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Enfin bon malgrés ce temps maussade de bonne humeur quand même!!!!!! Je pense à mon amie qui s'est couché hier soir avec le moral en dessous des chaussettes, j'espère que tu vas mieux aujourd'hui S.ESTELLE ! ! ! !
Je vous remercie toutes d'être là vous imaginez pas à quel point cela me fait du bien ! ! ! Une pensée pour ma copace qui à l'heure qu'il est, est dans un train pour Paris j'espère ! ! ! Plein de bisous à vous toutes ! ! ! Je pense à vous..........
Je vous laisse avec un autre poête..........
Guillaume Appolinaire
Le poète
Le Christ n'est donc venu qu'en vain parmi les hommes
Si des fleuves de sang limitent les royaumes
Et même de l'Amour on sait la cruauté
C'est pourquoi faut au moins penser à la Beauté
Seule chose ici-bas qui jamais n'est mauvaise
Elle porte cent noms dans la langue française
Grâce Vertu Courage Honneur et ce n'est là
Que la même Beauté
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Etant donné que je travaille en ce lundi toute la journée je vous mets mon article maintenant mais je ne manquerai pas de passer vous voir demain soir pour avoir de vos nouvelles! ! ! !
Bisous à toutes prenez soin de vous ! ! !
Petit poème d'alphonse ALLAIS
L'homme insulté‚ qui se retient
Est, à coup sûr, doux et patient.
Par contre, l'homme à l'humeur aigre
Gifle celui qui le dénigre.
Moi, je n'agis qu'à bon escient :
Mais, gare aux fâcheux qui me scient !
Qu'ils soient de Château-l'Abbaye
Ou nés à Saint-Germain-en-Laye,
Je les rejoins d'où qu'ils émanent,
Car mon courroux est permanent.
Ces gens qui se croient des Shakespeares
Ou rois des îles Baléares !
Qui, tels des condors, se soulèvent !
Mieux vaut le moindre engoulevent.
Par le diable, sans être un aigle,
Je vois clair et ne suis pas bigle.
Fi des idiots qui balbutient !
Gloire au savant qui m'entretient !
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Il entra dans une colère noire et chassa tout le monde du palais... et le regretta aussitôt. En effet, il n'avait que sa fille, son mari et ses enfants pour famille, et ne voulait pas rester seul. Il pardonna à tous et une grande joie emplit le palais durant quelques mois.
Le roi des éléphants, vieillissant et se sentant mourir, fit un jour venir sa fille et lui dit:
- Je vais bientôt mourir mais pour ne pas te laisser dans la peine, dès que je serai mort tu prendras mes défenses et tu les poseras sur la rivière. Aussitôt, celles-ci se transformeront en bateau d'or qui vous emmèneront au bout du monde si vous le souhaitez.
Le deuil passé, la famille embarqua donc sur les deux défenses qui s'étaient transformées en bateaux d'or, comme promis. Mais le malin veillait.
Il existait dans la forêt une méchante sorcière. Celle-ci était amoureuse du jeune prince avant que celui-ci n'épouse la fille aux cheveux parfumés. En reconnaissant les occupants des bateaux sur la rivière, la sorcière décida de se venger.
Elle se changea en fleur de lotus et approcha bientôt du bateau où se trouvait la famille. La princesse, attirée par cette fleur magnifique, se pencha pour cueillir la fleur mais tomba à l'eau et fut aussitôt changée en singe. Quant à la méchante sorcière, elle avait déjà pris la place de la princesses auprès du mari et des enfants.Si le mari ne s'aperçut de rien, les enfants eux ne reconnurent pas cette femme qui les nourrissait de son sein.Ils résolurent alors d'aller à la recherche de leur mère... qu'ils ne tardèrent pas à trouver. En effet, en traversant les bois, ils furent intrigués en entendant des pleurs et tombèrent sur un pauvre singe tout éploré. Ils ne tardèrent pas à reconnaître leur mère et celle-ci leur expliqua comment elle pouvait retrouver forme humaine.Entre-temps, le prince s'était aperçu de l'imposture: les cheveux de sa 'femme' n'avait plus cette odeur qui les caractérisait et qu'il aimait tant. Il avait également constaté la disparition de
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La fille réussit le test à merveille à la grande joie de l'éléphant, tout heureux de se trouver une fille. Il lui fit aussitôt construire un immense palais où la jeune fille vécut heureuse les premiers temps, tout en apprenant à connaître son père. Celui-ci l'adorait mais avait interdit l'accès du palais à tout étranger. Sa fille commença bientôt à s'ennuyer et passait des heures au bord de la rivière, à rêver.
C'est ainsi qu'un jour, elle jeta à l'eau deux de ses cheveux à l'odeur si particulière en faisant le voeu d'épouser celui qui les trouverait.
Son père décida à ce moment, de partir à la chasse dans des contrées lointaines. Un jeune prince qui avait trouvé les cheveux se présenta alors à la jeune fille. Ils se marièrent aussitôt et bientôt des enfants vinrent égayer le palais.
Mais le père revint de la chasse après avoir été longtemps absent, et, se souvenant de l'interdiction faite à tout étranger de l'approcher, sa fille cacha mari et enfants dans la forêt pour éviter le courroux de son père. Celui-ci ne s'aperçut de rien mais vint lui annoncer qu'il repartait bientôt chasser.
La jeune femme fit alors revenir sa famille mais, surprise! Son père revint plus tôt que prévu.
La suite demain mes amies.........
Je vais un peu mieux déjà ce matin, ce n'est pas complétement guéri mais ca va, merci à toutes pour vos voeux de prompt rétablissement ca ma fait chaud au coeur...... d'ailleur le rhume a eu peur c'est pour ca qu'il s'en va!!!!!!!!
Je pense à vous bien fort,
big bisous à toutes
à demain.
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La fille aux cheveux parfumés
Il était une fois une femme, veuve et sans enfant, qui vivait à l'écart d'un village. Son domaine était la forêt et ses amis les animaux lui tenaient compagnie. Pour survivre, elle se nourrissait de plantes diverses, pêchait et buvait l'eau vive de la rivière.
Un jour qu'elle cherchait de quoi se nourrir dans les bois, elle s'aperçut qu'elle avait grand-soif mais qu'elle s'était éloignée de la rivière. Elle vit alors une mare qui s'était formée de la dernière pluie et but tout son soûl. Puis, prenant quelques instant de repos, elle se rendit compte que la mare avait exactement la forme d'un pied d'éléphant. Elle reprit son chemin sans plus y penser.
Quelques mois plus tard, la femme mit au monde une superbe petite fille. Au début, tout le monde fût étonné mais durant tous ces mois, elle avait réfléchi: cette enfant ne pouvait venir que de l'eau bue dans l'empreinte de l'éléphant. Sa petite fille était splendide et détail surprenant, de ses cheveux se dégageait un parfum des plus agréables. Au village, les langues allaient bon train et bientôt tous surent d'où venait l'enfant. Elle grandit dans l'amour de sa mère mais ne sut jamais la vérité ni pourquoi les enfants se moquaient d'elle en scandant: "La fille de l'éléphant, la fille de l'éléphant!". Elle en était très peinée mais malgré son insistance, sa mère ne voulait rien lui dire. Un jour, se sentant mourir, sa mère se décida enfin à lui avouer la vérité. L'enfant, qui était devenue une belle jeune fille, partit à la recherche de son père, le roi des éléphants. Elle ne tarda pas à le trouver et lui expliqua la situation. Le roi, méfiant, lui imposa alors un test: - Si tu es vraiment ma fille, tu devras courir sur mes défenses, sans chute et sans faux pas......
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Ce fichu rhume est parti en trachéite j'i toussé toute le nuit je suis encore plus fatiguée qu'hier soir......... Espérons que la journée soit meilleure....... je vous la suite et fin du conte et vous souhaite une bonne journée, je vous embrasse (de loin) à plus tard.
......... grand chose à la Création. De plus, il présentait le fâcheux inconvénient de se dissoudre lorsque la pluie tombait!...
Une deuxième sorte d'humain fut donc créée, faite, cette fois, de bois. De matière plus dure, il résistait cette fois à l'eau... mais pas au feu, qui le transformait un peu trop facilement en fumée!... Et cette seconde créature n'était pas plus capable de penser que la précédente... Alors, pour nettoyer la Terre de toutes ces créations dont ils n'étaient pas satisfaits, les Dieux produisirent un déluge, qui noya toute la surface de la Terre... Les survivants montèrent aux arbres pour échapper aux flots du déluge... et devinrent des singes.
Forts de leurs expériences passées mais toujours décidés à créer un animal capable de penser et de les adorer, les Dieux décidèrent de se remettre à l'ouvrage pour donner naissance à une nouvelle créature qu'il appelèrent Homme. Cette fois-ci, ils firent encore appel à des éléments naturels et principalement au maïs. Maïs blanc et jaune pour la chair et 'masa' de maïs pour le corps. L'équation eut un résultat positif, puisque cette créature 'l'Homme' devint capable de penser et remercia bientôt les Dieux de l' avoir créé. C'est pourquoi les mayas croient en leurs Dieux, notamment ceux du Maïs, du Vent et de la Pluie, mais aussi en l' Homme car ils savent que les Dieux ont besoin d'eux pour être adorés...
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Je ne suis pas trés matinale........ malgrés une nuit agitée (mal dormi toujours ce fichu rhume!!!! j'arrête pas) je suis d'excellente humeur ce matin........ j'ai des nouvelles de presque toutes mes amies et elles vont bien alors moi aussi!!!!!!!!!..............
Les croyances des Mayas.
Au début, il n'y avait RIEN. Que l'Univers, cet endroit où vivait les Dieux. Seuls le ciel et la mer existaient, pas la Terre, et aucun son ni bruit ne pouvaient troubler la réflexion des Dieux. Alors les Dieux décidèrent de créer quelque chose. En premier lieu, ils choisirent de construire la Terre, puis les montagnes, les vallées et les plaines qui, ajoutaient au gigantisme des montagnes. Satisfaits, ils laissèrent la Terre dans cet état pendant une période infinie. Au bout d'un moment, ils se lassèrent de l'aridité du paysage nu et désolé qui s'offrait à leurs yeux. Ils décidèrent alors de donner naissance à la Nature. De la terre nourricière et fertile remplit alors plaines et les vallées, irriguées par d'innombrables cours d'eau s'écoulant des montagnes. L'herbe, les fleurs, les arbustes puis enfin les arbres apparurent, donnant au relief des couleurs extraordinaires et des odeurs forts agréables. Voyant la beauté de la Terre, les Dieux souhaitèrent également donner naissance à une créature capable dans vivre dans cet environnement. Et ils inventèrent les animaux... Il y en avait de toute sorte : des nageants qu'ils appelèrent les poissons, des volants qu'ils nommèrent les oiseaux et enfin une multitude d'animaux vivant sur la surface de la Terre et même dans ses entrailles... Mais au bout d'un moment, ils s'aperçurent que las animaux étaient incapables de les adorer, ou d'être reconnaissants envers leurs créateurs. Ils se creusèrent alors la tête et finirent par se dire que l'heure était venue de créer l'Homme.
Le premier humain fut crée d'un peu d'eau et de terre, rien que des éléments naturels. Mais celui-ci se trouva incapable de penser et n'apportait pas .........
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Le Paon se plaignant à Junon
Le Paon se plaignait à Junon :
Déesse, disait-il, ce n'est pas sans raison
Que je me plains, que je murmure :
Le chant dont vous m'avez fait don
Déplaît à toute la Nature ;
Au lieu qu'un Rossignol, chétive créature,
Forme des sons aussi doux qu'éclatants,
Est lui seul l'honneur du Printemps.
Junon répondit en colère :
Oiseau jaloux, et qui devrais te taire,
Est-ce à toi d'envier la voix du Rossignol,
Toi que l'on voit porter à l'entour de ton col
Un arc-en-ciel nué de cent sortes de soies ;
Qui te panades, qui déploies
Une si riche queue, et qui semble à nos yeux
La Boutique d'un Lapidaire ?
Est-il quelque oiseau sous les Cieux
Plus que toi capable de plaire ?
Tout animal n'a pas toutes propriétés.
Nous vous avons donné diverses qualités :
Les uns ont la grandeur et la force en partage ;
Le Faucon est léger, l'Aigle plein de courage ;
Le Corbeau sert pour le présage,
La Corneille avertit des malheurs à venir ;
Tous sont contents de leur ramage.
Cesse donc de te plaindre, ou bien, pour te punir,
Je t'ôterai ton plumage.
Bonjour à vous toutes mes amies, la Fable d'hier ayant bien plu je vous en remets une aujourd'hui, je vous souhaite à toute de passée une excellente journée, je vous bises toutes et vous dis à plus tard, je me suis levée malade petite forme et en retard je passerai dans la journée sur vos blog au retour du TAF bisous tou plein
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La Besace
Jupiter dit un jour: ĞQue tout ce qui respire
S'en vienne comparaître aux pieds de ma grandeur:
Si dans son composé quelqu'un trouve à redire,
Il peut le déclarer sans peur;
Je mettrai remède à la chose.
Venez, singe; parlez le premier, et pour cause.
Voyez ces animaux, faites comparaison
De leurs beautés avec les vôtres.
Etes-vous satisfait? - Moi? dit-il; pourquoi non?
N'ai-je pas quatre pieds aussi bien que les autres?
Mon portrait jusqu'ici ne m'a rien reproché;
Mais pour mon frère l'ours, on ne l'a qu'ébauché:
Jamais, s'il me veut croire, il ne se fera peindre."
L'ours venant là-dessus, on crut qu'il s'allait plaindre.
Tant s'en faut: de sa forme il se loua très fort;
Glosa sur l'éléphant, dit qu'on pourrait encor
Ajouter à sa queue, ôter à ses oreilles;
Que c'était une masse informe et sans beauté.
L'éléphant étant écouté,
Tout sage qu'il était, dit des choses pareilles:
Il jugea qu'à son appétit
Dame baleine était trop grosse.
Dame fourmi trouva le ciron trop petit,
Se croyant, pour elle, un colosse.
Jupin les renvoya s'étant censurés tous,
Du reste contents d'eux.
Mais parmi les plus fous
Notre espèce excella; car tout ce que nous sommes,
Lynx envers nos pareils, et taupes envers nous,
Nous nous pardonnons tout, et rien aux autres hommes:
On se voit d'un autre oeil qu'on ne voit son prochain.
Le fabricateur souverain
Nous créa besaciers tous de même manière,
Tant ceux du temps passé que du temps d'aujourd'hui:
Il fit pour nos défauts la poche de derrière,
Et celle de devant pour les défauts d'autrui.
Jean de Lafontaine
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Mais c'était sans compter sur la déception des autres soupirants. L'un deux, plus enragé que les autres, décida de se venger et eut une idée. Le roi était connu pour aimer les belles jeunes filles et lorsqu'il en désirait une, rien ne pouvait l'empêcher de faire d'elle sa concubine. Par tous les moyens... Le soupirant éconduit vanta alors si bien les charmes de la jeune fille que le roi décida sans plus tarder qu'il la voulait dans son palais. Profitant de l'absence du mari parti vendre leurs tissus à la ville, les soldats du roi enlevèrent ainsi la jeune femme. L'oiseau essaya bien de s'interposer mais il fut tué sans pitié. Dans la confusion, la jeune femme eut tout juste le temps d'emmener avec elle la chemise rose tissée par son mari. A leur arrivée au palais, les soldats la laissèrent seule un instant, le temps de prévenir le roi du succès de l'opération. Désespérée, et refusant l'avenir qui lui était promis, la tisseuse profita de ses quelques minutes pour se donner la mort, pendue avec la chemise rose... Apprenant cette nouvelle, le roi fut si furieux qu'il ordonna de mettre le corps dans un cercueil et de l'emmener loin, très loin, pour ne plus en entendre parler. Pendant ce temps, le mari était revenu de la ville. Surpris par l'absence de sa femme, il trouva bientôt l'oiseau mort. L'arbre lui raconta ce qu'il n'osait deviner. Fou de chagrin, il enterra son compagnon au pied de l'arbre. Puis, soudain inspiré, il courut voir la fée qui l'avait si gentiment aidé à deux reprises déjà. Celle-ci lui donna un conseil: - Prend patience, mon ami! Seul l'oiseau peut t'aider. - Mais il est mort: je l'ai enterré sous notre arbre! s'exclama-t-il. - C'était la meilleure chose à faire, le rassura la fée. Attends le printemps et l'oiseau renaîtra. Il te dira alors ce qu'il faut faire. Triste mais non sans espoir, le jeune homme vit passer l'hiver avec impatience. Aux premières fleurs du printemps, l'oiseau s'éveilla un beau matin au pied de l'arbre où il était enterré.