Ce matin, au bureau, un transporteur habituel
de la société où je travaille nous a amené comme
tous les ans son cadeau de nouvel an : des
pâtisseries faites par son épouse.
Les années précédentes je succombais à la
gourmandise, car ce sont des pâtisseries
Tunisienne et moi J’ADORE.
Donc première victoire je remercie très
chaleureusement ce monsieur de ses bonnes
attentions et dès qu’il est parti, j’amène le
plateau de pâtisseries dans un bureau
voisin du mien.
Ma collègue me propose
d’emmener une pâtisserie, je refuse poliment,
elle insiste lourdement en se servant,
je sors du bureau en faisant mine de n’avoir
pas entendu, elle me suis tenant le plateau d’une
main et de l’autre la pâtisserie qu’elle engouffre
dans sa bouche (elle peut se permettre elle doit
peser 40kgs toute mouillée) , 
tiens prends en une, je refuse une seconde fois
Tu n’aimes pas, j’aurais du lui répondre que non,
malheur à moi, je lui répond que j’adore mais que
ce n’est pas très raisonnable,
surtout après les petits excès des fêtes. Tu as
tord, elles sont excellentes, tiens prend en une !
Grr j’étais à deux doigts de lui en mettre une à
elle) non merci, n’insiste pas.
Elle retourne dans son bureau, j’ai bien cru
qu’elle avait compris, et bien non…dans le
courant de l’après-midi, je passe par son
bureau, et là, ma « chère collègue » me propose
de nouveau une pâtisserie,
que je refuse une nouvelle fois bien entendu et,
pour terminer elle me dit :
allez sert toi, tu n’as qu’à pas manger ce soir !!
Avec un grand sourire, je lui ai dit ce que je vous
dis souvent : merci de m’aider à y arriver, merci
de ton soutien, merci d’être mon amie.
Mais « elle » n’a rien compris, et pour cause !!
jamais elle ne partagera ce que nous, nous
partageons.
Je vous avoue qu’aujourd’hui je me suis dis que si
c’est pour avoir cette mentalité je préfère
rester avec mes rondeurs.
Je poursuis….à la sortie du boulot, je suis allée
chez ma fille prendre un coup de café,
je travaille à 10minutes de chez elle,
donc j’ai dis à mon mari 
de me rejoindre chez
elle, que je ferais un peu de marche.
Une voisine de ma fille lui avait apporté dans
l’après midi, 
une galette et
quelques biscuits fait maison,
donc naturellement ma fille m’en propose
avec le café,
j’ai encore dis NON merci,
mon mari est arrivé dans l’entrefait et me dit
gentiment tu ne prends pas un bout de galette ?
j’ai encore dis NON merci.
La conclusion de ma journée c’est que le plus dur
c’est………..le premier NON merci.
Et qu’est-ce que je suis bien avec vous, a
partager autre chose que de la nourriture.
Amitiés
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fatiguée...
Lorsque ce même jour 
Au passage, vous remarquerez que premier 
arité
