Ca y est, les vacances sont terminées, les fêtes aussi. Pas plus mal, on ne fait que manger durant cette époque-là. Je ne suis pas remontée sur la balance, je le ferais aux environs du 15 janvier.
Ce matin, beaucoup de travail au bureau, bonne ambiance, fou-rire, qu'est-ce que c'est agréable de travailler ainsi, j'ai connu l'inverse et j'apprécie.
Et puis le lundi après-midi, ce que j'attends toute la semaine, ma leçon d'équitation. Il pleuvait au moment du repas, on est parti quand même avec mon mari. Arrivés au centre équestre, le soleil nous a fait la surprise d'être au rendez-vous, le temps de notre cours. Un régal.
Mon Isiki était sale, mais sale, pleine de boue. Elle a commencé à donner des ruades à la jument que monte mon mari, Princesse. On a du les séparer, et tout ça, parce qu'une brouette de foin était à proximité. On a fait disparaître la brouette et le calme est revenu.
Après un brossage vigoureux, direction la carrière, avec plein de flaques d'eau. Impossible de faire traverser Isiki sur l'eau !!! Il a fallu de nouveau que je prenne une cravache pour la faire trotter, c'est psychologique, je n'ai pas à l'utiliser, elle m'obeit, enfin lorsqu'elle a envie. Le premier quart d'heure, j'ai du mal à me faire entendre, je dois sans arrêt la reprendre, l'obliger à aller là où je veux. Elle est très douce, mais très très tétue. Ca tombe bien, on est deux.
L'heure est passée trop vite. On avait amené des pommes, Isiki s'agite lorsqu'elle entend le sac dans lequel on met les douceurs. On se retrouve toutes les deux lundi prochain.