Petite recette facile avec des ingrédients de base, pour faire plaisir à dameblanche ! (entre autres ! lol!)

Pour 4 personnes :

4 pommes de belle taille
1 citron
4 cuillers à café de cassonnade
1 cuiller à café de cannelle
4 noisettes de beurre

Peler les pommes, les couper en tranches épaisses et les déposer sur 4 carrés de papier d'aluminium.
Presser le citron et répartir le jus.
Saupoudrer de cassonnade et de cannelle et ajouter une noisette de beurre sur chaque préparation.
Refermer le papier d'aluminium pour former des papillotes.
Mettre au four 15 minutes à thermostat 7 (210°C).
Une fois cuites, retirer les pommes du papier et disposer joliment les tranches sur des assiettes à dessert.
Décorer avec un peu de poudre de cannelle, des feuilles de menthe, un coulis de groseille.
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Ces 10 trucs je ne les ai pas inventés mais trouvés dans un livre traitant de troubles du comportement alimentaire. Ces livres écrits par des médecins spécialisés, dont le Dr Yves Simon, abordent les causes et traitements des tca.

Je vous en livre 5 aujourd'hui et 5 la semaine prochaine, le temps que nous puissions échanger sans nous presser.

1. Rendez-vous compte tous les jours de tout ce que votre corps vous permet de faire : marcher, danser, respirer, rire, rêver...
2. Dressez une liste des 10 choses que vous appréciez le plus chez vous et qui n'ont rien à voir avec votre apparence physique ou votre poids. Relisez-la régulièrement. Réactualisez-la régulièrement.
3. Rappelez-vous que la vraie beauté est intérieure. Ce qui compte le plus, c'est la personne que vous êtes réellement, pas votre apparence physique. La beauté est un état d'esprit, pas un trait physique.
4. Regardez-vous en entier quand vous observez voptre apparence physique. Ne vous focalisez pas sur des détails ou des parties de votre corps. regardez-vous vous-m^me comme vous souhaitez que les autres vous voient, c'est à dire comme une personne entière et pas comme un ventre, un fessier, un nez,...
5. Entourez-vous de personnes positives pour vous. Ces personnes vous aiment comme vous êtes. Elles vous donnent confiance en vous et votre physique.
   
   
   
   
   
   

Le discours diététique s’attache aussi à valoriser les vertus nutritionnelles des aliments : on ne vante plus que la vitamine C et le bêta-carotène des carottes, les antioxydants et les fibres des fruits et légumes. On insiste aussi sur :
- les oméga 3 du poisson gras, de l’huile de colza ou des noix
- les acides gras monoinsaturés du foie gras ou de l’huile d’olive
- les glucides complexes et les fibres des féculents
- le calcium des fromages
- les polyphénols du chocolat  et du vin (à consommer avec modération) et leurs vertus de protection cardio-vasculaire.

La cuisine et ses mets mettent leur point d’honneur à satisfaire les 5 sens :
- la vue : jeux des couleurs, présentations artistiques, beauté de la table décorée
- le toucher : choc des textures craquantes ou molles en bouche
- l’ouïe : le bruit d’un bouchon qui saute reste une belle ouverture pour un repas
- l’odorat : les odeurs des épices et des aromates participent au plaisir, avant de goûter le plat
- le goût : choc du sucré et du salé, de l’amer et de l’acide, subtilité des flaveurs, recherche de l’exotisme, font notamment partie de tout un  travail contemporain sur le goût.

Comme l’a souligné le Pr Trémolières : « le repas est un lieu privilégié d’échange, de partage, de communion. Il constitue l’élément principal de la convivialité et de l’art de vivre ensemble. La vraie gastronomie est diététique et la bonne diététique doit être gastronomique. »

Dans les années 50 et jusque vers 1990, la diététique a été trop souvent synonyme de régime, au sens restrictif du terme. Beaucoup pensaient qu’une approche diététique nécessitait de se priver, de manger triste. Outre les régimes hypocaloriques frustrants sont apparus les substituts de repas et les régimes hyperprotéinés qui privilégient l’efficacité, mais pas forcément le plaisir de manger. Et aujourd'hui...Les nutritionnistes et les diététiciens s’aperçoivent, avec l’expérience, que trop de conseils hyperdirectifs et de restrictions drastiques sont contre-productifs : cela peut aboutir à des transgressions délétères, voire à l’apparition de troubles du comportement alimentaire (orthorexie, grignotage, craving, boulimie. La gastronomie, vantée par les émissions de télévision, les magazines et les livres de cuisine, reçoit le soutien des nutritionnistes qui s’attachent à montrer que convivialité et plaisir sont des valeurs essentielles qui, même dans un contexte diététique,  ne peuvent être dissociées de la vision de l’alimentation à la française.

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