Aimer quelqu'un, c'est le laisser libre de venir jusqu'à soi.
Il y a parfois des imitations, des semblants d'amour,
qui laissent un goût de crainte, de possession et d'incertitude.

L'Amour sommeille en nous tous, il peut passer toute une vie,
sans que nous ayons la possibilité d'en connaître ses richesses.
Tous nous avons besoin d'être aimer, d'être entendus et d'être reconnus,
tout au long de notre vie.

C'est la profondeur de ton âme qui mesure la profondeur d'Amour que tu reçois.
Souvent, nous recevons l'Amour par morceuax en y mettant des barrières,
comme si l'Amour était trop grand pour nous.

Nous prenons le chemin de l'Amour et de la confiance
ou celui de la peur et de tout ce qui est négatif.
L'Homme devient vieux dès qu'il cesse d'aimer et de s'emerveiller

motivons nous pour une semaine d'effort et de sport  a plus

le montage  est une realisation de ma danette d'amour

L'amitié est pour moi une évidence

J'ai six Vrais Amis, qui sont majoritairement des hommes  femmes aussi bizarre que cela puisse paraître. Il y a celles qui me suivent partout dans mes délires, à qui je fais des confidences...Qui connaissent tout de moi , mes plaies et blessures les plus profondes et il y en a, mes envies de liberté et de solitude, mes besoins de tendresse... mes doutes face à mon avenir personnel ou professionnel ... Et dont je connais tout aussi!! Ce sont celles de tous les instants!! Et bien sûr j'en ai d'autres, qui sont des amis aussi, mais nos relations sont plus épisodiques et plus superficielles...beaucoup moins fusionnelles!! Je suis un homme dont on dit c'est quelqu'un d'assez ouvert et j'aime donc la mixité dans mon paysage amical, mais souvent il m'arrive de ne pouvoir mélanger, pour un repas ou un moment "café/thé" par exemple, difficile avec certains de mes amis!! Ca ne fonctionne pas!! Ils ne se supportent pas moi j'aimerais pouvoir les réunir mais non impossible....peu de personnes acceptent la contradiction enfermés dans leur certitude et cela me gene

Manger : quel plaisir, quel bonheur qui peut toutefois devenir un bien grand désordre dans la compulsion alimentaire.

Dabord, il y a la réminiscence d'un goût aimé. Souvent sucré. L'idée d'un carré de chocolat au lait ou noir, la douceur d'une madeleine ou l'acidité délicieuse d'une tarte au citron, par exemple. Petit à petit, ce souvenir s'installe insidieusement et se rappelle à toi de manière obsédante. Il t'en faut. Tu essaies de chasser l'envie, de penser à autre chose. Mais tu salives de plus en plus, tu ne peux plus rien faire, il t'en faut. Tu sais que chez toi, il n'y a rien de tout ça, tu t'interdis d'en acheter, pour ne pas céder.

C'est donc décidé, tu y vas. Tu cours vers le magasin le plus proche. Tu prends, la tablette de chocolat à l'origine de la compulsion. Et comme tu sais qu'une fois la crise enclenchée, ça ne suffira pas, tu rafles qq paquets de gâteaux, peu importe lesquels. Une fois ton butin amassé, tu rentres chez toi et prends le temps de t'installer. Le bonheur sera de courte durée, alors autant l'optimiser. Assis sur ton canapé, la télécommande à portée de main, tu déchires soigneusement le papier argenté. La vue du chocolat velouté excite tes papilles. Tu casses un morceau, et le porte à ta bouche, fébrile et impatiente. Les premiers effluves parviennent à tes narines et commencent à calmer le manque. Puis ta langue apprécie la douceur sans aspérité du petit carré. Très vite, le jus divin tapisse ton palais. Les récepteurs transmettent à ton cerveau la sensation de bien-être. Tu te sens calme, tes pensées errent sans entraves, ton corps se détend le carré de chocolat fond voluptueusement pour couler ensuite dans ta gorge. Le shoot a commencé. La 1ère bouchée est la meilleure, la seule qui vaille.

Les autres ne seront que de vaines tentatives de parvenir à nouveau à l'extase. Et cette impossibilité te poussera alors à engloutir, de rage et de désespoir, tout ce que tu as acheté en plus. Demain, tout à l'heure, même, tu feras du sport. Tu ne mangeras rien, ou alors si peu. Demain, tu maigriras et trouveras "The Régime". Demain, tu décrocheras...

Si vous en souffrez, si vous connaissez ce phénomène dans votre entourage  Je serais heureux de connaître votre vécu.....

le froid est la marre de ce temps  en plaine ici il pleut 3 degres  et mes enfants qui habitent dans le doubs m'ont sms pour me dire que cette nuit il est tombe 7 cm de neige   

courir sous la pluie ca me derange mais bon je vais me faire violence

Dédicace à toutes les femmes qui dans leur enfance ont subi des attouchements ou plus ... une dédicace particulière à ma Danettechoc...

Un jour arrive où vous parlez à votre compagnon de votre douleur de ce viol non reconnu et qui ne sera jamais puni.

Les personnes au courant vous plaignent sincèrement mais peu se demande ce que pense l'homme qui partage vos jours et nuits.

Car ce n'est pas facile pour lui en effet il a beau tout faire pour panser vos plaies vous réapprendre à faire confiance sachant très bien que rien ne pourra effacer le souvenir de ses instants odieux il est confronté à plusieurs problèmes. Le premier est de vous aider pas à pas à vous affirmer face à votre tortionnaire, et encore où vous êtes dans une famille où le non-dit règne il craint les têtes à têtes d'homme à homme. Partagé entre le désir de lui dire "je sais ce que vous avez fait" et celui de ne pas faire exploser le semblant de cellule familiale.j'usqu'au moment ou il fait comprendre a sa femme que pour proteger les enfants il faut couper les ponts avec le violeur

Sa deuxième peur c'est que les personnes que votre femme aime l'apprenne au détours d'une conversation ou d'un écrit ...comment lui insufler la force de raconter son calvaire à ses enfants, à ses frères et soeurs, ss jamais lui imposer un choix qui ne px venir que d'elle.

Enfin, la plus grande peur et la plus grande frustation qui partage votre vie s'appelle chahut ... en effet nous nous posons des barrières chaque fois que nous chahutons avec les filles les notres ou les votres de peur qu'un geste, une attitude ne fassent ressurgir à votre imagination les images du passé.

Il y a tous les instants où l'on doit vous remonter le moral (Fêtes des Pères, Anniversaire....) ces instants où tout ressurgi ces nuits où vous revez du criminel et où vous pleurez ou nous frappez durant votre sommeil.

Sachez pourtant que nous ne sommes pas malheureux à votre côté le simple fait de vous voir remporter une victoire quotidienne contre votre bourreau nous fait oublier tous les tourments.

Un conseil messieurs qui êtes confronté à ce problème dialoguez encore et toujours mais n'oubliez jamais que pour ces femmes nous ne serons qu'un pansement imperméable