Alors que le Samsung Galaxy Note 5 va être présenté très bientôt, une nouvelle fuite de photos est apparue sur le net. C'est d'ailleurs le meilleur leak de la phablette.

Les meilleures photos leakées du Samsung Galaxy Note 5 viennent d'être dépassées par une toute nouvelle fuite. Le futur smartphone coréen est en tout cas très présent sur la toile et ne semble plus avoir de secrets. Alors qu'il doit être présenté le 13 août prochain, le Note 5 ne sera plus vraiment une surprise. Assailli de leaks depuis une semaine, le prochain Samsung a été aperçu sous tous les angles. Entre un design totalement dévoilé et des caractéristiques misent à nues, le nombre de secrets autour du futur appareil est de plus en plus réduit. Spécialement avec ce nouveau leak qui montre le Samsung Galaxy Note 5 mais aussi sa boite. Cette série de clichés est sans aucun doute la meilleure actuellement, dévoilant ainsi le peu d'informations qui restaient inconnues.

C'est le site Bgr.com qui a découvert ces photos. Bien que le leak ne soit pas officiel, la qualité des images ainsi que la ressemblance du smartphone avec celle de cette autre fuite du Samsung Galaxy Note 5 dans des nouvelles photos HD, semble confirmer la véracité des clichés. Très proche du Samsung Galaxy S6, l'appareil dispose des mêmes coloris que les autres produits Samsung. De plus, certaines caractéristiques sont présentes sur la boîte du Galaxy Note 5. Il est possible de voir que le smartphone posséderait 4 GB de RAM et un processeur 8 cœurs de 64bit. Côté écran, on retrouve une dalle Quad HD AMOLED de 5,7 pouces. C'est donc un Samsung Galaxy Note 5 très impressionnant qui va être présenté dans les jours qui viennent et qui devrait non seulement faire grande impression auprès du public, mais pourrait être aussi un sérieux concurrent pour Apple.

De premiers clichés de la Radeon R9 Nano commencent à circuler. Des fuites sûrement maîtrisées, puisque la petite carte graphique d'AMD est attendue au cours du mois d'août.

La Radeon R9 Nano avait été rapidement présentée lors de la sortie de la Radeon R9 Fury X. Il était alors question d'une sortie courant août pour cette carte censée donner l'avantage à AMD dans l'équation taille/consommation/performances. La carte utilisera un GPU Fiji associé selon toute vraisemblance à 4 Go de mémoire HBMv1, comme c'est déjà le cas pour ses grandes sœurs, les Radeon R9 Fury X et Fury.
 
La marque parle d'une consommation électrique contenue, puisqu'un seul cordon PCIe à 8 broches est nécessaire pour alimenter la carte (TDP maximum de 175 W). Celle-ci est par ailleurs très courte, en attestent les différentes photos qui commencent à fuiter. La carte n'excéderait pas 15 cm avec une hauteur de deux emplacements PCI. Le système de refroidissement semble par ailleurs assez lambda, avec un radiateur surmonté d'un unique ventilateur axial.

En revanche, le reste des caractéristiques techniques n'est pas encore connu. La configuration du GPU (c'est-à-dire le nombre d'unités de calcul), tout comme les fréquences de fonctionnement, n'ont pour l'heure pas encore été révélées. En revanche, nous savons que les performances attendues seraient supérieures à celles de la Radeon R9 290X — et sans doute de celles de la Radeon R9 390X — pour une consommation électrique divisée par deux.
 
Si tout cela se révèle exact, cela pourrait donner une carte particulièrement intéressante qui viendra gratter à la porte des GeForce GTX 970 compactes, comme l'Asus GTX 970 DCU Mini. Il conviendra toutefois de voir si le système de refroidissement sait se montrer silencieux et si le positionnement tarifaire sera convaincant. Ce dernier point est d'ailleurs peu évident pour AMD qui aura également pour difficulté de justifier la présence de la Radeon R9 390X à son catalogue.

Aux États-Unis, on ne badine pas avec la sécurité des personnes. Le groupe Fiat-Chrysler ainsi que l'équipementier Harman doivent faire face à une plainte collective après le piratage à distance d'un Jeep Cherokee. On s'achemine vers un procès retentissant et coûteux !

Le mois dernier, deux chercheurs en sécurité informatique, Chris Valasek et Charlie Miller ont montré à nos confrères de WIRED comment pirater et la prendre la main à distance sur une Jeep Cherokee, via une faille de sécurité dans le système UConnect signé Harman. Ils ont pu afficher leurs portraits sur l'écran intégré du véhicule, régler le volume de la radio sans que le conducteur puisse faire quoi que ce soit pour le baisser, déclencher les essuie-glace, arrêter le moteur et, pour parachever leur "œuvre", jeter la voiture dans un fossé ! Inutile de dire que la réaction du groupe Fiat-Chrysler ne s'est pas fait attendre : rappel de 1,4 million de véhicules. Mais cela n'a semble-t-il pas satisfait les clients de la marque. Ainsi, Brian Flynn et George et Kelly Brown, tous deux propriétaires d'une Jeep Cherokee, ont déposé une plainte à l'encontre de Fiat Chrysler Automobiles (FCA) et Harman pour "fraude, négligence, enrichissement et violation de la garantie". Les deux plaignants convient tous les propriétaires d'un véhicule équipé d'un système connecté UConnect à venir s'associer à leur plainte collective, qui doit être reconnue en tant que telle par un tribunal — cela ne devrait pas poser de problème au vu de la gravité des faits. On parle de plus d'un million de plaignants potentiels.
 
Autre fait aggravant pour FCA, début 2014, Charlie Miller avait déjà alerté le groupe automobile sur une possible vulnérabilité informatique de la Jeep Cherokee due aux connexions Internet avec le système d'infodivertissement et le bus CAN qui contrôle l'ensemble des fonctions vitales du véhicule, comme la direction ou les freins. Dans leur plainte, les deux plaignants demandent à ce que UConnect soit séparé de tout autre système qui pourrait porter atteinte à la sécurité.

Début 2015, les deux chercheurs avaient collaboré avec Chrysler pour développer un patch correctif qui avait été discrètement distribué une semaine avant que l'affaire n'éclate. Depuis, l'organisme américain de la sécurité routière, la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) qui dépend du Département des Transports, a exigé un rappel officiel de tous les véhicules incriminés et l'envoi à tous les propriétaires d'une clé USB comportant une mise à jour.

De son côté, Harman a réagi par le biais d'une dépêche Reuters, en déclarant que le piratage ayant entraîné le rappel de 1,4 million de véhicules ne concernait a priori que le groupe FCA et que les autres constructeurs automobiles équipés (BMW, Daimler-Mercedes, Volvo) par Harman n'étaient pas concernés.
 
Cette affaire de piratage va apporter de l'eau au moulin au sénateur de l'état du Massachusetts, Edward J. Markey, qui avait mené une enquête sur de possibles piratages de véhicules. Enquête ouverte à la suite d'un rapport dévoilé en 2014, où des chercheurs avaient testé la vulnérabilité de 21 modèles de voitures provenant de 10 constructeurs automobiles. Le constat était accablant : l'accès au bus CAN d'un véhicule était possible à partir du Bluetooth, d'un smartphone infecté, d'un CD contenant un fichier vérolé ou carrément via le système d'assistance OnStar. Sur la base de ce rapport, le sénateur avait demandé aux constructeurs automobiles les dispositions prises pour éviter de genre de "désagrément". On imagine aujourd'hui le branle-bas de combat parmi les constructeurs, surtout si la plainte collective (class-action) devait être confirmée et un procès, avoir lieu...

Apple a confié à USA Today que son nouveau service de streaming musical comptait déjà 11 millions d'abonnés. Après à peine plus d'un mois d'existence, la performance est à saluer — même si les chiffres risquent d'être bien différents dès l'automne.

C'est Eddy Cue en personne qui a fait part de ces chiffres au quotidien américain. Après cinq semaines d'activité (lancement le 30 juin dernier), Apple Music comptait 11 millions d'abonnés, dont 2 millions ayant opté pour la formule familiale permettant de cumuler 6 comptes (14,99 $). Naturellement, l'homme s'est dit "ravi des chiffres jusqu'ici". Néanmoins, il ne s'est pas étendu outre mesure sur leur évolution à moyen terme, et pour cause : tous ces utilisateurs n'ont pas encore mis la main à la poche. Ils bénéficient tous d'une période d'essai gratuit de 3 mois. Mais combien resteront, une fois ladite période arrivée à son terme ?

Si Apple réussissait l'exploit de conserver 10 millions d'abonnés — ce qui est très hautement improbable —, il aurait déjà fait la moitié du travail pour se porter à hauteur du leader du secteur, à savoir Spotify. Le Suédois compte en effet 75 millions d'inscrits, mais seulement 20 millions d'abonnés à son offre payante. Sa dynamique, par contre, est spectaculaire : il affiche environ 100 % de croissance annuelle. Apple pourra-t-il faire mieux, ou du moins lui faire obstacle ? S'il est évident que la firme a les moyens de ses ambitions, la tâche devrait se révéler difficile à court terme, car les retours ne font pas encore d'Apple Music un service aussi soigné que Spotify. Conscient des petits soucis de jeunesse dont souffre le dernier bébé de la firme, Eddy Cue assure d'ailleurs que "des mises à jour sont déployées aussi vite que possible pour remédier à ces problèmes".

Les annonces officielles pour les Galaxy Note 5 et Samsung Galaxy S6 edge + devant être faites d’ici quelques jours, les informations concernant les deux terminaux devraient apparaître de plus en plus. Aujourd’hui, ce sont les résultats du fameux benchmark AnTuTu qui révèlent les jolis scores obtenus par les Galaxy Note 5 et S6 Edge Plus.

En attendant le 13 août, jour sensé faire honneur à Samsung avec la présentation de ses deux nouvelles phablettes, AnTuTu annonce que le Galaxy Note 5 a obtenu un score de 69 702 points à son benchmark. Bien évidemment, on vous invite à prendre ces affirmations à la légère en attendant de véritables tests une fois les terminaux officiellement sortis.

Le Galaxy Note 5 serait finalement équipé d’un Exynos 7420 soit le même SoC que les Samsung Galaxy S6 et S6 Edge. Plus classiquement, il possède aussi 4 Go de RAM,  32 Go de stockage interne et deux appareils photos (16 et 5 Mégapixels). Le constructeur sud-coréen affirme fournir le terminal avec Android 5.1.1, soit la dernière version du système d’exploitation.

Selon AnTuTu, très peu de différences le sépareraient du Galaxy S6 Edge +, prévu à un tarif de 799 €. La seule vraiment flagrante étant au niveau des écrans, le Note 5 disposant d’un 5,5 pouces et le S6 Edge + d’un 5,7 pouces. Les deux offriront une définition de 2560 x 1440 pixels.

La source des informations révèle également que le S6 Edge + aurait obtenu un score de 68 345 points. Lors du dernier classement des terminaux les plus puissants, c’est le S6 qui trustait sa première place avec 67 520 points.

Vraisemblablement, en terme de performances internes, ces nouveaux modèles ne se différencieront pas vraiment des premiers S6, si ce n’est par une différence de mémoire vive et quelques améliorations matérielles.

Néanmoins, des bruits couloirs persistent à dire que  Galaxy Note 5 est équipé d’un Exynos 7422 et non un 7420. Cette version améliorée contiendrait sur une unique puce le processeur, la puce graphique, la RAM, un modem ainsi que le stockage interne.

AnTuTu affirme pourtant que ce n’est pas le cas et qu’un 7420 équipe bien la phablette, une affirmation allant dans le sens du résultat obtenu à son benchmark, bien évidemment. Prenons donc ces informations avec précautions.

Quelques semaines après la sortie du très bon Meizu MX5, de nouvelles informations concernant la version Pro du smartphone risquent de faire jaser voire carrément décevoir certains d’entre vous. Pourtant, les déclarations faites par un représentant de la marque assurent que c’est pour le meilleur !

Il avait tout pour plaire ou quasiment tout. Le successeur du puissant MX5, l’unibody en aluminium avec écran Super AMOLED Full HD et alimenté par un Helio X10 ne pouvait faire que surpasser ce modèle, à l’instar du MX4 Pro rehaussant la barre déjà haut placée par le MX4. Et il était bien parti pour, à en juger par les caractéristiques techniques dévoilées récemment.

C’est via la plateforme de micro-blogging chinoise Weibo qu’un internaute a fait part de la nouvelle. Oui, Meizu disposerait bien d’un modèle de MX5 Pro cependant, les chances de le voir sortir au grand jour s’amenuisent de plus en plus.

Si l’on en croit les dires de l’internaute, le MX5 Pro serait équipé d’un SoC Exynos 7420, soit le processeur très puissant alimentant les derniers Samsung, du Galaxy S6 au S6 Edge +. Il peut toutefois paraître curieux que MediaTek, actionnaire de l’entreprise, autorise Meizu à s’équiper des puces de Samsung mais sait-on jamais.

Il présenterait également un écran Quad-HD de 5,5 pouces (2560 x 1440 pixels), un appareil photo de 41 Mégapixels sur sa façade arrière et un autre à 13 Mégapixels à l’avant. Alimenté par une batterie de 4100 mAh, le Meizu MX5 Pro garderait une jolie ligne avec ses 7 millimètres d’épaisseur.

Initialement envisagé en interne, le parcours du Meizu MX5 Pro s’arrêterait donc ici. C’est Li Nan, un des Vice-Présidents de chez Meizu qui l’a expliqué il y a quelques jours. La marque abandonnerait complètement sa ligne MX Pro et par conséquent ce MX5 Pro.

Cet arrêt de la gamme des MX Pro est nécessaire pour faire de la place à une nouvelle série de smartphone encore plus haut de gamme, explique Li Nan. On peut comprendre ce revirement de situation et l’envie pour Meizu de proposer le meilleur possible.

En effet si la marque chinoise n’a pas à rougir de ses productions, exister aux côtés des compatriotes Huawei et Xiaomi qui parviennent à voler la vedette des géants Apple et Microsoft doit  donner au constructeur, des envies de voir plus grand et pourquoi pas, se frotter aux récents ZTE Axon et Xiaomi Mi Note Pro. La sortie de leur prochain flagship serait donc repoussée de quelques mois voire à l’année prochaine.

Créé il y a plusieurs années afin de protéger les internautes de toute traçabilité, le standard Do Not Track a rapidement été intégré aux navigateurs Internet et pourtant, faute de terrain d’entente avec les annonceurs publicitaires, le standard n’a suscité que peu d’intérêt. Adblock, DuckDuckGo et d’autres défenseurs de la vie privée en ligne ont mis au point une refonte du standard.

À l’origine demandé par un organisme américain de régulation des consommateurs, le Do Not Track (DNT) était sensé régler les problèmes pouvant être causés par les publicités ciblées. Celle-ci représentant en quelque sorte une violation de la vie privée, la FTC avait donc réuni les éditeurs de navigateurs afin qu’ils réfléchissent à la question. Depuis cette rencontre, lorsque l’option est activée, les navigateurs envoient une requête HTTP indiquant que l’internaute ne souhaite pas être tracé.

Pour ce qui est des navigateurs, le problème fut assez facilement réglé. Par contre, pour les sites Internet et annonceurs publicitaires, la tâche était plus délicate car ceux-ci ne disposaient pas de véritables obligations quant au respect de la requête de l’internaute. De plus, les publicitaires campaient sur leur position en acceptant de bloquer la publicité ciblée mais à condition de continuer la collecte de leurs informations, chose impensable pour les défenseurs de la vie privée.

Voilà pourquoi l’Electronic Frontier Foundation s’est s’associée à l’éditeur  AdBlock, au moteur de recherche DuckDuckGo, au site Medium, à Disconnect et à l’analyste de données Mixpanel. Au programme de leur rencontre, une refonte totale du standard DNT qui permettrait aux éditeurs et webmasters de prouver qu’ils tiennent bien compte des demandes formulées par les internautes.

L’éditeur qui acceptera le respect de la vie privée devra publier sur son serveur un fichier .txt intitulé dnt-policy.txt. Ainsi, il sera plus facile de repérer les sites acceptant la démarche. Flexible, ce fichier texte pourra désormais être activé sur certains de leurs domaines, une faveur qui devrait faciliter l’acceptation du service.

Bien conscient que de nombreux sites vivent de la publicité, et déplorant la multiplication des bloqueurs de pubs causant leurs pertes (joli paradoxe avec la présence d’AdBlock), la nouvelle version du standard comprendra un service de compilation de données analytics créée par Mixpanel qui respectera le standard DNT. Si ce standard DNT fonctionne avant tout pour les navigateurs PC, nous vous invitons à protéger votre vie privée sur votre Android également.

Xiaomi veut concevoir ses propres processeurs pour smartphones et tablettes tactiles. Le constructeur chinois pourrait ainsi les proposer dès l'année prochaine.

Certains constructeurs de smartphones n’hésitent plus à développer leurs propres processeurs plutôt que d’aller se fournir auprès de Qualcomm ou de MediaTek. On pense notamment à Samsung, qui a équipé ses porte-étendards Galaxy S6 et Galaxy S6 Edge avec une solution Exynos 7420 au lieu d’une solution Snapdragon 810. Mais il y aussi Huawei, avec ses plates-formes Kirin dont profite par exemple le P8.

Le smartphone Redmi 2A ( photo ci-dessus ) dont le SoC Leadcore LC1860C moins cher, mais tout aussi performant qu’un SoC Qualcomm Snapdragon 410, a profité d’une facture allégée et d’un fort engouement auprès des consommateurs. Cela aurait été un signal pour Xiaomi qu'il est possible de faire aussi bien et moins cher que les principaux acteurs. Il se murmure ainsi que Xiaomi pourrait bientôt développer ses propres chipsets, avec pour but de réduire sa dépendance et de faire baisser encore les prix. L’arrivée récente de Wang Xiang, un ancien de Qualcomm, et l’acquisition de plusieurs licences liées à l'architecture ARM seraient quelques-uns des indices sur cette nouvelle stratégie. D’après les bruits de couloir, le projet pourrait se concrétiser dès 2016, avec l’arrivée de smartphones équipés de processeurs maison. Dans un premier temps, Xiaomi testerait évidemment la chose sur l’entrée de gamme, histoire de prendre la température et de peaufiner ses solutions avant de les placer sur le haut de gamme. On ne parle donc pas pour l’instant d’un concurrent pour le futur Snapdragon 820.

Le dernier observatoire de l'ANFR révèle qu'Orange a débuté le déploiement de supports 4G pour réexploiter la bande 1800 MHz, comme Bouygues Telecom.

Bouygues Telecom a longtemps été le seul parmi les quatre opérateurs à déployer des antennes 4G en bande 1800 MHz puisqu'il était le seul à en avoir fait la demande et disposait de capacités que les autres acteurs ne pouvaient mobiliser.

Mais le refarming de la bande 2G étant ouvert à tous selon le principe de neutralité technologique, les choses devraient évoluer d'ici mai 2016, date choisie par l'Arcep pour autoriser Orange et SFR à exploiter la bande 1800 MHz pour des services 4G.

L'observatoire mensuel de l'ANFR révèle qu'Orange a déjà commencé à déployer 37 antennes 4G en bande 1800 MHz. Il est précisé que "ces stations sont expérimentales, elles ne pourront donner lieu à une mise en service qu'à compter du 25 mai 2016, conformément aux décisions de l'Arcep".

Le nombre de sites 4G autorisés a encore progressé de 1,3% en juillet (21 212 autorisations, dont 18 044 sites en service), avec un décrochage désormais net de SFR par rapport à Free Mobile sur le nombre de sites en service :

Orange : 7695 sites
Bouygues Telecom : 6691 sites
Free Mobile : 4258 sites
SFR : 3412 sites

Après les rendus, le Galaxy Note 5 se dévoile en images, confirmant son design et certaines de ses caractéristiques.

Le smartphone Galaxy Note 5 ne sera dévoilé que le 13 août mais il est déjà bien visible sous forme de fuites diverses qui, après plusieurs rendus, prennent maintenant la forme de photos de l'appareil bien réel. Les images confirment le design du dos arrondi sur les tranches pour faciliter la prise en main et du grand écran plan presque sans bordures.

Elles montrent également la présence d'un stylet à la base du smartphone et celle d'un connecteur micro USB standard, faisant mentir la rumeur d'un port USB Type-C réversible à bord. Le site Droid-Life, qui diffuse les photos, précise que le Galaxy Note 5 embarque une batterie 3000 mAh mais confirme aussi qu'elle n'est pas amovible.

Par ailleurs, l'absence d'un port pour carte microSD se confirme et suit la même logique que pour les smartphones Galaxy  S6, sans doute du fait de la présence d'une mémoire de stockage rapide UFS à bord.