simplement pas les entendre, parce que cela risquerait de les remettre en cause, de perturber leurs plans, de leur donner une mauvaise image d’eux-mêmes. Alors plutôt que de prêter l’oreille au vécu de leur enfant, ils ont tendance à le définir : « tu es pénible », « tu es vraiment douillet », « tu es un bon à rien »…
Ces définitions que les autres nous donnent –nos parents, nos frères et sœurs- nous collent à la peau. Pour s’en défaire ? Il faut faire face à soi même, affronter les émotions que ces dévalorisations recouvrent……(fin)
"Accomplir sa légende personnelle est la seule et unique obligation des hommes.
Et quand tu veux quelque chose, tout l'Univers conspire à te permettre de réaliser ton désir." Paolo Coelho
SNCF
Le hall de gare est désert. Un homme se présente au guichet pour acheter son billet.
La guichetière, sans même lever le nez, lui dit:
- Pas d'énervement ! Chacun son tour !
Le voyageur étonné regarde autour de lui. Personne ! Il renouvelle sa demande et c'est la même réponse aimable de l'employée.
Alors, énervé, le client se penche et lui fiche une claque.
La préposée se lève en hurlant :
- Mais quel est l'abruti qui vient de me gifler ?
Le voyageur répond très calmement :
- Avec cette cohue, allez savoir !
N.C. : Mais dans la
sphère sociale, on a quand même énormément tendance à voir toute personne en
difficulté comme une pauvre victime du système, sans jamais oser la renvoyer à
sa responsabilité propre. I.
F. : Eh bien, il faut trouver la voie du juste milieu entre ces
deux tendances ! N.C. : Y a-t-il des
méthodes différentes pour retrouver les quatre types de confiance en soi dont
vous parlez ? I. F. : Oui. La confiance de
base se retrouve essentiellement en psychothérapie. Mais c’est aussi ce que
travaillent l’aïkido et les autres arts martiaux, quand ils réveillent le hara
ou initient à la méditation. Il s’agit d’aider la personne à retrouver son
centre de gravité, son souffle, son espace-temps. Pour retrouver la confiance
en ses désirs et besoin, il faut apprendre à s’opposer aux autres et à dire
non. Il existe pour cela toutes sortes d’exercices : changer d’avis
volontairement, par exemple dans un magasin, et multiplier, momentanément, les
refus catégoriques, afin d’authentifier ce que l’on désire vraiment ;
rééduquer et reconnaître ses cinq types de ressentis sensoriels, trop souvent
manipulés par nos croyances.
La confiance en ses compétences, elle, revient soit en acquérant de nouvelles
compétences … ….soit en reconnaissant que celles que nous avons ne sont pas
remises en cause. Pour cela, il nécessaire d’écouter le feedback des autres et
surtout d’oser. Oser se lancer, oser construire, puis affirmer une compétence…..
…..Quant à la confiance relationnelle, il existe aussi un certain nombre de
clés. On peut observer les gens qui sont à l’aise et faire comme eux. Dans notre
imaginaire, ces gens sont forcément toujours à l’aise, n’ont jamais peur, etc.,
alors qu’ils traversent évidemment comme tout le monde des moments de doute, de
crainte, de difficulté, mais cela ne les paralyse pas. Au lieu de fuir et de
s’enfermer, ils vont vers les autres et se reconstruisent. Je conseille donc de
regarder comment ils vont vers les autres. Il y a des règles sociales de base,
souvent inconscientes, que la personne manquant de confiance relationnelle va
devoir apprendre, car elle ne s’est pas dotée d’assez d’expériences et risque
du coup, en effet, de se faire rejeter. Par exemple, elle peut ne pas savoir
qu’avant d’entrer en relation avec quelqu’un, on le regarde. Récemment, dans un
de mes groupes, une jeune femme s’est plainte d’être toujours seule. Or,
pendant tout le stage, effectivement, personne n’est venu vers elle.
Pourquoi ? Je l’observe et je vois que jamais elle n’établit de contact
oculaire avec les autres. Toute sa vie on lui a dit qu’une fille bien baisse
les yeux et elle le fait ! Je lui ai donc simplement posé cette
question : « Sais-tu que, pour entrer en contact avec autrui, il faut
d’abord le regarder ? » Elle ne le savait pas. Il lui a fallu se
rééduquer, apprendre à établir le contact oculaire et, dans ce contact, à jauger
s’il y a relation possible ou pas, et de quel type. Il y a ainsi des clés
relationnelles qui sont automatiques pour certains et que d’autres n’ont pas.
Notre métier est de leur en donner quelques-unes et de les inciter à en trouver
d’autres eux-mêmes. Je leur conseille donc d’observer attentivement et d’imiter
les attitudes qui marchent bien chez les autres. N.C. : Comme toujours, il y
a sans doute un prix à payer. Pour beaucoup, n’est-ce pas bien commode de dire
qu’on n’a pas confiance en soi ? I. F. : ……. Le manque de
confiance est une excellente jambe de bois et un alibi idéal pour ne faire
aucun effort, refuser de s’ouvrir et de s’engager, se refermer sur ses routines
et ne pas se confronter à ses peurs À lire :Fais-toi confiance - Ou comment être à l’aise en toute circonstance, Isabelle
Filliozat, éd. JC Lattès.
Dîtes moi si vous voulez d'autres articles du même genre ...
Et pour finir une petite blague : Attention celle-ci est un peu coquine, âme sensible s'abstenir
Deux copains discutent sur les différentes façons de faire l'amour....
- Et le sexe à la rodéo tu connais ? - Sexe à la Rodéo ? .... non , c'est comment ? - Tu te mets sur ta femme, tu la caresses et puis tu lui chuchotes à l'oreille "ton parfum est le même que celui de ma secrétaire!" - Et après ??? - Après tu essaies de rester cinq secondes dessus
N.C. : Un manque de confiance de base
n’est-il pas sous-jacent à tous les autres manques ? I. F. : Il peut arriver qu’une personne
croie manquer de confiance en ses compétences, alors qu’elle souffre en fait
d’un manque de base. La sécurité intérieure est de toute façon un problème
général, spécialement en France…..! N.C. : Quand on manque de confiance de
base, toutes les autres confiances sont menacées ? I. F. : Oui, mais on peut le camoufler. On
peut par exemple développer degrandes compétences et devenir
quelqu’un de brillant, reconnu, etc., qui masque son manque de sécurité interne
par une apparence sûre d’elle. Mais au moindre échec, tout peut s’écrouler,
parfois de façon incompréhensible. J’insiste sur l’idée que la confiance en soi
peut momentanément se perdre, chez n’importe qui, à n’importe quel âge, et
qu’il ne faut pas en avoir peur. C’est naturel. Le problème, c’est que nous
dramatisons nos chutes et que nous ne savons pas ensuite nous réparer. En
réalité, nous avons tendance à confondre tout sentiment provoqué par un échec
avec une perte de notre confiance en nous-mêmes. Toute humiliation, toute
souffrance, relationnelle ou professionnelle, est interprétée illico comme un
manque de confiance. Nous labellisons là de manière erronée une réaction
normale et naturelle. Surtout si nous avons fait partie, très jeune, de la
majorité des dominés…….
…….Il y a donc une dimension sociale extrêmement importante. Ainsi, le fait de
perdre son travail induit automatiquement une chute de la confiance en soi,
même quand cela n’a aucun rapport avec nous et que nos compétences ne sont
strictement pas en cause. On a beau le savoir, notre confiance est minée et
nous nous sentons coupable. Nous avons un tel besoin de cohérence que nous
pensons que tout est de notre faute ! Nous oublions de regarder la réalité
extérieur…….
……..Je trouve que la mouvance psy a trop tendance à rendre la personne
responsable de tout : quoi qu’il lui arrive, c’est sa très grande faute. Pas
forcément ! Nous sommes des êtres de relation et ce qui se passe à
l’intérieur de moi peut être un indicateur de ce qui se passe à l’extérieur. Le
manque de confiance d’un salarié peut être lié au style de management de son
patron. Avec un autre patron, il sera à l’aise et compétent…
Deux autruches femelles sont poursuivies dans la savane par deux autruches mâles. - Cachons-nous, dit la première autruche femelle - D'accord, fait sa copine Et elles s'enfouissent la tête dans le sable. Les deux autruches mâles s'arrêtent aussitôt, et regardant autour d'eux se disent: - Mais où sont elles passées?
Selon la psychothérapeute Isabelle Filliozat « la confiance
en soi se construit en quatre étapes : sécurité intérieure, affirmation
des besoins, acquisition des compétences et reconnaissance par les autres. Trop
souvent, nous les perdons au premier échec, que nous dramatisons, nous sentant
impuissant et dominé. Heureusement, il existe des techniques pour les
reconquérir. Mais certaines personnes doivent retrouver pour cela les clés de
base des relations humaines »
Nouvelles Clés :
Il y aurait plusieurs formes de confiance en soi ? Isabelle Filliozat : J’en vois essentiellement quatre,
qui se construisent dans l’ordre suivant à partir de la naissance :
1°) La
confiance de base, aussi appelée sécurité intérieure : être bien dans son
corps, se sentir à sa place sur cette terre (« Je suis »). À partir
du moment où nous sommes bien à notre place entre terre et ciel, nous pouvons
tout entreprendre. Cette confiance est menacée quand les parents ne s’occupent
pas du bébé, ne le portent pas, ne le désirent pas, etc.
Ce manque de confiance, extrêmement profond, est plus difficile à rattraper,
mais on y arrive.
2°) Ensuite se construit la confiance en nos désirs et besoins (« Je
ressens »). Certaines personnes peuvent rester des heures sans savoir
quelle paire de chaussures prendre. C’est qu’on ne leur a pas permis de choisir
quand elles étaient petites. Soit leurs parents ont toujours décidé à leur
place et elles n’ont pu s’exprimer, soit ils n’ont pas écouté leurs besoins, ne
tolérant pas la phase du non, colère d’opposition que l’on traverse entre 18
mois et 2 ans, essentielle pour accéder à cette confiance en notre personne
propre, qui permet de dire « je ».
3°) Puis vient la confiance en ses compétences, qui apparaît quand l’enfant
commence à vouloir agir seul (« Je fais »). C’est une confiance
extrêmement menacée par l’école et le jugement des maîtres et camarades.
Beaucoup de gens ne se sentent pas « capables de ». Souvent, ils
n’ont même pas vérifié et s’estiment d’emblée incompétents. Alors qu’en
réalité, les compétences s’acquièrent, se construisent. Mais il y a tellement
de malentendus autour de la confiance : l’idée « je n’y arriverai
pas » est tellement ancrée à l’intérieur de nous qu’on ne la met même pas
à l’épreuve de la réalité. On n’essaye même pas. Mais la réalité de la
confiance dans ses compétences, c’est qu’elle se construit dans la réalisation.
« Oh moi, je ne suis pas capable de faire ceci ! - Mais as-tu
essayé ? - Non, je ne suis pas capable. - Mais qu’en sais-tu puisque tu
n’as pas essayé ? » Cette conviction négative vient d’expériences
d’avoir été humilié, dévalorisé, traité d’incapable, etc.
4°) Enfin vient la confiance sociale, relationnelle (« Je suis
reconnu »). Ai-je confiance dans le fait que je vais être accepté par les
autres ? Est-ce que je me vois comme quelqu’un de bien ou comme un(e)
nul(le) qui ne va intéresser personne ? Dans le second cas, je vais me
cacher, éviter les autres et éventuellement développer des phobies sociales.
Cette confiance se développe d’abord dans le rapport aux parents et aux frères
et sœurs, mais elle est aussi très liée à ce que l’on vit à l’école. Beaucoup de
gens sont paralysés socialement parce qu’ils ont vécu des expériences de rejet
et d’humiliation de la part de camarades de classe. Mais l’enfant en parle si
peu que, souvent, on n’identifie pas ce manque et même des psy peuvent passer à
côté.
ça c'est pour faire travailler les neurones mais comme c'est aussi le week end je vous mets une petite vidéo de Carlos