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C'est ainsi qu'il exporta le culte de ce Saint dans le nord de la France (emportant quelques os au passage.).
Au fil des siècles, le culte de Saint Nicolas évolua, jusqu'à devenir ce que connaissent aujourd'hui les habitants du nord de la France, de la Belgique et des Pays Bas: dans la nuit du 5 au 6 décembre, Saint Nicolas se rend dans les chaumières afin de demander aux enfants s'ils ont été obéissants. Ces derniers laissent alors leurs souliers devant la cheminée ou devant la porte, ainsi que sucre, du lait et une carotte pour la mule qui porte Saint Nicolas. Les enfants qui ont été sages au cours de l'année reçoivent donc des cadeaux, mais pas les enfants qui furent méchants. En effet, ces derniers reçoivent alors des coups de fouet, administrés par le Père Fouettard, un sombre ladre tout de noir vêtu.
Au XVI° siècle, la réforme protestante mit fin au culte de Saint Nicolas dans de nombreuses régions d'Europe du nord, voulant mettre un terme à ces actes de dévotion d'origine catholique. Cependant, les habitants de Pays bas, bien que protestants, décidèrent de conserver la fête de Sinter Klaas (c'est ainsi qu'est nommé Saint Nicolas en langue flamande.).
Au cours du XVII° siècle, la Saint Nicolas immigra elle aussi, accompagnant ces Hollandais venus s'installer en Amérique. Ces derniers fondèrent New Amsterdam, qui, en 1664, suite à la prise de la ville par les Anglais, fut rebaptisée New York (pour la petite anecdote, sachez que la célèbre Wall street fut nommée ainsi car c'était à cet endroit que fut érigé le premier mur d'enceinte de la ville.).
En quelques décennies, cette coutume néerlandaise de fêter la Saint Nicolas se répandit rapidement au sein des foyers des colons anglais. Sinter Klaas se transforma peu à peu en Santa Claus...
Au fil des décennies, les familles chrétiennes trouvèrent plus approprié que cette fête des enfants soit associée à la naissance de l'enfant Jésus. Ainsi, Santa Claus commença donc à faire sa tournée non plus dan
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L'histoire du Père Noël
De nos jours, beaucoup d'entre nous ne voient plus le Père Noël que comme un personnage inventé de toutes pièces par l'entreprise Coca Cola... ce qui est bien dommage. Car, oui, en effet, cette marque a influencé le look du Père Noël, mais, non, ce n'est pas elle qui l'a inventé.
Je vous propose à présent de dresser un bref récapitulatif de l'histoire du Père Noël...
L'histoire du Père Noël, ou comment Saint Nicolas se transforma en Santa Claus.
En fait, tout commence il y a bien longtemps, en 270 après Jésus Christ.
A cette époque naquit Nicolas de Myre, dans la cité de Patara, en Asie mineure (une région correspondant à la Turquie actuelle.). Se convertissant très tôt au christianisme, le jeune homme fut nommé évêque de Myre par la jeune Église catholique, mais mourut martyr (aux environs de 350 après Jésus Christ.).
Selon la légende, les Romains tuèrent Nicolas de Myre un 6 décembre. Une fois décapité, il aurait jaillit une fontaine d'huile du cou de la victime.
Peu après, l'Église décida de canoniser Nicolas, et choisit de célébrer le saint le 6 décembre de chaque année.
Par la suite, lorsque les Turcs s'emparèrent de Myre, des moines de la ville montrèrent le tombeau de Saint Nicolas à des soldats italiens, originaires de Bari. Ouvrant le cercueil, ils trouvèrent les ossements du Saint baignant dans l'huile, selon la légende. Par la suite, les soldats mirent les os dans une boîte, et rentrèrent chez eux, à Bari (c'est pour cette raison que Saint Nicolas est parfois appelé Nicolas de Bari.).
Pour la petite anecdote, sachez qu'au Moyen âge, de nombreux escrocs vendirent de la prétendue "huile sainte", ayant le pouvoir de guérir les malades.
Puis, dans le courant du XII° siècle, un chevalier lorrain revenant de la croisade passa par Bari, où étaient entreposées les reliques de Saint Nicolas.
A suivre ..................
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Je vous REMERCIE énormément de tous ces chaleureux commentaires vous êtes ADORABLES....... pour vous remercier je vous mets aujourd'hui un petit conte de Noël que certaines pourront lire à leurs enfants ...........
Gros bisous à ce soir, je passerai voir comment vous allez pour le moment je m'en vais travailler.........
C'était la nuit avant Noël, dans la maison tout était calme. Pas un bruit, pas un cri, pas même une souris!
Les chaussettes bien sages pendues à la cheminée attendaient le Père Noël. Allait-il arriver?
Les enfants blottis dans leur lit bien au chaud rêvaient de friandises, de bonbons, de gâteaux.
Maman sous son fichu, et moi sous mon bonnet et vous prêts à dormir toute une longue nuit d'hiver.
Dehors, tout à coup, il se fit un grand bruit!
Je sautais de mon lit, courais à la fenêtre, j'écartais les volets, j'ouvrais grand la croisée.
La lune sous la neige brillait comme en plein jour.
Alors, parut à mon regard émerveillé, un minuscule traîneau et huit tout petits rennes conduits par un bonhomme si vif et si léger qu'en un instant je sus que c'était le Père Noël!
Plus rapides que des aigles, ses coursiers galopaient, lui il les appelait, il sifflait, il criait:
"Allez Fougueux, allez Danseur, Fringant et puis Renarde, En avant Comète! Cupidon en avant, Tonnerre, Éclair, allons, allons Au-dessus des porches, par delà les murs! Allez! Allez plus vite encore!"
Comme des feuilles mortes poussées par le vent, passant les obstacles, traversant le ciel, les coursiers volaient au-dessus des toits, tirant le traîneau rempli de jouets
Et, en un clin d'oeil, j'entendis sur le toit le bruit de leurs sabots qui caracolaient. L'instant qui suivit le Père Noël d'un bond descendait par la cheminée.
Il portait une fourrure de la tête aux pieds, couverte de cendres et de suie, et, sur son dos, il avait une hotte pleine de jouets comme un colporteur avec ses paquets.
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Bonjour les filles, j'espère que vous allez toutes bien, je passerai un peu plus tard dans la journée pour voir ca!!!!!!
Alors un peu plus d'explication je crois est nécessaire, je vous REMERCIE de votre sollicitude, la malade c'est la grand mère qui malheureusement a en cancer généralisé de l'appareil digestif, à 93 ans il ne peuvent plus rien pour elle sinon l'empêcher de souffrir lorsque le moment sera venu ! ! !
Et aujourd'hui je sais que chacun a son temps à faire sur terre ............ son temps ni plus ni moins, ce n'est pas nous qui décidons, c'est à nous à faire la part des choses et à accepter le départ des personnes que l'on aime ........... Mais comme je vous l'ai dit je garde le Moral ..................
Je vous ADORE toutes vous êtes tellement Gentille avec moi, est ce que je le mérite vraiment ?????? En tous les cas je suis sincères avec vous surtout n'en doutez pas !!!!!
Gros gros bisous à tous et toutes passés un excellent dimanche, revitalisez vous pour attaquer dés demain matin une autre semaine ! ! ! Aller ! ! Aller ! ! .....
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Un samedi qui s'annonce bien chargée, je passerai donc sur vos blogs par coupure pour savoir comment vous allez, mais je pense à vous, j'espère que chacun(e) d'entre vous a préparé son petit sapin, décoré, sa maison etc......., à vous dire franchement cette année le coeur n'y est pas donc pas de déco chez moi et pas de sapin, j'ai fait des cadeaux surtout pour les petits car ils ne comprendraient pas pourquoi le père noël est pas passé chez tatie cette année et puis voilà......
Nous sommes toujours dans l'attente d'une nouvelle catastrophe, les médecins nous ont dit ca peut arrivé, demain, la semaine prochaine, le mois prochain, vous voyez ce n'est pas vraiment trés précis............ et puis vu tout ce qui nous est arrivé cette année je n'ai pas le coeur a fêter............. voilà pour la petite histoire, certaines d'entre vous m'ont demandé alors plutot que de répondre individuellement je préfère vous le dire à toute...........................
Sinon le moral va pas trop mal, et côté régime, je fais toujours attention et je me bats du mieux que je peux.... mais je reste motivée!!!!!!!!!
Donc aujourd'hui je serais présente par tranche de temps mais je passerai voir chacune de vous car vous comptez toutes pour moi et vous lire me fait du bien..................
Bisous à tout(e)s Bon Samedi
Me voilà!!!!!!!!!!!!
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C'est le terme précis pour décrire la journée d'hier, en plus j'ai eu un petit soucis au démarrage ce qui fait que je suis partie avec prés d'une heure de retard!!!
Mais bon j'ai presque fait tout le monde il me reste ma fille mais je sais ce que c'est et où le trouver, mon mari .... idem et ma belle-mère que j'aime beaucoup dont je n'ai pas la moindre idée de ce que je pourrais lui prendre........... Si vous avez des idées à me donner n'hésitez surtout pas!! Et vous mes ami(e)s j'espère que la journée d'hier a été bonne mais moins que celle d'aujourd'hui!!!!! Allez haut les coeurs ce soir c'est le week end!!!!!!!!
Je vous Adore et vous embrasse toutes trés fort je file sur vos blog, j'ai une petite heure de disponible alors j'en profite!!!!!!!
Gros gros bisous.......
L'origine des guirlandes
A propos des guirlandes qui illuminent les sapins, la légende raconte qu'il y a bien longtemps, en Allemagne une maman s'affairait pour Noël.
Pour ce faire, elle avait dressé le sapin, briqué sa maison, chassé les araignées à grands coups de balai. Effrayées, celles-ci étaient parties se réfugier au grenier.
Le calme et la sérénité revenus, hardiment, les araignées redescendirent et découvrirent le sapin. Elles trouvèrent l'arbre si joli, qu'elles en entreprirent l'assaut le couvrant de leurs toiles grises et poussiéreuses.
Quand le Père Noël arriva un peu plus tard pour distribuer les cadeaux, il fut ravi de découvrir nos araignées heureuses, pleinement satisfaites de leur savant maillage mais il pensa aussi à la tristesse de la maman qui allait retrouver son arbre enveloppé de toile grise. Du coup, pour satisfaire tout le monde et parce qu'il était aussi un peu magicien, le Père Noël transforma les fils grisâtres en fils d'or et d'argent. L'arbre se mit alors à scintiller et à briller de tous ses feux ! il était devenu magnifique.
C'est pour cette raison que depuis, nous couvrons les sapins de belles et brillantes guirlandes. C'est également pour cela qu'à Noël
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Aujourd'hui je file dans la grande ville faire mes courses de Noël j'espère que je vous retrouverai en forme à mon retour........... bonne journée big bisous!!!!
Un peu d'histoire
Le premier arbre de Noël serait apparu en Alsace en 1521. Il fut ensuite introduit en France par la princesse Hélène de Mecklembourg qui l'apporta à Paris en 1837, après son mariage avec le duc d'Orléans.
En 1841, le prince Albert (originaire d'Allemagne), époux de la reine Victoria, fit dresser un arbre de Noël au château de Windsor, en Angleterre. De la cour, la mode du sapin de Noël se répandit rapidement chez la bourgeoisie et se propagea ensuite chez les gens du peuple. À l'époque victorienne, un beau sapin de Noël devait avoir six hauteurs de branches et être posé sur une table recouverte d'une nappe de damas blanc. On le parait de guirlandes, de bonbonnières et de fleurs en papier.
Les divers éléments servant à son ornementation furent d'abord conçus à la maison, avant d'être produits en industrie. Au milieu du XVIIe siècle, l'illumination du sapin se faisait au moyen de petites bougies. Elles seront remplacées, au début du XXe siècle, par des ampoules électriques. D'autres variantes, tels les sapins extérieurs et artificiels, apparaîtront au tournant du XXe siècle.
La bûche de Noël, c'est toute une histoire ! Quelques jours avant Noël, après avoir sélectionné une souche d'arbre fruitier encore verte pour qu'elle dure le plus longtemps possible, le maître de maison, suivi par tous, portait cérémonieusement cette souche dans l'âtre de le cheminé. Elle était ensuite surveillée, arrosée de vin cuit, car plus elle durait plus les bienfaits étaient durables.
En effet les cendres de la souche étaient conservées dans les maisons car elles protégeaient la maison de la foudre et répandu dans les champs pour améliorer les récoltes.
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- Est-ce qu'il y en a de plus petits que ceux que vous m'avez montrés ? dit Elsie, qui voyant miss Barbara arrêtée sur le perron, s'était appuyée sur la rampe.
Elsie avait veillé plus tard que de coutume, elle n'avait pas eu toute la surprise et tout le plaisir qu'elle se promettait et le sommeil commençait à la gagner. - Il y a des êtres infiniments petits, dont on ne devrait pas parler sans respect, répliqua miss Barbara, qui ne faisait pas attention à la fatigue de son élève. Il y en a qui échappent au regard de l'homme et aux plus forts grossissements des instruments. Du moins, je le présume et je le crois, moi qui en vois plus que la plupart des gens n'en peuvent voir. Qui peut dire à quelles dimensions, apparentes pour nous, s'arrête la vie universelle ? Qui nous prouve que les puces n'ont pas des puces, lesquelles nourrissent à leur tour des puces qui en nourrissent d'autres, et ainsi jusqu'à l'infini ? Quant aux papillons, puisque les plus petits que nous puissions apercevoir sont incontestablement plus beaux que les gros, il n'y a pas de raison pour qu'il n'en existe pas une foule d'autres encore plus beaux et plus petits dont les savants ne soupçonnent jamais l'existence.
Miss Barbara en état là de sa démonstration, sans se douter qu'Elsie, qui s'était laissée glisser sur les marches du perron, dormait de tout son coeur, lorsqu'un choc inattendu souleva brusquement la petite lanterne des mains de la gouvernante et fit tomber cet objet sur les genoux d'Elsie réveillée en sursaut.
- Une chauve-souris ; une chauve-souris ! s'écria Barbara éperdue en cherchant à ramasser la lanterne éteinte et brisée.
Elsie s'était vivement levée sans savoir où elle était.
- Là ! là ! criait Barbara, sur votre jupe, l'horrible bête est tombée aussi, je l'ai vue tomber, elle est sur vous !
Elsie n'avait pas peur des chauves-souris, mais elle savait que, si un choc léger les étourdit, elles ont de bonnes petites dents pour mordre, quand on veut les prendre, et,
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rappellent la parure des plus beaux colibris. Et, à présent, voyez ! voyez la foule qui se presse ! il en viendra encore, et toujours ! et vous, vous ne saurez laquelle de ces reines du soir admirer le plus pour la splendeur de son costume et le goût exquis de sa toilette. Les moindres détails du corsage, des antennes et des pattes sont d'une délicatesse inouïe et je ne pense pas que vous ayez jamais vu nulle part de créatures aussi parfaites. A présent, remarquez la grâce de leurs mouvements, la folle et charmante précipitation de leur vol, la souplesse de leurs antennes qui est un langage, la gentillesse de leurs attitudes. N'est-ce pas, Elsie, que c'est là une fête inénarrable, et que toutes les autres créatures sont laides, monstrueuses et méchantes en comparaison de celles-ci ?
- Je dirai tout ce que vous voudrez pour vous faire plaisir, répondit Elsie désappointée, mais la vérité est que je ne vois rien ou presque rien de ce que vous me décrivez avec tant d'enthousiasme. J'aperçois bien autour de ces fleurs et de cette lampe, des vols de petits papillons microscopiques, mais je distingue à peine des points brillants et des points noirs, et je crains que vous ne puisiez dans votre imagination les splendeurs dont il vous plaît de les revêtir.
- Elle ne voit pas ! elle ne distingue pas ! s'écria douloureusement la fée aux gros yeux. Pauvre petite ! j'en étais sûre ! Je vous l'avais bien dit, que votre infirmité vous priverait des joies que je savoure ! Heureusement, j'ai su compatir à la débilité de vos organes ; voici un instrument dont je ne me sers jamais, moi, et que j'ai emprunté pour vous à vos parents. Prenez et regardez.
Elle offrait à Elsie une forte loupe, dont, faute d'habitude, Elsie eut quelque peine à se servir. Enfin, elle réussit, après une certaine fatigue, à distinguer la réelle et surprenante beauté d'un de ces petits êtres ; elle en fixa un autre et vit que miss Barbara ne l'avait pas trompée : l'or, la pourpre, l'améthyste, le grenat,