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Oui, vous avez trouvé la solution, il n'y avait aucun "e" dans les textes d'hier et d'avant hier. Il s'agissait d'extraits du roman de Georges Perec, la disparition. Ce roman est un lipogramme en "e" ce qui est très fort lorsque l'on sait que c'est la lettre la plus utilisée dans la langue française.
Pour le plaisir, je vous mets quelques autres extraits de ce roman et notamment les poèmes, pastiches de Baudelaire et de Rimbaud.
A l'anglais:
It is a story about a small town. It is not a gossipy yarn; nor is it a dry, monotonous account, full of such customary "fill-ins", as "romantic moonlight casting murky shadows down a long, winding country road" Nor will it say anything about tinkling lulling distant folds, robins caroling at twiIight nor any "warm glow of lamplight" from a cabin window.
Imitation n° 8
TROIS CHANSONS
Par un fils adoptif du Commandant Aupick
SOIS SOUMIS, MON CHAGRIN
Sois soumis, mon chagrin, puis dans ton coin sois sourd
Tu la voulais la nuit, la voilà, la voici
Un air tout obscurci a chu sur nos faubourgs
Ici portant la paix, là-bas donnant souci.
Tandis qu'un vil magma d'humains, oh, trop banals,
Sous l'aiguillon Plaisir, guillotin sans amour,
Va puisant son poison aux puants carnavals,
Mon chagrin, saisis-moi la main; là, pour toujours
Loin d'ici. Vois s'offrir sur un balcon d'oubli,
Aux habits pourrissants, nos ans qui sont partis;
Surgir du fond marin un guignon souriant;
Apollon moribond s'assoupir sous un arc
Puis ainsi qu'un drap noir traînant au clair ponant
Ouïs, amour, ouïs la Nuit qui sourd du parc.
ACCORDS
Sois, Cosmos, un palais où un vivant support
A parfois fait sortir un propos tout abscons
Un passant y croisait la Symbolisation
Qui voyait dans un bois un son au fond du cor
Ainsi qu'un long tambour qui au loin s'y confond
Dans un profond magma obscurci mais global,
Massif où la nuit voit l'attrait d'un abyssal
Jouxtant irisations; parfums coruscants, sons.
Il y a
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"n°2
Puis on passait à la philo,
Kant, analysant l'intuition à priori, douta un instant du Cogito, sachant qu'il occultait la situation dont un Divin, phantasmant l'Un, aurait pu nantir un Moi agrandi. "Ainsi, dit-il, Spinoza aurait donc accompli la mutation abolissant son nom, pour d'obscurs sons ? Judaïsant Baruch! Pansas-tu "Natura" la suturant (la saturant), offusquant tout trou, d'un Siv accomplissant un souhait d'Infini !" Alors Kant, platonisant par anticipation, mais à tort, mit Spinoza dans la filiation d'un Surmoi assassin, toujours. Car, fort loin avant, Platon, parricidant tout archaïsant, avait vu qu'aucun participant n'avait fin, s'originant dans l'Un.
L'arc primitif ainsi trouva sa triangulation, accomplissant son trait jusqu'au bout du philosophant, qui mourut d'avoir un instant cru au Cogito sans Un."
Hier, deux d'entre vous ont proposé une réponse. Peut-etre ont -elles raison !!!! ??? Je leur ai répondu sur leurs blogs afin de vous laisser chercher, si cela vous amuse.
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Un sombrero sur le nez... Deux mexicains à l'ombre des cactus pour vous donner une petite idée de chaleur.
Il est vrai que le matin, il ne fait pas très chaud. Ce matin, il a fallu dégivrer le pare-brise de la voiture avant de partir. Heureusement ce matin je conduisais mon fils au lycée, il était prêt avant moi et lorsque je suis montée dans la voiture, il avait déjà dégivré toutes les vitres.
Petit jeu, je vous propose un jeu (que je viens de mettre en "énigme n°6 sur le groupe du Jean Bart.) Je vais vous recopier chaque jour un texte, à vous de trouver le point commun de ces différents textes :
Attention texte n°1:
n°1
"Il y avait d'abord du français.
Là où nous vivions jadis, il n'y avait ni autos, ni taxis, ni autobus; nous allions parfois, mon cousin m'accompagnait, voir Linda qui habitait dans un canton voisin. Mais n'ayant pas d'auto, il nous fallait courir tout au long du parcours; sinon nous arrivions trop tard: Linda avait disparu.
Un jour vint pourtant où Linda partit pour toujours. Nous aurions dû la bannir à jamais; mais voilà, nous l'aimions. Nous aimions tant son parfum, son air rayonnant, son blouson, son pantalon brun trop long; nous aimions tout.
Mais voilà, tout finit: trois ans plus tard Linda mourut; nous l'avons appris par hasard, un soir, au cours d'un lunch."
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En ce moment tout le monde est malade autour de moi. Jeudi mon fils a été pris de vomissement au lycée. Hier, ma fille était enrhumée, mes collègues et mes élèves sont à moitié malades...
Dans ces cas là, je prends une bouteille en verre, je mets dedans un fond de poudre d'argile puis je remplis la bouteille d'eau. Je secoue la bouteille et je bois l'eau argileuse.
Pas de cours de gym pour moi ce matin, car j'avais une réunion au lycée. En revanche cet après-midi, je vais aller marcher.
17h 10, je viens de rentrer, nous avons marché 2h45 sous le soleil et fait plus de 11 km.
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Céline
publié le 21/10/2007 à 09:45
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Aujourd'hui, c'est la Sainte Céline, et ma fille Céline vient à la maison sans son petit copain qui travaille mais avec ses deux furets (deux femelles, je ne sais pas si on dit des "furettes" ?).
Elles ne sentent pas mauvais, et sont amusantes. Mon fils les adore et les réclame toujours à sa soeur. (Pour vous dire la vérité, je n'ai jamais été très attirée par les animaux). Allias et Louna, ce sont leurs noms, dorment presque 20 heures sur 24, mais elles adorent venir à la maison car elles ont de la place pour courir partout, grimper les escaliers... elles font des courses poursuites qui nous font bien rire et s'amusent à cacher des bouchons en liège un peu partout et surtout dans les canapés ou sous les lits).
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51.1 kg soit 300 grammes en moins. Plus qu'un kilo 1 à perdre pour retrouver le poids de mes 20 ans.
Chouette.
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J'ai une amie qui a été opérée d'un oeil mercredi. Aujourd'hui, elle avait un rendez-vous de contrôle chez son ophtalmo... Je lui avais proposé de l'accompagner car en raison des grèves, on savait qu'il n'y aurait pas beaucoup de rames de métros... Et puis c'était une occasion de la voir...
Je suis partie à 10 heures.... je ne suis arrivée dans le 5ème arrondissement de Paris qu'à 12 heures 30... à la fin de son rendez-vous. Nous avons été déjeuner ensemble au restaurant.
Puis je l'ai raccompagnée à Boulogne-Billancourt (plus d'une heure de trajet...).
Le soir je l'ai quittée à 17h45... Je viens juste d'arriver, à 19 h 20 !!!!!
J'aurai été bien mieux dans la montagne dans cette bergerie tranquille avec ce berger paisible.
Enfin, ma voiture est confortable, chauffée, j'étais assise, avec la radio... Pendant ce temps là d'autres marchaient dans le froid, attendaient dans les courants d'air ou s'entassaient dans des rames bondées !!!
Malgré tout la journée a été agréable, j'étais très contente de revoir cette amie (amie d'enfance) qui actuellement habite Shanghai et que je n'ai l'occasion de voir que deux fois par an lors de ses vacances en France ou lorsque je vais la voir dans les différents pays où elle vit : Angleterre, Danemark, Mexique et Japon...
Le déjeuner était très sympa, puis une infusion chez sa maman, une personne charmante elle aussi.
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Hier le dîner (voir le repas d'hier, était délicieux). Bon et beau à ragarder, des assiettes superbes avec de belles décorations. Et le dessert......... un régal...
Jeu des différences, alors combien de différences entre les deux tableaux, celui d'hier, et celui d'aujourd'hui ? Lequel préférez-vous ?
Aujourd'hui, j'avais 4 heures de cours avec la même classe. (deux heures de français le matin, deux heures d'histoire-géo l'après-midi), mais comme nos élèves arrivent tous par le RER B, et qu'il n'y avait aucun train... Je n'ai eu qu'un seul élève courageux qui vient à pied. Au bout de deux heures, on l'a dispensé de rester...Le matin j'étais partie beaucoup plus tôt pensant trouver des bouchons partout et en évitant l'A6... en fait la circulation était très fluide sur mon parcours et je n'ai pas vu le moindre bouchon !!!
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Ce soir, avec plus de 20 collègues du lycée, nous allons diner à Paris. En fait il s'agit d'un lycée qui forme des cuisiniers et des serveurs, une sorte d'école hôtelière. Nous y allons une fois par an. C'est très agréable et très bon. On ne choisit pas notre menu, il y a un menu différent chaque jour. Ce sont des élèves qui nous servent tandis que leurs professeurs supervisent et les notent.
Ce tableau l'orange du marchand ressemble beaucoup à celui que je vous ai mis le mardi 14 août, en réalité ce n'est pas le même. Je préfère l'autre, mais à l'époque je compressais moins bien, je vous le remettrais un jour mieux compressé. Sur l'autre tableau (jeu des différences) la femme est davantage tournée vers nous et les couleurs sont plus belles.
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Génial, la rentrée sportive est faite désormais et je n'ai plus de courbatures.