Cela peut faire sourire mais je suis fière d'avoir brûlé quelques calories : un peu plus de 400 !

Le dolmen de Kerguntuil en image,

s'il passe cette fois ci., pas étonnant avec ces 20 tonnes il est resté coincé dans la boîte ...

La stèle gauloise du IVe siècle est un des rares témoins du second âge de fer, avant J.C. C'est un monument haut de 3 m,  dont chaque arête est rabattue pour former trois cannelures. Sur toute une face, sont gravés des motifs symboliques : deux spirales en « S » et une spirale en corne de bélier.

Cette stèle  de Sainte-Anne se trouvait à l’origine sur les terres de la ferme du Peulven, aujourd’hui disparue, située près de la chapelle Sainte-Anne-des-Rochers. Un cultivateur, au XIXe siècle juge bon de fendre la stèle en deux dans le sens de la hauteur, pour faire des poteaux de barrière.

La stèle se trouve à l'Office de Tourisme.

Menhir christianisé de Saint Uzec à Pleumeur Bodou

Une croix a été plantée. Dans la pierre sur la face  sud les instruments de la Passion ont été gravés. A gauche et à droite la lune  qui représente la mort et le soleil  la résurrection.

A gauche on voit une lance et un bâton qui évoquent l’arrestation auxquels correspondent, à droite, une lance et un roseau portant l’éponge. Entre les deux, l’aiguière et une main rappellent le geste de Pilate, puis, une femme à genoux, et, sous elle, le voile de Véronique. Le coq du reniement de saint Pierre est juché sur la colonne de la flagellation.

Une échelle évoque la descente de croix. De chaque côté on voit les deux fouets.

En dessous, et de gauche à droite, l’épée de saint Pierre qui trancha l’oreille de Malchus, le serviteur du grand prêtre, une lanterne nous mène à l’arrestation, au jardin des Oliviers, puis des tenailles et un marteau sous lesquels se trouve les deniers de Judas.

 Sur la dernière ligne, la tunique sans couture, les dés qu’utilisèrent les soldats romains pour tirer au sort les vêtements du Christ, les trois clous.

 La tête de mort est celle d’Adam : une légende, en effet, rapporte que celui-ci fut enterré sur le Golgotha. Sous l’échelle, deux os croisés pour signifier la descente aux enfers.

Joyeux anniversaire à la belle Sherazadel !

Les Menhirs

 Men : pierre en breton

 Hir : haut en breton, d’où Menhir : Pierre levée.

 Le Menhir de Tremarc’h date de la fin du néolithique (2500 av. JC)

Le Menhir de Kérédol se trouve au lieu-dit Crec’h-Ejen ( 3000 av. JC)

 L'allée couverte de Kergüntuil.

Le monument le plus remarquable est l'allée couverte de Kerguntilallée qui a été fouillée puis restaurée en 1939.

Il s'agit d'une sépulture, longue de neuf mètres, du Néolithique final (vers 2000 ans avant J.C.) à l'entrée latérale.

Les 2ème et 3ème piliers nord sont sculptés : huit paires de bosses et un trait gravé bien en forme de « U ».

Les archéologues pensent qu'il s'agit d'une représentation multiple de la grande déesse, la Déesse Mère, nourricière des vivants et protectrice des morts, schématisée par des seins et son collier pectoral

Une autre allée couverte en ruine se situe au bout de l'île Renote, sur une propriété privée

Youna

Deiz ha Bloaz laouen !

« D’azur à trois fasces ondées d’or à un franc quartier de gueules chargé d’une tour d’argent » :

L’azur représente la mer - les bandes d’or ondulées,

les plages - la tour d’argent rappelle l’étymologie (la trêve du château)

Deux dauphins supportent l’écu (le dauphin symbolise la communion pacifique entre l’homme et la mer).

En Bretagne, dans les Côtes d’Armor, Trégastel est une des plus petites communes du département.

Les habitants s'appellent les Trégastellois.

Station balnéaire, Trégastel compte environ 2 400 habitants, mais ce nombre est multiplié par cinq en saison estivale.

La côte, où alternent rochers de granite rose, douze plages de sable fin aux orientations diverses et chapelets d'îlots pittoresques, s'allonge sur 17 kilomètres.

L'origine du nom est probablement Treff (de trève) Gastel (de Kastell). Les trèves étaient des « annexes » des paroisses (Trégastel dépendait de Pleumeur-Bodou). Le kastell est sans doute une référence à une place forte (castellum) établie par les Romains pour protéger la côte.