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Soyotte et le sport. 2e épisode
publié le 06/11/2008 à 07:56 |
Un magnifique début de semaine. Deux très belles journées où mon zépoux et fils number two vont jouer au golf. Je suis invitée. Nous y voilà ! Du sport incontournable.
Incontournable ? Ca se discute. Il ne fallait pas me faire passer par la terrasse. Je vous l'avais bien dit que des mètres cubes de feuilles mortes....
Tant pis pour le golf et le sport en général, je reste et je m'attaque aux feuilles.
Préparer : sacs "déchets verts" en kraft, brouette, râteaux, gants et bottes. Remonter pour me changer en jardinière . Fini le sportwear, Bienvenue aux vieilleries pas du tout princesse jardinière. Chausser les bottes et les gants. Saisir le râteau léger en plastique et regrouper les feuilles. (Quelle idiote d'avoir oublié le souffleur en Bretagne ! ) Se battre avec le sac pour l'ouvrir et le stabiliser, essayer de faire tomber une râtelée dans l'ouverture. En flanquer une bonne partie à côté, renouveler l'opération aussi souvent que nécessaire.
S'apercevoir qu'il serait plus malin de commencer par le ruisseau . Aïe ! Il va falloir y entrer, ramasser de la rive, ce serait du sport !
OIn ! Pas chaude l'eau, malgré les bottes.
Se déchausser, remonter, chercher des grosses chaussettes. Evidemment elles sont dans un carton tout en haut de la penderie. Extension, attraper le carton , le rattraper juste avant qu'il ne me tombe sur la terre, le vider, trouver les chaussettes. Remplir le carton. Le ranger ? vous rigolez ? J'ai dit : remplir, ça suffira. Extension, el hisser en haut de la penderie sans me le flanquer sur la tête.
Rdescendre, enfiler les grosses chaussettes, remettre les bottes. (il faut tirer comme une bête, c'est évidemmen plus serré !)
Les deux pieds dans le ruisseau. Travail de l'équilibre, il ne s'agit pas de glisser sur les galets. Flexion ; ramasser les feuilles, les jeter dans la brouette. Dès qu'elle est trop loin, sortir du ruisseau, déplacer la brouette, retourner, recommencer l'opération. Pas loin d'une heure pour tout le ruisseau.
Dans l'intervalle, avoir vidé la brouette plusieurs fois . Mais non, pas sur place. Tout au fond du jardin là où ça ne se voit pas trop (heureusement qu'on n'a pas trouvé les 5 000 m² voulus par le zépoux). Ouf !
Ouf ? Quel ouf ? Et les bassins ? Tu n'allais tout de même pas négliger les bassins, Soyotte ? Aller au garage, quitter les bottes pour mettre les cuissardes de pêche. Elles appartiennent au zépoux et sont trop grandes, pas facile, mais tant pis. il suffira de faire attention. Débrancher le fil électrique (après avoir pris une châtaigne, sinon, je n'y aurais pas pensé)
Chercher un accès pas trop dangereux. Descendre . Coup d'oeil circulaire. Personne ne peut me voir heureusement. La meilleure méthode semble finalement passer par le 4 pattes. Recherche de l'équilibre pour se redresser sans trop glisser. Cheminer lentement pour ne pas rencontrer un trou. Comment ai-je pu trouver que l'eau était froide ? Je dois être écarlate et je... non, je n'irai pas reiter les grosses chaussettes. J'endurerai vaillamment.
Ramasser les feuilles, secouer énergiquement les mains gantées pour décoller les feuilles gluantes. Jeter fortement . Cheminer prudemment. Retirer un gant chaque fois qu'il faut rejeter à l'eau un poisson ou un triton ramené par erreur. Remettre le gant.
Pour passer au second bassin, franchir la cascade. Pas en rappel, mais quand même ! Comme ce serait mieux avec des abdoms ! Reprendre l'opération avec plus de prudence encore, c'est là qu'il y a la fosse profonde pour l'hivernage des poissons et pour la pompe. Continuer à serrer les fesses pour faciliter le déplacemment sécure. A force de lutter contre la glissade, j'ai des contractures dans les cuisses.
L'est grand, ce bassin, finalement ! Mais j'en vois le bout. Reste à faire le tour des bassins, à ramasser les feuilles sur les rives. Flexions, extensions, marche vers le tas de feuilles . Il y a tout de même 5 brouettes.
Chercher et planter à la masse 6 gros tuteurs. Déplier, étaler ,fixer une bâche pour que les feuilles sèchent un peu. Il suffira de les retourner à la fourche un peu chaque jour. Jeu d'enfant.
Comment, il reste des feuilles sur le gazon ? Où ça ? Je ne vois plus rien.
D'ailleurs, les hommes rentrent du golf. Ils voudraient bien un petit quelque chose de chaud. Et s'écrouler dans un fauteuil. Ils sont fatigués, eux. Ils ont fait du sport.
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Bises salées de Bretagne au grand vent optimiste!
Je te souhaite une excellente année 2009, pleine de santé, de bonheur et de bien-être !
Sur mon blog, j’ai posté un bilan de cette belle année 2008 qui vient de s’achever ainsi qu’une présentation de toute l'équipe d’aujourdhui.com.
C’est une façon de la remercier pour l’excellent travail accompli en 2008 et j’espère que tu posteras toi aussi tes propres commentaires.
Encore une fois, meilleurs voeux pour 2009 à toi et à ta famille.
Fabrice
D'ailleurs, je te souhaite un très joyeux Noël parmi ceux que tu aimes et je t'envoie plein de bisous salés du pays des "Penn sardin"!!!!
Heureusement que je ne dois pas choisir entre vous ! Je prends tout le monde avec bonheur.
Bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
Oui, je sais, plutôt que rire j'aurais mieux fait d'en faire autant pour perdre un peu de graisse, d'autant plus que les feuilles... mama mïa ! Y'en a ! Mon mari, qui ne joue pas au golf, en revient épuisé... c'est son boulot, non mais !
Suis heureuse de t'avoir rencontrée... Pince sans rire, mais non sans humour... C'est cela qui sauve... Le ciel nous préserve des gens sans humour, ce sel de la vie !
Bises