Aujourd'hui j'aimerais vous faire part d'une nouvelle qui a particulièrement attiré mon attention dans l'actualité de cette semaine.

Une étude menée à l'Université de Pepperdine, Malibu (Etat-Unis) révèle que les fillettes sont très tôt réceptives à la notion de la minceur.

 Vous le savez, l'éducation alimentaire commence dès le plus jeune âge, voire même in utéro Mais savez vous que les enfants semblent être sensibles à la minceur dès l'âge de 3 ans.

Intéréssant non?!

L'expérience, ménée par J. Harriger et son équipe, a été réalisée en collaboration avec 55 petites filles auxquelles on a présenté des images de 3 personnages dont seule la silhouette différait. L'un étant plutôt mince, l'autre de corpulence moyenne et le dernier présentait un surpoids. Les chercheurs ont alors proposé aux enfants d'associer à chaque individu divers adjectifs.

La personne dessinée avec un corps svelte a reçu en moyenne 2,7 adjectifs positifs tels que belle, intelligente, amicale, propre, jolie et calme et seulement 1,2 mots négatifs contre 1,2 et 3,1 pour le personnage le plus enveloppé.

Les bambins ont un sens du jugement très aiguisé

J'en profite pour insister sur l'importance des mamans (et des papas bien entendu) pour valoriser les traits de personnalité de leurs enfants plutôt que leurs traits physiques.

Ceci afin d'éviter toute distorsion de l'image corporelle, bien entendu!

Moi qui n'ai pas encore d'enfants, cette étude m'a faite réagir sur ma façon de présenter mon métier:

Non je n'aide pas les gens à maigir...

J'aide les personne à se sentir mieux dans leur corps (et dans leur tête).

Très grosse nuance!